Quelques Divinités du panthéon :
Seth
 

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Sommaire
 

Fonctions et origine
Ses représentations et symboles
Ses lieux de cultes principaux
Le culte de Seth
Légendes et mythes
Bibliographie

 

Seth – Musée du Louvre Ancien Empire
Moyen Empire
Nouvel Empire
Gréco-romaine
Il existe d’autres cartouches de son nom au cours de chaque période
¤tX – ¤wtx

 


 

Statuette de Seth – Ny Carlsberg
Glyptotek – Copenhague

 

Fonctions et origine

 
   Seth (ou Set ou Setekh ou Setesh ou Seti ou Sutecho ou Sou-tekh, en Grec : Set  Σεθ, en Copte : Sēt), n’a pas de signification exacte pour son nom, celle-ci restant inconnue. Il est proposé “celui des bandelettes” ou Sou-tekh, pour “celui du Sud", la graphie pouvant différer d’un point à l’autre de l’Égypte. Il aurait été à l’origine prononcé Sūtah.
 
   C’est est une divinité guerrière, on l’appelle aussi le “Dieu rouge“, le Dieu “Grand de force” (aA phty), il est le Dieu de la foudre et du tonner (Le tonnerre était sa voix et à travers lui la terre a tremblait), de la violence et du mal, du désert et de l’aridité et des pays étrangers. Il fut considéré dans l’ancienne Égypte comme la personnification du mal capable de détruire toute forme de vie. À l’origine, Seth incarnait donc les forces violentes de la nature, puisqu’il déchaînait les orages et les tempêtes et symbolisait les éléments hostiles et perturbateurs. Mais il fut aussi vu comme un Dieu bénéfique représentant la force et l’énergie, prêt à défendre le monde.
 
   Il fut notamment associé aux tempêtes de sable, en tant que Dieu du désert, et protecteur des caravanes qui traversaient le pays. En raison de l’extrême hostilité du climat du désert, il était considéré comme extrêmement puissant. Les personnes aux cheveux roux ou châtains étaient considérées de son obédience. Son caractère méchant et belliqueux en fit un des protecteurs de la barque solaire au cours du voyage nocturne d’Ouest en Est de . Ce dernier donna pour mission à Seth de repousser les attaques du serpent Apophis.
 
   Il fut le fils de Geb et de Nout et le frère : d’Isis, Osiris et Nephtys dont il fut également l’époux. Il fut par la suite associé aux limites désertiques du pays, dont il devint le patron et le maître. Bien souvent il est alliés aux Déesses Orientales Astarté ou Anat. Seth fut très vénéré à certaines périodes, en particulier : Sous la IIe dynastie lors du règne de Khâsekhemoui (2674-2647) qui changea même son nom d’Horus dans sa titulature en nom d’Horus-Seth ; Puis lorsque les Hyksôs conquirent l’Égypte et prirent le pouvoir lors de la XVe dynastie (v.1663-1530).
 
   Il devint leur Dieu associé à Baal (ou Baâl ou Ba’al) ; Enfin il fut un des Dieux préférés des Pharaons de la XIXe dynastie (Sethi I – 1294-1279 et Sethi II – 1203-1194) et des Ramsès lors de la XXe dynastie (1186-1069). À partir de la Basse Époque (656-332), on ne vit plus en lui que l’assassin de son frère Osiris (Voir Osiris) et l’usurpateur du pouvoir d’Horus et sa popularité déclina. Selon Jan Assmann, dans les Textes des Pyramides, Seth était considéré comme un “Dieu du Sud“. Les Grecs plus tard l’assimilèrent à leur Dieu Typhon.

 

