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DOUAMOUTEF

  Divinité protectrice de l’estomac des morts. Elle est représentée avec une tête de chacal et souvent associé à la ville de Hiérakonpolis. Il est l’un des quatre génies funéraires anthropomorphes, appelés "Les fils d’Horus". Ils avaient pour mission de garder les viscères du corps du défunt. À partir de la fin de la XVIIIe dynastie, les bouchons des vases canopes sont modelés à l’image des Divinités qui les protègent.

 

  Le vase canope qui renferme l’estomac protégé par Douamoutef, à un couvercle qui représente une tête de chacal. Pour que le pouvoir s’accomplisse et qu’il protège les organes momifiés, ce Génie doit être associé à une Déesse et à un point cardinal. Pour Douamoutef c’est la Déesse Neith et l’Est.

 

                                   

 

 

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           GEB                                         Déesse Nout portée par Shou

  Geb fait partie de la grande Ennéade d’Héliopolis. Ses autres noms sont Keb ou Seb. Il est le Dieu de la terre, de sa fertilité et des plantes. Il symbolise la Terre, laissant à sa sœur Nout, le royaume de cieux. Il est responsable des nourritures terrestres ainsi que de tout ce que le sol peut contenir, les graines, les minéraux et les animaux qui y vivent.

 

   Il est représenté sous forme humaine avec une couronne rouge et une perruque en trois parties sur laquelle est posée une oie (L’idéogramme de son nom). Ses lieux de culte étaient Héliopolis en Basse Égypte et le temple de Coptos en Haute Égypte. Il est le frère et l’époux de Nout, Déesse du ciel, avec qui il apparaît souvent sur les sarcophages et est le père d’Osiris, Isis, Nephtys et de Seth.

             Geb et Nout séparés par Shou – Musée du Louvre

   La légende raconte que Geb et Nout étaient si proches que rien ne pouvait s’interposer entre eux, mais ils furent séparés par leur père Shou. Grâce à une ruse de Nout, ils réussirent à s’unir et eurent quatre enfants. L’histoire dit que Geb et Nout s’unissaient la nuit en le secret et ils étaient séparés par Shou au petit matin.

 

   Dans ses représentations, on voit Geb généralement couché sur le dos, portant souvent la couronne de la Basse Égypte, le corps nu de Nout est arquée au-dessus de lui. Sa peau est souvent verte, indication sur son rôle de Dieu de fertilité et la végétation qui l’associe aux collines, aux vallées et aux montagnes.

 

   Les Égyptiens pensaient que les tremblements de terre avaient comme origine les éclats de rire de Geb. Il préside le tribunal divin et en tant que premier Roi, il est le modèle de la royauté héréditaire. Geb a aussi fait emprisonner les âmes des morts, les empêchant de passer à la vie d’outre-tombe.

 

 

 

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Livre des Morts – XIXe dynastie
British Museum

HÂPY

   Il est la personnification de la crue du Nil et responsable de la fertilité de la terre et est ainsi le garant de toute vie. Il est le génie de l’abondance et de la fécondité. Il est représenté de façon androgyne, avec la peau bleue, un ventre proéminent et gras et des énormes seins tombants. Il porte souvent une table d’offrande chargée de nourritures de toutes sortes provenant des différents nomes d’Égypte. Sa couronne représente des papyrus (Symbole de la Haute Égypte) ou des roseaux (Symbole de la Basse Égypte).

 

  Ses lieux de culte se trouvent tout le long de la vallée du Nil, mais plus particulièrement à Éléphantine et à Gebel El-Silsila. Hâpy, avait un rôle prépondérant dans la vie des Égyptiens, car des crues du Nil dépendait leur survie. Selon la mythologie, Hâpy vivait dans deux lieux cachés "les cavernes de Hâpy". Le premier se situait sous la première cataracte du Nil, non loin d’Éléphantine. De là, il versait le contenu de deux jarres pour faire monter les eaux du Nil en Haute Égypte. L’autre était situé en Basse Égypte près de Memphis et servait à approvisionner le Delta. 

 

 

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                HÂPY    ou   HÂPI

  Divinité protectrice des poumons des morts. Elle est représentée avec une tête de babouin. Il est l’un des quatre génies funéraires anthropomorphes appelés : "Les fils d’Horus". Ils avaient pour mission de garder les viscères du corps du défunt. À partir de la fin de la XVIIIe dynastie, les bouchons des vases canopes sont modelés à l’image des Divinités qui les  gardent.  Le vase  canope qui  renferme les

poumons protégés par Hâpy, à un couvercle qui représente une tête de babouin. Pour que le pouvoir s’accomplisse et qu’il protège les organes momifiés, ce Génie doit être associé à une Déesse et à un point cardinal. Pour Hâpy c’est la Déesse Nephthys et le Nord. La Divinité était parfois représentée sous l’aspect d’une momie ou encore en train de marcher.

