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Quelques  Divinités

  du Panthéon

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       Maât

Musée du Louvre

     MAÂT

 

  Déesse de la justice et de la vérité (Loi de Maât), elle assure l’équilibre cosmique du monde, l’équité et la paix. On la considère comme l’incarnation de la vérité et de la justice. 

 

   Maât représente: L’ordre social, l’ordre politique établi par le Roi et l’ordre cosmique voulu par le démiurge et tout être doit se conformer à sa règle. Elle est également présente dans l’au-delà. Dans le tribunal divin, elle est associée au jugement d’Osiris. Elle est la fille de et l’épouse de Thot (Le Dieu de l’écriture et du savoir). Elle représente aussi la sœur mystique du Pharaon.

 

   Maât est toujours anthropomorphe, sa peau est ocre jaune et elle est souvent représentée accroupie, en général assise sur ses talons, avec une plume d’autruche droite sur sa tête. Elle est vêtue de la longue robe moulante des Déesses et porte des bijoux. Son attribut est la plume (la même que Shou) et elle tient souvent le signe de vie. 

 

   On ne lui connaît aucun temple qui lui serait propre, seule, existe une petite chapelle au temple de Montou à Karnak (Thèbes). Par contre, elle est présente dans presque tous les sanctuaires, sur les représentations d’offrandes du culte quotidien.

 

 

L’ordre social :

La Vérité et la Justice 

   Elle est l’expression sociale et juridique de l’ordre établi. Elle symbolise l’équilibre dans la vie du pays, entre la Haute et la Basse Égypte, entre la vallée verte et le désert, entre le bien et le mal. Sous l’Ancien Empire, les juges étaient considérés comme les prêtres de Maât et le Vizir était son premier "prophète". Leur devoir était d’accomplir la Maât.

 

                                                   L’ordre politique : 

   Le Pharaon se réclame de Maât "in maât" et agit selon sa loi, pour que l’ordre règne. Il doit faire respecter la loi de Maât dans toute l’Égypte. L’équilibre du pays se traduit par un approvisionnement régulier en nourriture. Par contre, tout désordre politique entraîne une désorganisation administrative et la faim. Pendant le culte divin quotidien, le Pharaon offre Maât aux Dieux pour qu’ils s’en nourrissent et préserve l’harmonie universelle. C’est pourquoi, sur les murs des temples, le Pharaon est représenté faisant l’offrande de Maât à une divinité.

 

 

                                                  L’ordre cosmique : 

   Maât contrôle les étoiles, les constellations. Elle veille à la succession des saisons et des jours. Elle s’oppose aux forces du mal qui sont présentes aux confins de l’Univers. Pour les mortels, Maât exerce son contrôle dans toutes les manifestations qui pourraient nuire aux pays: Les ennemis venant du désert, les animaux sauvages et dangereux etc… Elle joue un rôle important dans la psychostasie (Pesée de l’âme) lors du jugement du défunt devant le tribunal d’Osiris. Ce jour là, la plume de Maât est le contrepoids déposé sur un des plateaux de la balance et le cœur du défunt sur l‘autre. Si celui-ci était sincère, les deux plateaux devaient s’équilibrer et l’âme du défunt pouvait accéder à l’au-delà.

 

 

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       Montou

Musée du Louvre

 

     MONTOU Cliquez pour agrandir l'image

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Montou – Temple de Médamoud, Karnak

 Deuxième Période Intermédiaire.

 

  Montou ou Monthou ou Mentou ou Month est le Dieu de l’antique ville d’Hermonthis (nome de Thèbes), lié à l’origine au culte du soleil et Dieu faucon de Thèbes. Il est représenté comme un homme à tête de faucon coiffé de deux grandes plumes, d’un disque solaire et de deux uræus.

 

   Son lieu de culte est la région Thébaine: Ermant où il a pour parèdre la Déesse Djenenet, Tôd où il est associé en triade avec les Déesses Râttaouy (ou Tjenenet) et Iounyt, Karnak temple de Médamoud. On en a fait l’époux d’une divinité solaire, " le soleil femelle des deux terres".

 

   Montou était vénéré à Thèbes en tant que Dieu de la guerre et protecteur des armes. Il a surtout été très populaire lors des guerres de réunification à la fin de la Première Période Intermédiaire, avant d’être écarté par Amon. Néanmoins, il restera une divinité importante dans des récits de campagnes militaires, comme le "bulletin de la bataille de Kadesh".

 

   Lors de la XIe dynastie les Rois,  l’inclurent dans leur titulature (Les Montouhotep "Montou est satisfait") et se placèrent ainsi directement sous sa protection. À la Basse Époque le taureau sacré Boukhis lui sera associé.