Ses représentations et symboles

 
   À la fois Dieu protecteur et destructeur, bienfaisant et malfaisant, Seth fut un Dieu à deux visages. Pourtant, ses représentations ne varient qu’assez peu et ne traduisent pas ces notables différences de tempérament. Il est représenté comme un animal (non identifié avec certitude) au museau allongé et aux oreilles dressées. Certains avancent qu’il s’agit d’un chacal, d’autres chercheurs pensent qu’il s’agit de l’Oryctérope du Cap (ou Orycteropus afer), aussi appelé cochon de terre, qui est un mammifère fourmilier d’Afrique, enfin d’autres le considèrent comme un composite d’un oryctérope, d’un âne, d’un chacal et d’un fennec ?. Le plus souvent Seth est représenté de manière anthropomorphe, comme un homme ayant une queue fourchue, avec la tête de cet animal mythique, dit Séthien. Il est coiffé d’une lourde perruque. Des animaux fabuleux ou plus communs se substituent à la représentation traditionnelle lorsque Seth est figuré en train de défendre contre le serpent Apophis. Lorsqu’il est assimilé à Baal (ou Baâl ou Ba’al), Dieu de l’orage et des tempêtes, d’origine Syro-palestinienne, il porte alors la tiare à cornes et s’arme d’un arc et de flèches. Les plus anciennes représentations de lui trouvées à ce jour le montre sur un objet en ivoire mis au jour dans une tombe datant de la culture de Nagada I (4000-3500) et il apparaît clairement sur la tête de massue du Roi Scorpion II (v.3075).


 

Les Dieux Seth (à gauche) et Horus (à
droite) en adoration devant Ramsès II –
Petit temple à Abou Simbel

Photo avant retouche : wikimedia.org


   Ses symboles étaient :
Ses attributs divins : Il n’a pas d’attributs particuliers et porte le traditionnel sceptre Ouas, qui rappelle sa puissance et la croix Ânkh communs à de nombreuses divinités.
 
Sa couleur et ses éléments : Sa couleur était le rouge, couleur du désert et des fléaux. Seth fit siens des quatre éléments.
 
Ses Animaux : Beaucoup d’animaux lui sont consacrés. On les dit “typhoniens“, du nom du Dieu Grec et dévastateur Typhon, c’est-à-dire porteurs de malheur, c’étaient : L’hippopotame, l’âne, le cochon, les poissons et d’une manière générale tous les animaux du désert.
 
Les fêtes en son honneur : Des fêtes locales étaient organisées dans les lieux de culte qui lui étaient propres. On l’invoquait également comme protecteur lors du couronnement et du jubilée du souverain.

 

Ses lieux de cultes principaux

 
   Malgré sa mauvaise réputation, Seth fit l’objet d’une vénération à Ombos (Entre Thèbes et Coptos), son lieu de naissance réputé, où il eut un sanctuaire important et Oxyrhynchos (en Haute-Egypte), mais aussi à Sou (Fayoum), ainsi que dans la région Nord-est du Delta. L’oracle de Seth était consulté dans les oasis à Deir el-Hagar et Mut el-Kharab dans celui de Kharga (ou Karghèh) et dans celui de Dakhla (ou Dakhlèh) au Sud-ouest du pays. On lui connait aussi des sanctuaires à AvarisApopi I (1581-1541) lui construisit même un temple, Abydos et Pi-Ramsès. Chaque année, à Edfou, un “Festival de la victoire” en l’honneur d’Horus était organisé. Seth se trouvait là représenté comme un hippopotame tué par Horus avec dix harpons. Chaque harpon frappait une partie de son corps. À la fin du rituel, un gâteau hippopotame était découpé et mangé, ce qui était censé représenter la destruction totale de Seth.
 

Le culte de Seth

 
   Malgré sa mauvaise réputation et des récits mythiques peu flatteurs à son égard, Seth fut un Dieu vénéré et même si peu de temples lui furent consacrés, il eut toujours sa place dans les cultes rendus par les souverains. Seth fit l’objet d’une vénération particulière à certaines périodes, comme lorsque les Hyksôs conquirent l’Égypte et prirent le pouvoir lors de la XVe dynastie (v.1663-1530). Il devint leur Dieu associé à Baal. Puis il fut un des Dieux préférés des Ramsès lors de la XXe dynastie (1186-1069). À partir de la Basse Époque (656-332), on ne vit plus en lui que l’assassin de son frère Osiris (Voir Osiris) et l’usurpateur du pouvoir d’Horus et sa popularité déclina. Les Grecs plus tard l’assimilèrent à leur Dieu Typhon.
 