 

    

 

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  HATHOR

  Hathor  "Hout-Hr" dont le nom signifie "Demeure d’Horus" est la Déesse maternelle et elle est la nourrice symbolique du souverain. Elle nourrit aussi les vivants et les morts. C’est une Déesse universelle, comme Isis avec laquelle, à partir du Nouvel Empire, elle finira par se confondre. Elle est aussi, la Déesse de l’amour, la Déesse de la joie et du sycomore, Dame de la musique et de l’ivresse.

 

   Dans le panthéon Phénicien elle est intégrée comme grande Dame de Byblos. Elle est la Maîtresse (Reine) des pays étrangers : De Nubie, du pays de Pount, de Libye et de Syrie. Enfin elle est la Maîtresse de la turquoise et la protectrice de Thèbes. Hathor est certainement une des divinités les plus anciennes de l’Égypte, car sa représentation est marquée sur la palette du Roi Narmer  (v.3140-v.3080). 

 

 

   Elle est représentée sous la forme : D’une vache au corps étoilé ou d’une femme à tête de vache ou d’une femme coiffée de cornes de vache enserrant le disque solaire, ou encore avec un visage de femme à oreilles de vache. Dans les déserts de la Haute Nubie, elle est "la Lointaine" et a l’aspect d’une lionne. Son attribut est le collier à contrepoids qui est considérée comme l’œil de , c’est elle qui, dans la version de la création d’Hermopolis, châtie les humains.

 

   Dans la cosmogonie Héliopolitaine, Hathor est tantôt la fille de , tantôt son épouse. Elle est aussi quelques fois la femme d’Horus d’Edfou. Avec ce dernier, elle a conçu Harsomtus et Ihy (Dieu musicien, joueur de tambourin). Dans la saison Égyptienne Shemou, lors du mois d’Epiphi (15 mai au 13 juin) à l’occasion de la fête de la "Bonne Réunion" Hathor remontait le Nil jusqu’à Edfou, au temple d’Horus afin de s’unir à lui, ce qui assurai aux Égyptiens la fertilité des terres.

 

 

   L’un de ses plus grands lieux de culte est le temple de Dendérah où elle y est vénérée en tant que Déesse de l’amour. Elle constitue une triade avec d’Horus d’Edfou et Ity. Une chapelle lui est également dédiée dans le temple d’Hatchepsout à Deir El-Bahari. À l’occasion de la fête du Nouvel An, qui concorde avec le retour des inondations, une étincelle divine réanimait les idoles représentant la Déesse, ce qui avait pour effet d’assurer la présence d’Hathor tout au long de l’année.

Trois légendes lui sont associées :

 

   L’œil de Rê ou "oudjat" qui signifie "ce qui est complet", est une des formes que pouvait prendre Hathor. Il était libre et pouvait se détacher. Ces actions étaient soit commandées par son maître, soit l’œil agissait seul et parfois contre la volonté de son propriétaire. C’est pourquoi pendant un temps fut privé de son oeil. Il chargea alors Shou et Tefnout de partir à sa recherche et de le récupérer. Ceux-ci furent si longs à revenir que trouva un remplaçant à l’œil. Lorsqu’ils revinrent enfin, la colère de l’œil fut telle que , pour l’apaiser, le mit à son front. L’œil devint alors l’Uræus, le cobra féminin dévastateur, qui était symbole de puissance.

 

   Un texte, qui est sculpté dans plusieurs tombes de la Vallée des Rois, raconte que qui était devenu vieux dut affronter un complot des fomenté par les humains. Il envoya alors contre eux son œil, qui prit la forme de la lionne Hathor qui massacra les dissidents. Quand le Grand Dieu estima s’être assez vengé, il fit répandre un liquide enivrant de la couleur du sang sur le passage d’Hathor. La Déesse goûta le liquide, s’enivra jusqu’à sombrer dans l’inconscience et oublia ainsi sa poursuite.

 

   Le mythe de la Déesse lointaine :  Lorsque était le grand Roi de l’Égypte, son œil quitta le palais de son maître. Il prit la forme de la Déesse Hathor puis se rendit en Nubie et prit l’aspect d’une lionne sanguinaire. demanda alors à Shou et Thot de faire ce qui était en leur pouvoir pour faire revenir l’œil en Égypte. Afin de pouvoir approcher la Déesse, ces derniers se changèrent en singes. Thot parvint à convaincre Hathor de rentrer en Égypte. Dans le but de l’apaiser définitivement, il la précipita dans les eaux du Nil à la première Cataracte. Elle se transforma alors sous les traits d’une chatte de la Déesse Bastet. Les retrouvailles d’Hathor et de se firent à Philae. C’est là que l’on retrouvera les plus beaux hymnes rédigés en l’honneur de la "Déesse lointaine". 

