Quelques Rois Importants :
Snéfrou
2575- 2551
 

Nous avons besoin de vous

….Retour à la IVe dynastie

 

 
Sommaire
 

Sa titulature
Son origine
Sa durée de règne
Son règne
Sa renommée
Sa famille
Sa sépulture
Bibliographie

 

           DATES  de  RÈGNE
         2575-2551
   J.P.Allen, J.Kinnaer, O.Vendel
2670-2620  R.Krauss, T.Schneider
2655-2607  D.Sitek
2649-2609  D.B.Redford
2630-2605  P.A.Piccione
2614-2579  J.von Beckerath
2613-2589  P.A.Clayton, I.Shaw
2600-2555  D.Arnold
2597-2547  A.M.Dodson
2573-2549  J.Malek
2570-2545  A.Eggebrecht
2561-  ?     H.W.Helck
2561-2538  P.Vernus, J.Yoyotte

 

Sa titulature
  • Hr nb-mAat , hr nb-mAat snfr
  • nb.ti nb mAat
  • bik nbw
  • ………………
  • snfrw , s-nfr
     
  • Sôris   (Manéthon)

 

Noms d’Horus Horus Nebmaât
(Horus, seigneur de l’harmonie) ou
(Horus, Celui de beauté)

Hr nb-mAat
Horus Nebmaât Snéfrou
(L’Horus Snéfrou Seigneur de l’harmonie)
Hr nb-mAat snfr
Nom de Nebty Nebty Nebmaât
(Les deux Dames Maîtresses de l’harmonie)
nb.ti nb mAat
Nom d’Horus d’or Bik Nebou
(Le faucon d’or)
bik nbw
Noms de naissance
(Nomen)

Abydos 20
 
Saqqarah 16
 
Turin 3.9
 
Snéfrou
(Celui qui rend beau [parfait])
snfrw
Snéfer…..
(Le parfait …..)
s-nfr…

 

Son origine


 

La titulature de Snéfrou dans un Sérekh –
Stèle de Dahshour –
Musée Égyptien du Caire

 
   Snéfrou (ou Snefrou ou Snofru ou Sneferu) est un Roi de la IVe dynastie. Il est appelé par Manéthon, Sôris. Il est considéré aujourd’hui par la majorité des spécialistes comme le fils d’Houni (2599-2575) et de la Reine Méresânkh I. Toutefois, il convient de signaler qu’il n’existe pas de preuve contemporaine, mais seulement une inscription sur la Pierre de Palerme (Datant de la Ve dynastie) et un graffito datant de la XVIIIe dynastie (1549-1295). Pierre Montet affirmait dans les années 60, que Snéfrou n’était pas lié à la famille royale, mais qu’il fut à l’origine un responsable provincial de la région de Béni Hasan. Cette hypothèse était basée sur la désignation du nom de lieu "Menat-Snéfrou" du temple funéraire du Roi dans son complexe de Meïdoum. À Béni Hasan il y a dans la nécropole un endroit appelé "Menat-Khoufou". Montet soupçonnait que les deux endroits soient identiques et que c’est seulement après l’investiture du successeur de Snéfrou, Khoufou que le lieu aurait été renommé. Sans autre preuve, ces considérations n’ont qu’une valeur hypothétique.
 

Sa durée de règne

 
   La durée exacte du règne de Snéfrou est, aujourd’hui encore, assez incertaine. Manéthon lui donne 29 ans de règne (Africanus). Le Papyrus de Turin lui en compte 24 ans. Il est très difficile d’évaluer la longueur précise de ce règne. La majorité des chercheurs penchent pour qu’il fut assez long et opteraient pour la durée donné par le Papyrus de Turin. Les appréciations des chercheurs vont donc de 24 ans pour certains comme : James Peter Allen, Jacques Kinnaer, Jaromir Malek et Ian Shaw, jusqu’à 50 ans pour Rolf Krauss, Thomas Schneider et Rainer Stadelmann (45/48 ans), voire 60 ans pour Donald Bruce Redford !!. Pourtant, en contraste avec la plupart des autres souverains de la IVe dynastie, ce Roi est assez bien documenté par des sources contemporaines qui nous sont parvenues. Les principales sont la Pierre de Palerme et le fragment N°4 du Caire. Rolf Krauss, avec l’aide de dates trouvées dans la pyramide Rouge de Dahshour, a calculé que les trois pyramides furent construites entièrement dans une période de seulement 31 ans.
 