 

Stèle d’Aâpakhte – Aâpakhte
adorant Seth – Fin XIXe
dynastie – British Museum

   La personnalité de Seth est, il est vrai, particulièrement complexe, bienfaisante et protectrice, mais aussi malfaisante et destructrice. Aussi ne sera-t-on pas étonné que l’essentiel de son culte lui ait été rendu par le souverain lui même pour la puissance qu’il incarnait. Les Rois et Pharaons ne furent pas insensibles aux aspects indomptables et terrifiants de cette divinité. Ainsi Seth fut-il au même titre qu’Horus protecteur au premier des cinq noms du Roi. Sethi I (1294-1279) et les Ramessides, qui lui succédèrent, sous les XIXe (1295-1186) et XXe dynasties (1186-1069), lui vouèrent une dévotion particulière. On retrouve Seth intégré au rite du couronnement. À l’occasion de cet événement, Seth et Horus étaient censés accomplir le rite de Semataoui (Celui qui unit le double pays – smA-tAwi), symbolisant la réunion des Haute et Basse-Égypte. Aussi appellera-t-on Seth le Maître du Double Pays. La réalité diffère cependant quelque peu, la Haute-Égypte lui étant plutôt soumise tandis que la Basse-Égypte était affectée à Horus. Entre les terres unies et désertiques de l’un et celles cultivées de l’autre se formulait tout ce qui opposait Seth à son neveu. De même que la mer terrifiante, inconnue et indomptable revenait à Seth, le Nil nourricier relevait de son frère Osiris.
 
   Seth, fut aussi vénéré comme un Dieu militaire, le maître d’armes du Roi, et l’on n’hésitait pas à comparer le cri de guerre du souverain au rugissement terrible de Seth. Avec le Nouvel Empire (1549-1080), se développèrent les visées expansionnistes des Pharaons ramessides. L’Égypte se dota progressivement d’une véritable armée professionnelle. La levée d’une armée de métier n’empêcha cependant pas le Pharaon, lorsque les circonstances l’y obligeaient, à recourir à la conscription. Ce fut ces divisions d’appelés que l’on plaça sous la protection d’Amon, de , de Ptah et de Seth. La soumission des peuples étrangers lui revint donc. Mais certaines invasions (Hittites, Hyksos, etc.) lui furent aussi imputées. Il était alors un Dieu néfaste.
 
   Il fut donc très souvent attribué à Seth les jours néfastes du pays. Les Égyptiens ne pratiquaient pas l’astrologie, ils croyaient en revanche en des jours fastes et néfastes qui orientaient plus ou moins la destinée des hommes. Ces jours coïncidaient avec la date anniversaire d’événements divins. Seth ne fut bien évidemment pas absent de cette croyance. Ainsi le 27e jour du mois d’Athyr (17 Septembre au 16 Octobre dans la saison Akhet) fut faste puisque ce jour-là Horus et Seth firent la paix. En revanche, le deuxième des cinq jours épagomènes (regroupés à la fin de l’année) fut traditionnellement maléfique. Ce jour-là, Seth naquit douloureusement de la hanche de sa mère. Les Égyptiens en conservèrent le souvenir au travers de la crainte inspirée par cet événement. Ainsi était-il recommandé de ne rien faire du tout, de rester chez soi et d’attendre un jour meilleur qui ne tarderait pas à venir.

 

Légendes et mythes

 
   Dans la mythologie, il fut battu par Horus, qui vengea ainsi la mort de son père Osiris, après une guerre de quatre-vingts ans, pendant laquelle Seth arracha l’œil gauche d’Horus et Horus arracha une jambe de Seth. Après sa victoire, Horus devint le maître légitime de la Haute et de la Basse-Égypte. Les mythes relatifs à Seth le dépeignent comme un Dieu ambitieux, comploteur, manipulateur, quand il ne se résume pas tout simplement à un assassin. Bien peu de vertus sont attribuées à son actif, que pourtant défendit sans relâche contre l’avis de toute sa famille. Seth était, il est vrai, le protecteur du soleil. Seth est associé à deux des grands mythes de l’Egypte antique : Le mythe Héliopolitain qui le met en scène avec , et le mythe Osirien où il se fait assassin de son frère.