 

 

 

 

 

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Mout et Amon

Musée Égyptien du Caire

           Mout

 Musée du Louvre

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           MOUT

 

    Mout, dont le nom veut dire "mère" symbolise les valeurs maternelles, elle est une des plus anciennes divinités du panthéon Égyptien. Elle est aussi une Déesse dangereuse lorsqu’elle est une des formes de la "Déesse Lointaine" (Hathor) et est alors représentée sous la forme d’une lionne aux griffes acérées, assimilée à Sekhmet. 

 

   Elle est représentée sous la forme d’un vautour ou sous celle d’une femme portant sur la tête la dépouille d’un vautour, parfois surmontée du pschent (La double couronne d’Égypte).

 

   Son lieu de culte est Karnak (Thèbes, Haute Égypte). Elle est associée à la triade Thébaine où elle est à la fois, l’épouse, la mère et la fille d’Amon et la mère du Dieu lunaire Khonsou. Elle y est vénérée, dans son sanctuaire situé au Sud du temple d’Amon, sous l’aspect de Sekhmet, mais plus généralement celui d’une femme coiffée de la couronne blanche ou d’un vautour. D’autres sanctuaires sont attestés à Bubastis, Memphis et Tanis.

 

 

 

 

 

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       Neith

Musée du Louvre

 

 

Cliquez pour agrandir l'image           NEITH

 

 

  Neith, "Celle qui est" est la Déesse de la guerre et de la création, elle engendra le soleil à l’aide de sept flèches ou sept paroles. Elle est aussi la Patronne des tisseurs et également une Déesse funéraire aux côtés de Douamoutef, avec qui elle est associée pour protéger le vase canope contenant l’estomac du défunt. 

 

   Elle est représentée comme une femme coiffée de la couronne rouge de la Basse Égypte et tenant un arc et des flèches et un bouclier sur la tête (Parfois dans les mains). Dans cette représentation, on l’associe aux victoires militaires du Roi.

 

   Cette très ancienne Déesse Égyptienne est originaire de Saïs, dans le Delta où elle y assume la fonction de démiurge. Au Nouvel Empire, elle est considérée comme la Déesse mère qui enfante , apparaissant alors sous la forme de la vache Hésat ou Methyer. Elle devient la Déesse dynastique lorsque sous la XXVIe dynastie la ville de Saïs est choisie comme capital.

 

   Autre que Saïs, ses lieux de culte sont Memphis et Esna. Elle est la parèdre de Seth et à l’Ancien Empire la mère de Sobek. À Esna, elle est la parèdre de Khnoum. Elle est identifiée par les Grecs à Athéna.

 

 

 

 

 

 

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       Nekhbet

Musée du Louvre

   NEKHBET    

   Déesse protectrice de la haute Égypte, du Pharaon et de la royauté du Sud. Au Nouvel Empire, elle va devenir la protectrice des accouchements.

 

    Elle est représentée sous l’aspect d’un vautour blanc aux ailes déployées. Sur les parois des temples ou des tombeaux, elle apparaît également comme une femme à tête de vautour ou portant une couronne blanche flanquée de deux plumes.

 

    C’est une très ancienne Déesse Égyptienne originaire de Hiérakonpolis. Son lieu de culte est El-Kab (Nekheb en Égyptien, en face de Hiérakonpolis, Haute Égypte). Nekhbet est associée, avec la Déesse cobra du Nord, Ouadjet, dans la titulature du Pharaon sous "Les Deux Maîtresses" le nom de Nebty. La Reine était censée être sa personnification.

 

 

 

 

 

 

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      Nephtys

Musée du Louvre

  NEPHTYS  

   Nephtys ou Nephthys "Nebt-Het ou Neb-Hout "signifie" La dame ou maîtresse du Château", elle est la Déesse protectrice des morts en veillant sur le sarcophage. Déesse funéraire aux côtés de Hâpy, avec qui elle est associée pour protéger le vase canope contenant les poumons du défunt.

 

   Elle est représentée comme une femme coiffée de deux hiéroglyphes servant à écrire son nom. Son sanctuaire principal se trouve à Héliopolis où elle fait partie de la grande Ennéade. Elle est vénérée aussi, à l’époque Gréco-romaine, à Kom Mer (ou Kômir, Haute Égypte), associée à Anoukis (ou Anuket). Dans le temple d’Edfou, une fête, " Le cœur de Nephtys se réjouit" était célébrée le 28e jour du mois Pharmouti  de la saison Peret.

 

   Elle est la fille de Geb et de Nout, sœur d’Isis, d’Osiris et de Seth  dont elle est également l’épouse. Avec Isis, qu’elle aida à reconstituer le corps démembré de son époux Osiris, elle était l’un des deux "Milans" ou oiseaux hurleurs, qui semblaient émettre des lamentations funèbres. Elle est Parfois considérée comme l’amante d’Osiris de qui elle aurait eu Anubis.