 

Statue de Snéfrou –
Musée Égyptien du Caire

Son règne

 
   Sous le règne de Snéfrou on assiste à une importante réorganisation de la structure administrative de l’Égypte. Alors que l’administration n’avait en charge uniquement que la gestion des produits agricoles simples, depuis le début de l’Ancien Empire (2647-2151) elle dirige à présent l’ensemble du pays qui est divisé en nomes. À la fin de l’Ancien Empire on compte 38 districts (Le nombre augmentera à l’époque Romaine à 42). On trouvera les noms de ses nomes pour certains dans la tombe d’un haut fonctionnaire nommé Metje à Abousir. Dix dans le temple de la vallée de la pyramide rhomboïdale à Dahshour. Deux sur une stèle d’un fils de Snéfrou, Netjeraperef et deux dans la fosse d’un fonctionnaire, Pehernéfer (ou Peher-Nefer) à Saqqarah.
 
   Snéfrou crée la charge de Vizir, mais la fonction existait déjà depuis quelque temps. Celui-ci était chargé d’administrer le pays au nom du Roi et de recenser le bétail. Plusieurs des fils du souverain auront, entre autres, cette fonction : Néfermaât, Ka-Néfer, Ânkhhaf, Kaouâb. La presque totalité des Hauts fonctionnaires furent des nobles de la cour et des membres de la famille royale. Son fils Rahotep sera Général et le Grand Prêtre de d’Héliopolis. À partir du règne de Snéfrou, le Dieu Horus devient le Dieu dynastique et Guizèh devient la nécropole royale.
 
   Snéfrou va avoir une politique extérieure importante, au niveau commercial tout d’abord. La Pierre de Palerme nous rapporte la construction de navires commerciaux et l’envoie d’une expédition de quarante bateaux vers le Liban afin de ramener du bois de cèdre. C’est avec ce bois, très cher, que l’on construisait de nouveaux navires et les portes des palais. Le Roi va aussi porter une attention toute particulière à l’exploitation des mines dans le Sinaï. Il fait exploiter si efficacement la région qu’il y devient une divinité locale. À l’Ouâdi Maghara, mais surtout dans le temple d’Hathor de Serabit el-Khadim et ses environs, il bénéficiera en son honneur d’un grand nombre de stèles, de statues, de tables d’offrandes et d’inscriptions rupestres. Snéfrou y était considéré comme la divinité protectrice.


 

Ânkhhaf –
Museum Fine Art –  Boston

 
   De son activité militaire, la Pierre de Palerme nous rapporte deux campagnes. La première est dirigée contre la Nubie. 7.000 prisonniers et 200.000 têtes de bétail vont être capturés. Des renseignements supplémentaires sur cette campagne nous sont fournis par deux inscriptions rupestres, à Khor el-Aquiba, en face Karanog (Ville de Nubie au Nord de la seconde cataracte). Une nous rapporte que le commandant de l’armée Égyptienne, forte de 20.000 hommes, est un haut fonctionnaire nommé Khaibaoubata. L’autre inscription nous dit qu’au retour de l’armée, le commandement est assuré par un autre haut fonctionnaire nommé Saouibi. Comme le précise Roman Gundacker, les inscriptions ne sont pas claires quant au fait de savoir si le commandement changea à cause du décès de Khaibaoubata, ou si tout simplement les deux généraux cohabitaient.
 