 

Seth – Ny Carlsberg Glyptotek
– Copenhague


   Dans le premier Seth fut le défenseur de la barque solaire. Depuis le premier jour, voyageait dans le ciel à bord de sa barque qui l’emmenait le jour d’Est en Ouest, puis la nuit d’Ouest en Est. Si le voyage diurne se faisait sans problèmes, la traversée nocturne du monde du dessous s’avérait beaucoup plus périlleuse. Noyée dans l’obscurité qu’elle fendait à vive allure, la barque était épiée depuis les profondeurs des ténèbres par Apophis, le serpent du chaos. Terrifiant, rapide, le monstre surgissait et se dressait, gigantesque devant l’esquif solaire. Mais c’était sans compter avec Seth placé à la proue de la barque et qui d’un coup de pique envoyait le serpent monstrueux aux confins du monde. Hélas, la scène est sans cesse recommencée, au même titre que les nuits et les jours alternent indéfiniment. Cette lutte perpétuelle symbolisait la victoire de l’ordre sur le chaos. On comprend dès lors que avait pour Seth une certaine estime. Une estime telle, qu’elle valut à ce dernier d’être soutenu par le Dieu des Dieux, même lorsque son cas face à Horus fut indéfendable. Ce qui rejoint le deuxième mythe. Au-delà de l’assassinat d’Osiris, Dieu Roi de l’Égypte, par Seth, sans cesse poussé par son insatiable jalousie, Seth eut tôt fait de reporter sa haine sur son neveu Horus. Car une fois Osiris tué se posa inévitablement le problème de la succession à la tête du pays.
 
   Seth et Horus, eurent une lutte sans fin. Ce dernier était l’héritier de la couronne d’Égypte, mais Seth, jaloux, s’en empara par la force. Horus, appuyé de sa mère Isis, fit convoquer le tribunal des Dieux afin de régler ce contentieux. le présidait, tandis que Thot tennait le rôle de greffier. Quatre-vingts ans s’écoulèrent pourtant sans que le débat ait progressé. Le tribunal fut même partagé entre les tenants de la royauté légitime, revenant à Horus, et qui voyait en Seth son perpétuel défenseur contre Apophis. Les débats, qui tournaient en rond, nécessitaient un avis extérieur. Ce fut donc à Neith, réputée pour son infinie sagesse, que Thot s’adressa. Sa réponse fut sans ambiguïté : La couronne revenait à Horus. Cependant pour ne pas pénaliser Seth, Neith proposa de lui offrir les Déesses Anat et Astarté comme épouses. Si le tribunal se réjouit de cette solution, , lui, resta sceptique.
 
   Horus était un peu jeune pour assumer la direction du royaume. Isis, excédée par tant de tergiversations, proposa de déplacer les débats à Héliopolis devant Atoum et Khépri. Seth furieux s’y opposa et ordonna que les débats se fassent en l’absence d’Isis. Mais c’était sans compter avec la ténacité de la Déesse. Elle se réintroduisit dans l’enceinte du tribunal sous les traits d’une belle jeune femme qui ne manqua pas d’attirer rapidement l’attention de Seth. Tous deux finirent même par converser. Troublé par tant de beauté, Seth s’égara dans des propos compromettants, reconnaissant même la légitimité filiale d’Horus. La rusée Isis se dévoila alors. Le coup de théâtre laissa Seth sans voix. Quant à , il put juger de l’imprudence de Seth, qui se confia sans prendre garde à une inconnue. Aussi la couronne revint-elle à Horus des mains de lui-même.
 
   Seth ne voulut pas en rester là. Il proposa à Horus des jeux sportifs. Parmi eux, une épreuve aquatique où les deux Dieux se transformaient en hippopotame. Celui qui resterait le plus longtemps sous l’eau deviendrait Roi. Mais Isis perturba la partie et s’attira le mécontentement des deux protagonistes. Les trois divinités se déchirèrent en de violentes disputes. désespérant d’assister enfin à une réconciliation les invita à faire la paix autour d’un banquet. Mais une fois encore, les réjouissances tournèrent court. Les luttes ne cessèrent de se multiplier. Osiris, resté silencieux, intervint alors et mit directement en cause le tribunal qu’il jugeait trop laxiste. En tant que Dieu de la végétation, il menaça de couper les vivres à l’Égypte. Les Dieux bousculés par tant d’autorité ne tardèrent pas à rendre un verdict favorable une nouvelle fois à Horus. Mais Seth ne fut pas oublié. Placé aux côtés de , il devint "celui qui hurle dans le ciel" pour que soit fait place devant le Dieu créateur.
(Voir Légendes et Mythes d’Horus)
 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur le Dieu voir les ouvrages de :
 
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