 

      Hathor

Musée du Caire

        Hathor 

Musée de Louxor

 

 

 

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     HORUS

 

   Horus "Celui qui est au-dessus ou Le Lointain", est le Dieu du ciel, il est le symbole divin de la royauté, le Pharaon est son héritier et son incarnation sur terre. Il est aussi le Dieu de Behdet (Partie occidentale du Delta du Nil) et le Dieu de l’azur et des grands espaces célestes.

 

   Il est représenté sous la forme d’un faucon portant sur la tête le disque solaire et l’Uræus ou la double couronne ou encore comme un homme à tête de faucon.  Il est aussi représenté comme un enfant      nu avec un doigt (Le pouce) sur les lèvres, chez      les  Grecs il  est  Harpocrate ou Harsiésis, Horus         fils d’Isis

   Fils d’Isis et d’Osiris, il fait partie du mythe d’Osiris, car il est considéré comme le fils posthume de celui-ci, engendré par Isis. Lorsqu’il entre en lutte contre son oncle Seth  et revendique le trône d’Égypte, l’héritage de son père, Isis cache le jeune Horus dans les  marécages du Delta pour le soustraire à la violence de Seth. Il est l’époux d’une Divinité solaire mal connue "Le soleil femelle des deux terres". Il forme avec Osiris et Isis une triade.

 

  Il est l’une des principales divinités Égyptiennes et aussi l’une des plus anciennes.

Le culte d’Horus remonterait à la préhistoire, la liste royale du Papyrus de Turin donne le       nom de "Suivants d’Horus" aux Rois légendaires qui gouvernèrent l’Égypte après le règne des Dieux. Il est adoré dans tout le pays mais surtout à Edfou et Hiérakonpolis (En dessous de Thèbes). À Nekhen il est vénéré comme le faucon céleste dont l’œil droit est le soleil et l’œil gauche la lune. À Héliopolis, c’est en tant que Horahkty, (l’Horus de l’Horizon) ou il est à la fois le soleil du matin et le soleil du soir. Dans les Textes des Pyramides, le souverain défunt ressuscite sous l’apparence du faucon solaire.  Il est de ce fait, adoré sous des noms variés : Horus  vengeur de son père, Horus qui préside aux Deux Yeux, (Il présidait à la surveillance des rites et des lois), Horus fils d’Isis, Mantou  (Dieu de la ville d’Hermonthis, nom de Thèbes).   

 

   Sous les trois premières dynasties, le nom d’Horus était inscrit dans un sérekh, un rectangle surmonté du faucon. Il était représenté sur la façade stylisée du palais royal. Cela indiquait que le Roi, dans son palais, était l’Horus terrestre. Il était sa réincarnation et son successeur légitime sur le trône d’Égypte. À partir du Roi Khoufou (Khéops,2551-2528) la titulature royale est augmentée d’un autre titre, le nom d’Horus d’or.

 

 

 

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    ISIS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                Isis – Musée du Louvre

  Isis "aset ou Iset" dont le nom signifie "le trône", est la Grande Déesse de la création, elle a le pouvoir de ressuscité les morts. Comme sœur, épouse d’Osiris, Isis devient le symbole de la mère idéale (La Déesse mère) et comme mère d’Horus, par extension elle est considérée comme la mère protectrice des Pharaons. Ayant ramené Osiris à la vie, elle est aussi une Déesse guérisseuse et protectrice des naissances et des enfants. Les malades portaient parfois des amulettes à son portrait. Elle est aussi Protectrice du bien-être et des navigateurs en tant qu’Isis-Pharia. Elle est la fille de Geb et de Nout.

 

   Elle est parfois représentée comme une femme portant le disque solaire (ou lunaire) entre deux cornes de bœufs (Parce qu‘assimilée à Hathor) ou avec son hiéroglyphe (Un trône) sur la tête et le nœud isiaque sur le vêtement. Ses attributs étaient ceux de plusieurs autres Déesses comme Hathor, Neith et Nout. On trouve : La coiffe en forme de vautour, attribut des Déesses célestes, le disque solaire et les cornes d’Hathor, le collier menat et le sistre, la croix ansée ânkh, symbole de vie, etc… 

 

   Elle est semble t-il originaire de la ville de Bouto, dans le Delta où d’après le mythe elle éleva l’enfant Horus. À la fin de la Ve dynastie, elle est mentionnée dans les textes des Pyramides, où elle protège le Roi défunt de la décomposition. À l’époque Ramesside on construit en son honneur des sanctuaires à Abydos et à Memphis. Isis devient, à la Basse Époque, la plus importante Déesse du panthéon Égyptien. À l’époque ptolémaïque elle est assimilée à de nombreuses de Déesses Grecques ou Romaines telles que Déméter, Perséphone, Diane de Dictys, Séléné etc… C’est dans les derniers temps pharaoniques, avec l’arrivée des Romains, qu’Isis s’impose dans toutes les classes sociales et qu’apparaissent d’autres sanctuaires lui étant dédiés. Le principal étant celui de Philae en haute Égypte qu’il fallut déplacer sur l’île d’Agilika à cause du barrage d’Assouan.