   La deuxième campagne militaire eut lieu vers la fin du règne de Snéfrou et fut dirigée contre la Libye. Elle se termina par la capture de 1.100 Libyens et de 13.100 têtes de bétail. On pense que Snéfrou apporta aussi une protection militaire à la péninsule du Sinaï et ses mines de cuivre et de turquoise. La seule source qui pourrait affirmer cette supposition est une inscription à l’Ouâdi Maghara, mais la nature et l’étendue de la sécurité de ce territoire ne sont pas précisées. Selon Guillemette Andreu-Lanoë la politique étrangère du Roi a joué un grand rôle dans le pays. Les conquêtes Snéfrou en Libye et en Nubie ont servi une double nature, le but premier était de créer un vaste marché du travail et le second objectif était d’obtenir un accès aux matières premières et des produits spéciaux qui étaient disponibles dans les pays conquis.

 


 

La Pyramide de Meïdoum

Sa renommée

 
   Snéfrou fut tout au long de l’histoire Égyptienne, même tardivement, très vénéré et un culte en son honneur fut longtemps célébré. On sait qu’à la fin de la VIe dynastie (2321-2150) dix-huit Prêtres étaient liés au culte du Roi. Quatre d’entre eux sont enterrés à Guizèh, un à Abousir, un à Meïdoum et douze à Dahshour. Roman Gundacker nous précise, toutefois, que ce ne sera pas le Roi le plus honoré de la dynastie puisque l’on comptera 32 Prêtres pour Khafrê (Khéphren, 2518-2492) et 67 pour Khoufou (ou Khéops, 2551-2528). Au Moyen Empire (2022-1650), dix Prêtres seront encore affectés au culte de Snéfrou. En outre on a retrouvé, datant de cette période, sur de nombreux monuments, des formules invoquant le Roi et les Dieux. Ce qui confirme qu’à cette époque Snéfrou était vénéré comme une divinité.
 
   Il est considéré dans l’histoire comme le souverain idéal et juste, c’est d’ailleurs ainsi qu’il est présenté dans diverses œuvres littéraires comme : La prophétie de Néferty, L’enseignement pour Kagemni et Les histoires du papyrus Westcar. Les traces des dernières mentions Égyptiennes concernant Snéfrou proviennent du IIe Siècle av.J.C, pendant la période Ptolémaïque. Elles sont relativement importantes, notamment une stèle et un sarcophage de deux Prêtres qui officiaient à Saqqarah. Il est probable que Snéfrou au cours de cette phase tardive de l’histoire Égyptienne ait pris le rôle d’un Roi primitif ou d’une divinité de la nécropole locale, peut-être dans le voisinage du Serapeum où, selon Dietrich Wildung, il reçut un culte.

 

Sa famille

 
Snéfrou eut trois épouses :


 

Rahotep – Musée Égyptien du Caire

 
Hetephérès I (ou Hetep-Hérès – htp-hr.s – "Son visage est plein de grâce"), sa demi-sœur, ce qui selon quelques spécialistes donne ainsi légitimité à son accession au trône. Un trésor magnifique fut retrouvé dans la tombe G1a (P1) d’Hetephérès I. Il faut souligner que dans toutes les inscriptions énumérant les différents titres de cette Reine on n’a jamais retrouvé ceux d’Épouse du Roi (hmt-nswt), ce qui laisse supposer à quelques spécialistes qu’elle ne fut qu’une concubine et qu’elle ne prit de l’importance qu’avec la monté sur le trône de son fils. Elle donna à Snéfrou un ou deux fils et une fille, le nombre change en fonction des égyptologues :

Khoufou (ou Khéops, 2551-2528) qui va succéder à son père.
Kaouâb I (ou Kawab ou Kouaf) qui selon des recherches récentes de Roman Gundacker serait leur 2e fils. Il est jusqu’à aujourd’hui largement considéré par les spécialistes comme le fils de Khoufou et Méritâtès I. Il est assassiné peu après son mariage avec sa sœur (ou nièce) Hetephérès II.
Hetephérès qui, selon certains égyptologues comme Aidan Marc Dodson, Laurel Flentye et Dyan Hilton, épouse son demi-frère le Vizir Ânkhhaf. Elle n’est donnée comme fille d’Hetephérès I que par quelques spécialistes qui justifient leur approche par la similitude du nom.