 

 

 

 

 

 

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           Geb et Nout séparés par Shou – Musée du Louvre

       NOUT

  

   Divinité du ciel. Elle est la personnification de la voûte céleste et du firmament, son rire est le tonnerre, ses larmes sont la pluie. Elle est considérée comme la mère des astres. Elle fait partie de la grande Ennéade d’Héliopolis. Elle avale chaque soir le soleil et le met de nouveau au monde chaque matin. À l’inverse elle engloutit les étoiles à l’aurore pour les faire renaître à la tombée du jour.

 

   Selon la tradition, le corps de Nout se déploya au-dessus de la terre pour la protéger. Ses membres, qui touchent le sol, symbolisent les quatre points cardinaux. Divinité funéraire, elle protège le défunt et l’accompagne dans l’Au-delà. Elle est représentée à l’intérieur des sarcophages souvent en train d’avaler le Soleil.

 

 

   Elle est la plupart du temps représentée sous la forme humaine d’une femme arquée, au dessus Du dieu de la terre Geb (Ou au-dessus de la terre), reposant sur le sol du bouts de doigt et des orteils, car son père le Dieu de l’air Shou, la sépare de son frère et époux Geb allongé sous elle, créant ainsi un espace de vie entre le ciel et la terre.

 

   Parfois elle a l’aspect d’une vache céleste ou celle d’une truie avec ses gorets. Dans les textes des pyramides, elle est représentée entre autres comme une vache qui apporte la guérison.

 

   Son lieu de culte est Héliopolis ou elle est considérée comme la mère d’Osiris, d’Isis, de Nephthys et de Seth, mais aucun temple ne lui est dédié.  Néanmoins, ses représentations ornent de nombreux lieux de culte.

 

   Au Moyen Empire, remplacera Shou dans le rôle du père de Nout et Geb et le culte de Nout finira par se confondre avec celui de la Déesse Hathor. Nout assumera ainsi en partie la fonction de maîtresse du sycomore.

 

        Nout

Musée du Louvre

 

 

 

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Osiris – Musée du Louvre

       OSIRIS                              

 

   Osiris est son nom Grec, son nom Égyptien est Ousir ou Asir ou Ounen-Néfer "L’éternellement beau" et Khenty-Imentyou "Celui qui est à la tête des Occidentaux (des défunts)" (Dieu-chacal d’Abydos). A son origine, Osiris était un Dieu de la fertilité et du renouveau de la végétation. Il était aussi la personnification de la terre fertile du Delta et de la disparition et réapparition de l’étoile Sothis. Puis il devient le Dieu des morts et de la résurrection dans le monde souterrain. Il est le Roi de ce monde de l’au-delà et est le maître et le protecteur du défunt. Il préside également le tribunal divin chargé de juger l’âme des défunts. Dans les textes des Pyramides, le Roi (ou Pharaon) défunt est identifié à Osiris.

 

   Il est représenté sous la forme humaine, les bras croisés sur la poitrine, portant la couronne Atef, momifié et gainé dans un linceul de lin qui ne laisse apparaître que sa tête et ses mains nues qui tiennent les attributs royaux : La barbe postiche, le spectre, le fouet Nekhekh, la crosse Heka et la couronne blanche de la Haute Égypte, flanquée de plumes.

 

   Ses lieux de culte sont : Bousiris (ou Busiris, dans le Delta), Biggeh et surtout Abydos (Haute Égypte). La cité était la porte reliant le monde des vivants au monde souterrain et le lieu de la "Grande Procession" annuelle en l’honneur d’Osiris. D’autres sépultures d’Osiris on été identifiées, dont celle récemment découverte de Gizeh, celle de Philae près du grand temple d’Isis et celles de Dendérah et Karnak.

 

   Il est le fils de Geb et de Nout, le frère et époux d’Isis et le père d‘Horus. Dès la Ve dynastie, il est incorporé à l’Ennéade d’Héliopolis. A partir de la XVIIIe Dynastie il est probablement le Dieu le plus adoré en Égypte. Sa popularité demeura jusqu’aux dernières heures de l’Égypte pharaonique et même des Empereurs Romains, lui feront des offrandes dans ses temples.

 

 

               La légende d’Osiris : 

 

   Il existe plusieurs versions du mythe Osirien, la plus récente est rapporté dans un récit de Plutarque (Biographe Grec, 48-125). Osiris est le premier enfant de Geb et de Nout  et épouse sa sœur Isis. Il hérite de son père la terre d’Égypte et en devient le Roi, alors que Seth, son frère, hérite des déserts qui entourent le Double Pays. Seth jaloux de son frère le tue et enferme son corps dans un coffre qu’il jette dans le Nil. Après l’assassinat de son époux, Isis se met à la recherche de son corps. Elle le retrouve à Byblos, d’où, par la ruse, elle réussit à ramener le corps en Égypte pour l’enterrer. Mais Seth finit par découvrir le tombeau et furieux, découpe le corps en en quatorze (Ou seize) morceaux qu’il disperse dans toute l’Égypte.