  

   Jusque là, elle n’avait pas un culte propre et aucun temple ne lui était dédié. Elle a un culte important dans le monde Greco-romain ou elle est adoptée officiellement à l’époque impériale, avec des sanctuaires à Délos et Pompéi. Son épithète latine était Stella Maris, ou l’étoile de la mer. L’empereur Caligula (37-41) était un fidèle d’Isis. À Rome l’Empereur Caracalla (198-211) lui fait édifier un temple.

 

   Le culte d’Isis ou "la mère universelle", se répandit dans toutes les provinces romaines. Quand l’Empereur Justinien fait fermer définitivement son temple principal à Philae en 536 Ap.J.C, il ignore qu’Isis avait été récupérée depuis longtemps par le culte du mariage de l’Égypte Chrétienne. Sa représentation donnant le sein à Horus aurait inspiré l’image des premières vierges de la religion. Isis continuera à être vénérée et on trouvera de nombreux "Iseum" dans tout l’empire Romain : Belgique, Bretagne, Gaule, Germanie, Espagne, Portugal, Grèce etc. Avec un mélange d’architecture Égyptienne, hellénistique et romaine. Beaucoup plus tard, on trouve des traces du culte d’Isis en France : Au moyen âge, au XVIe siècle à Saint Germain des prés, en Déesse Révolutionnaire, sous le Ier empire etc….

 

   Elle joue un des rôles principaux dans le mythe de son frère et époux Osiris. Ce dernier est assassiné et démembré par son frère le Dieu Seth. Isis, grâce à ses pouvoirs magiques et avec l’aide de sa sœur Nephtys, réussit à réunir les membres et lui redonne la vie. Elle va enfanter dans le secret Horus et cacher l’enfant dans les marais de papyrus du Delta du Nil, pour le soustraire à la violence de Seth.

 

 

 

 

 

 

 

 

Cliquez pour agrandir l'imageIsis à l’époque ptolémaïque 

 

 

 

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           Khnoum  – Tombe de Ramsès VI

                        Vallée des Rois

 

KHNOUM

   Khnoum "le maître de l’eau fraîche" est le Dieu à Éléphantine de la première cataracte et gardien des sources du Nil. Il contrôle la crue du Nil en ouvrant, à Éléphantine, la "caverne d’Hapy" dans laquelle se trouvait l’Inondation et préservant ainsi le peuple de la famine. Il est représenté comme un bélier ou en homme à tête de bélier aux cornes horizontales, parfois surmontée d’une cruche.

 

   Khnoum est un Dieu très ancien qui est surtout connu par des textes datant du Ier siècle Ap.J.C qui sont gravés sur les parois du temple d’Esna.

 

   Ses lieux de culte sont : Antinoë, Éléphantine et Esna où il a une fonction de démiurge : C’est lui qui modela l’œuf primordial d’où jaillit le soleil dans le mystère de la naissance divine. Sur son tour à potier, avec le limon du Nil, il façonne ensuite les Dieux, les hommes et toutes espèces vivantes. Il est Associé à Neith à Esna, Héqet à Antinoë et à Anuket et Satis à Éléphantine avec qui il forme la triade d’Éléphantine.

  

Khnoum – Musée du Louvre

 

 

 

 

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    KHONSOU

Fresque en granit rose représentant Khonsou

 Époque Romaine –  Musée du Louvre

  Khonsou, autre nom Chonsou "le voyageur" est le Dieu de la lune. Il lutte contre les forces des ténèbres aux côtés du Pharaon. Plus tard il est aussi Dieu de la guérison sous le nom de " Khonsou le Conseiller".  

 

   Il est représenté soit comme un homme à la tête de faucon coiffé du globe lunaire ou d’un croissant de lune. Soit sous l’aspect d’un enfant, le crâne rasé, portant la mèche latérale des enfants royaux ou divins. Il a le corps enveloppé dans une gaine moulante comme une momie et il tient dans les mains les emblèmes de la royauté.

 

   Son lieu de culte est le temple de Karnak à Thèbes. Il est considéré dans la triade de Thèbes, à partir du Nouvel Empire, comme fils d’Amon et de Mout. Il possède le redoutable pouvoir de déclencher les maladies, mais aussi d’éloigner les mauvais génies qui en sont responsables. Les Grecs l’assimilent à Héraclès.

 

 

      

                                                      

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