 
• Une épouse dont le nom n’est pas connu qui lui donne quatre enfants :

Néfretkaou (ou Néfertkaou), qui est la fille ainée du Roi. On ne connait pas le nom de son époux. Un de ses fils, nommé Néfermaât, aura le titre de Vizir. Certains spécialistes pensent que le père est Snéfrou. Elle fut enterrée à Guizèh, dans la nécropole à l’Est de la pyramide de Khoufou, dans le mastaba G7050. Sa tombe remonte à l’époque de Khafrê (ou Khéphren, 2518-2492), ce qui laisse supposer qu’elle vécut relativement vieille.


 
Nofret – Musée Égyptien du Caire

Néfermaât qui sera le premier Vizir de Snéfrou. Il aura, entre autres, les titres de Prince Héritier, Prêtre de Bastet, Gardien de Nekhen etc… Il épousera Itet. Il fut enterré avec son épouse dans la nécropole de Meïdoum. Le couple eut 15 enfants connus parmi lesquels un fils nommé Hémiounou qui se distingua particulièrement en occupant de hautes fonctions sous Khoufou et il fut probablement un des responsables de la construction de sa grande pyramide. Ses autres enfants ne sont connus que par des représentations dans sa tombe. Il y a trois filles : Djefatsen, Isesou et Pageti et onze fils : Isou, Téta, Itisen, KhentimeresKh, Inkaef, Serfka, Ouehemka, Shepseska, Kachent, Ânkhersheretef et Ânkherfenedjef.
Rahotep qui épousera Nofret. Il occupera plusieurs hautes fonctions, dont celle de Grand-Prêtre de d’Héliopolis. Il fut enterré avec son épouse dans la nécropole de Meïdoum. Dans son tombeau Auguste Edouard Mariette découvrit en 1871, deux statues grandeur nature de Nofret et Rahotep, bien conservées. Elles sont aujourd’hui au musée Égyptien du Caire.
Ranéfer (ou Ranofer). On ne sait pas grand chose de lui. Selon Aidan Marc Dodson et Dyan Hilton, il fut enterré à Meïdoum.

Stèle représentant Rahotep –
Musée du Louvre

 
• Une épouse dont le nom n’est pas connu non plus qui lui donne deux enfants :

Kanéfer (ou Ka-Néfer), il fut Général des armés du Roi et le deuxième Vizir de son père et, selon Nicolas Grimal, il continua d’exercer sous Khoufou. Rainer Stadelmann pense qu’il est le propriétaire de la pyramide Rouge de Snéfrou. Certains égyptologues, comme Hans Wolfgang Helck, ne le considèrent pas comme un fils de Snéfrou et le positionnent contemporain de la fin de cette dynastie. On lui attribue aussi le mastaba DAM 15 à Dahshour. Il occupa également la charge de Grand des Voyants du temple de d’Héliopolis.
Ânkhhaf qui occupera la fonction de Vizir lors du règne de son neveu Khafrê (ou Khéphren). Il fut enterré à Guizèh, dans la nécropole à l’Est de la pyramide de Khoufou, dans le mastaba G7510. C’est la plus grande tombe privée de l’ensemble du plateau. Un célèbre buste le représentant est maintenant au Museum Fine Art de Boston. Selon Bertha Porter et Rosalind L.B.Moss, il épouse Hetephérès, sa sœur (ou demi sœur).

 
Plusieurs autres enfants sont attestés à Snéfrou :
  Trois fils :

Netjeraperef et Iynéfer qui selon Aidan Marc Dodson et Dyan Hilton sont enterrés à Dahshour.
Il existe un autre Prince, connu par son monumental mastaba (M17) à Meïdoum, mais dont le nom n’a pas survécu.