 

   Avec l’aide de Nephthys, Isis  retrouve les morceaux du corps de son époux et le reconstitue (Ce sera la première momie, Ounen-Néfer "L’éternellement beau"), sauf le phallus qui aurait été avalé par un poisson et qu’elle refait en argile. Assistée par Anubis, elle parvient à lui redonner la vie et à se faire féconder. Elle donne naissance à un fils, Horus. Osiris ne peut pas rester parmi les vivants, il devient alors le seigneur du monde sous-terrain. Il transforme son royaume en champs fertiles, les champs d’Ialou et préside le tribunal divin pendant la pesée du cœur ou il accorde au défunt la vie éternelle ou le condamne au néant.

  

   Pendentif du Roi Osorkon II
  La Triade Osirienne – Abydos

XXIIe dynastie–  Musée du Louvre

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Ouadjet

Musée du Louvre

      OUADJET

     

   Ouadjet, autres noms: Ouadjyt, Wadjet, Outo, Ouraios (Nom Grec) "Celle de la couleur du papyrus" ou "la Verte"  et d’après A.H.Gardiner, son nom était aussi prononcé Edjo, est la Déesse protectrice de la Basse Égypte et la Déesse de la fertilité des sols et des eaux. A l’origine, elle était la Déesse cobra de Dep, un des deux quartiers de la ville de Bouto "le domaine d’Ouadjet", son lieu de culte dans Nord du Delta (VIe nome de Basse Égypte). Elle était aussi adorée à Tanis. Elle est la fille d’Anubis et l’épouse de Hâpy-Meht.  

 

   Elle est représentée sous la forme d’un cobra dressé qui au front du Roi, menace de souffler le feu sur ses ennemis ou sous la forme d’une femme portant la couronne rouge de Basse Égypte, mais parfois aussi comme un serpent posé sur des papyrus. À la Basse Époque (Sous la XXVIe Dynastie), dans une série de bronze, Ouadjet apparaît sous la forme d’une femme à tête léontocéphale (Divinité à tête de lion). 

 

   Alors que Nekhbet est la protectrice de Haute Égypte, Ouadjet est la Déesse de la Basse Égypte. À l’origine, dans le Delta, la Déesse était associée à l’Horus de Pé. Ces deux Déesses sont présentes dans la titulature du Pharaon sous le nom des "Deux Maîtresses", le Nom de Nebty.

  

   En tant que protectrice de la royauté, Ouadjet est assimilée à l’uræus. Elle est dans ce cas identifiée à l’œil de au même titre que Sekhmet et Tefnout. Enfin, elle est donnée comme parèdre au Dieu Mandoulis, honorée à Kalabsha en Nubie. Elle est la Déesse titulaire du mois d’Epiphi (15 mai-13 juin, saison Shemou). Elle est assimilée à Horus Enfant, qu’elle protégea, dans les marais du Delta, contre Seth. Les Grecs l’assimilèrent à Léto.

 

 

  

  

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                Ptah-Patèque

               Musée du Louvre

     PTAH

     Ptah – Musée du Louvre

   Ptah "Celui qui ouvre" est le Dieu créateur, il est le protecteur des artistes et des artisans et le démiurge de Memphis où on le considérait comme le créateur du cosmos. Il aurait pensé le monde dans son cœur et puis l’aurait réalisé par le verbe. Il est l’une des premières Divinités de l’Égypte. Ses principaux lieux de culte étaient, Memphis, Abydos et Thèbes (Sous le nom de Ptah-Sokar), Pi-Ramsès et Abou Simbel en Nubie.

 

   Il est représenté sous la forme d’un homme portant la barbe divine, enserré dans un manteau momifiant, coiffé d’une calotte bleue, tenant un sceptre alliant les symboles qui le définissent : Ânkh (la vie), Ouas (le divin) et Djed (la stabilité). Généralement debout, mais aussi assis, il est souvent représenté à l’intérieur d’un naos dans la fenêtre duquel s’encadre son buste. Il peut aussi être représenté sous la forme de Ptah-Patèque, un nain nu difforme.  Il prendra ensuite les apparences de Sokaris puis de Taténen, qui est une forme chtonienne du Dieu (Divinités qui se réfèrent au monde souterrain) et deviendra Ptah-Tennen (ou Tenen).

 

   Il est l’époux de Sekhmet et le père de Néfertoum, avec qui il forme la triade de Memphis. Sous l’Ancien Empire, Ptah est le Dieu royal avec . Plus tard il sera associé à Osiris. Il joue également un rôle dans la préservation de l’univers et a la permanence de la fonction royale. Le taureau Apis est son porte-parole.

 

                                                              

 

 

  

 

   

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