 
  Trois ou quatre filles :

Hetephérès qui épousa Ânkhhaf. Elle est peut-être, selon certains spécialistes, la fille d’Hetephérès I.
Néfretnesou qui avait le titre de Fille du Dieu. Selon Aidan Marc Dodson et Dyan Hilton elle eut un fils au nom de Kaemqed, mais on ignore qui en fut le père.
Méritâtès I (ou Meritit ou Mérititès) qui a une pyramide G1b (P2)à Guizèh à côté de celle de Khoufou son frère (ou demi-frère) et époux. Selon Roman Gundacker elle aurait pu être une épouse secondaire de Snéfrou au lieu d’une fille, que Khoufou aurait épousée après la mort de son père, comme ce fut souvent la tradition en Égypte, le nouveau Roi épousant la Reine de son prédécesseur.
Hénoutsen qu’une stèle donne comme une épouse de Khoufou, sa pyramide étant associée à celle de ce Roi, mais pour quelques spécialistes elle pourrait être aussi sa sœur (ou demi-sœur), peut-être une fille d’Hetephérès I.

 

Sa sépulture


 

La pyramide Rhomboïdale

 
   Snéfrou va avoir une activité de bâtisseur assez importante, surtout en ce qui concerne les sépultures, puisqu’il se fera édifier plusieurs pyramides et complexe funéraire. La première de ses entreprises massives du Roi est la pyramide à Meïdoum. Toutefois, il y a une polémique entre les spécialistes sur l’attribution de cette pyramide à Snéfrou, beaucoup donnent crédit pour son origine au Roi Houni (2599-2575). Néanmoins, la pyramide est un exemple remarquable de l’évolution de la technologie et de l’idéologie entourant le site funéraire du Roi. En comptant celle-ci, c’est donc quatre ou cinq pyramides et un mastaba qui sont associé au nom de Snéfrou :
 
• Une pyramide à Seila (ou Seïlah) dans la région du Fayoum. C’est une pyramide à degrés à quatre niveaux. Elle fut découverte par Ludwig Borchardt au début du XXe siècle.
 
• Une pyramide à Meïdoum, qui est à 80 kilomètres aux Sud de Memphis, à l’Est du lac Mœris et du Fayoum. En raison de son éloignement, elle n’est pas considérée en tant qu’élément de la nécropole Memphite, qui s’étend d’Abou Raouash à Dahshour.
 
• La pyramide rhomboïdale de Dahshour. Le site est situé au Sud-ouest de Memphis à environ 10 km aux Sud de Saqqarah et à environ 40 km au Nord de Meïdoum.
 
• La pyramide Rouge de Dahshour. Son nom : La pyramide rouge, provient de la teinte de son parement actuel, son enveloppe de calcaire ayant disparu. Son nom égyptien était xa  "la brillante". Elle est, par ses dimensions, la troisième pyramide d’Égypte.
 
• Un mastaba à Guizèh (G7510) dans le cimetière oriental de la pyramide de son frère Khoufou.
 
• On attribue aussi quelques fois à Snéfrou une petite pyramide en pierre à Ombos (ou Nagada) connue sous le nom de "pyramide à degrés d’Ombos".

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur le Roi voir les ouvrages de :
 
Peter A.Clayton :
Chronicle of the Pharaohs : The reign-by-reign record of the rulers and dynasties of ancient Egypt, Thames and Hudson, New York, 1994, 1996, Novembre 2006 et janvier 2007 – American University in Cairo Press, Le Caire, 2006 –  En Français, Avec Florence Maruéjol, Chronique des pharaons : L’histoire règne par règne des souverains et des dynasties de l’Égypte ancienne, Casterman, Paris, 1994 et Mai 1995.
Aidan Marc Dodson et Dyan Hilton :
The complete royal families of ancient Egypt, Thames and Hudson, London, Septembre 2004 et Février 2010.
Alan Henderson Gardiner :
– Geschichte des Alten Ägypten, Kröner, Stuttgart, (posthume) 1965.
Roman Gundacker :
Untersuchungen zur Chronologie der Herrschaft Snofrus, Beiträge zur Ägyptologie 22, Wien, 2006.
Ein Beitrag zur Genealogie der 4. Dynastie, pp : 22–51, Sokar 16, 2008.
Nicolas Grimal :
Histoire de l’Égypte ancienne, Fayard, Paris, Novembre 1988 et 1997, LGF, Livre de Poche, Paris, Janvier 1994.
Yvonne M.Harpur :
Les tombeaux de Néfermaât et Rahotep à Meïdoum, pp : 21-47 , pp : 55-94, Oxford expédition en Égypte, Oxford, 2001.
Hans Wolfgang Helck :
Geschichte des Alten Ägypten, Brill, Leiden 1968 et 1981.
Snofru, pp : 215–225, Studien zur altägyptischen Kultur (SAK), Bd I, Buske, Hamburg, 1974.
Ein Siegelabdruck aus der Pyramidenstadt des Snofru, pp : 43–44, GM 119, Göttingen, 1990.
Jean-Philippe Lauer :
Histoire monumentale des pyramides d’Égypte, I, Les pyramides à degrés (IIIe dynastie), BiEtud 39, IFAO, Le Caire, 1962.
Eva Martin-Pardey :
Rahotep, pp. 86-87, Encyclopédie de l’égyptologie 5, Otto Harrassowitz, Wiesbaden, 1984.
Bertha Porter et Rosalind L.B.Moss :
Topographical bibliography of ancient Egyptian hieroglyphic texts, reliefs, and paintings, Pt.III. Stelae (early dynastiXVII), Oxford Griffith Institut, 2007.
George Andrew Reisner :
Nefertkauw, the eldest daughter of Sneferuw, ZÄS 64, Leipzig, 1929.
Thomas Schneider :
Lexikon der Pharaonen, Artemis, Zuürich, 1994 – Avec Arne Eggebrecht, Deutscher Taschenbuch, München, 1996 – Artemis & Winkler, Düsseldorf, 1997 – Albatros, Düsseldorf, 2002.
Nabil Swelim :
Some Problems on the History of the Third Dynasty, Archaeological and historical studies 7, Alexandrie, 1983.
Miroslav Verner :
Archaeological Remarks on the 4th and 5th Dynasty Chronology, pp : 363–418, Archiv Orientální 69, Prag, 2001.
Jürgen Von Beckerath :
Handbuch der ägyptischen königsnamen, MÄS 20, Deutscher Kunstverlag, München, Janvier 1984 – MÄS 49, Philipp von Zabern Mainz, Janvier 1999.
Chronologic des pharaonischen Ägypten : Die zeitbestimmung der ägyptischen geschichte von der Vorzeit bis 332 v. Chr., Münchener Universitäts schriften, MÄS 46, Philipp von Zabern, Mainz, Janvier 1997.
Dietrich Wildung :
Die rolle Ägyptischer Könige im bewußtsein ihrer nachwelt, Teil I. Posthume Quellen über die Könige der ersten vier Dynastien, Bruno Hessling, Berlin, 1969 – Münchener Ägyptologische Studien, Bd. 17, Deutscher Kunstverlag, München/Berlin, 1969.
Toby Alexander Howard Wilkinson :
Early dynastic Egypt, Routledge, London, New York, Mars 1999 et Juin 2001.
Royal annals of ancient Egypt : The Palermo stone and its associated fragments, Kegan Paul International, Distributed by Columbia University Press, New York, Janvier 2000.
 
Il existe beaucoup d’ouvrages sur les différentes pyramides et complexes funéraires de ce Roi.

 

….Retour à la IVe dynastie

 

 

 
Pour voir correctement les translittérations des titulatures des Rois,
vous pouvez télécharger et installer la police de caractère jointe.
  Copyright © Antikforever.com