Quelques Reines importantes :
Néfertari Mérienmout
 

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Sommaire
 

Ses titres
Son origine
Son histoire
Ses différentes représentations
Sa sépulture
Sa famille
Bibliographie
Filmographie

 

Représentation de
Néfertari sur une des
parois de son tombeau

 

Ses titres

 
{Grande de louanges (wrt Hswt) ; Grande Épouse Royale (Hmt-nswt wrt) ; Grande Épouse Royale sa bien-aimée (Hmt-nswt wrt meryt.f) ; Dame des Deux Terres (nbt tAwy) ; Maîtresse [Souveraine] de la Haute et de la Basse-Égypte (Hnwt Smaw mHw) ; Maîtresse de toutes les terres (Hnwt tAwy nbw) ; Celle qui satisfait les Dieux ; Épouse du Dieu vivant (Hmt-nTr) ; Épouse du taureau victorieux (Hmt kA nHt) ; Douceur d’amour (bnrt mrwt) ; Dame de Grâce (nbt imAt)}.
 

Néfertari Mérienmout
{La très belle [ou belle parmi les
belles] aimée de Mout}

 

 


 

Néfertari sur la paroi Ouest de la
descenderie de sa tombe –
Offrandes à Hathor

Son origine

 
   Néfertari Mérienmout (ou Méritamout – Nfrt jrj mrjt n Mwt) est une Reine d’Égypte de la XIXe dynastie. Elle fut la Grande Épouse Royale du Pharaon Ramsès II (1279-1213). À l’instar des Reines Tiyi I et Néfertiti elle ne sera pas Divine Épouse d’Amon. Dans les textes que son époux a laissé, il l’appelle : La Dame de Charme, la Riche d’Éloges, la Belle de Visage et la Douce d’Amour, Celle pour qui le soleil brille. Elle naquit vers 1295, mais son ascendance n’est pas certaine et ses origines sont inconnues. Certains spécialistes pensent qu’elle pourrait être la fille du Pharaon Séthi I (1294-1279) et donc la sœur, ou demi-sœur de son mari. Il est aussi proposé par d’autres qu’elle serait liée à la XVIIIe dynastie et de voir en elle une descendante d’Aÿ II (1327-1323), le successeur de Toutânkhamon (1336/1335-1327).
 
   Les partisans de cette théorie s’appuient sur la découverte dans son tombeau d’une fleur de lotus en émail bleu foncé au nom d’Aÿ II, qui devait servir de poignée, ou de bouton, à un couvercle de coffre. Pourquoi ce nom dans son tombeau s’il n’y a pas de lien de parenté entre eux ?. Le problème est que les documents connus la concernant, ne nous indiquent pas qu’elle fut de sang royal. L’égyptologue Christian Leblanc pense qu’il faut voir dans cette découverte plutôt un déplacement d’objets après le pillage de la tombe royale de la Reine, pour preuve un fragment de cuve au nom de Néfertari retrouvé dans la tombe de la Reine Mouttouya (ou Touy), Grande Épouse Royale de Séthi I.

 

Son histoire

 


 

Néfertari, détail d’une fresque
de son tombeau

 

 Néfertari épouse, à l’âge de treize ans, le Pharaon Ramsès II, avant son accession au trône, qui lui n’en a que quinze. Dès la prise de pouvoir de Ramsès II elle est couronnée Reine et Grande Épouse Royale et prend le nom de Néfertari Mérienmout (ou Méritamout), elle n’a alors que dix-neuf ans. Elle restera la plus importante de toutes les épouses de Ramsès II. Certains aspects de sa personnalité, d’après ce qui peut être reconstitué à partir des documents officiels en notre possession, l’iconographie et sa titulature, montrent des similitudes avec la Reine Tiyi I.
 


 

Statue de Néfertari sur un des
colosses assis de Ramsès II au
temple de Louxor

   Néfertari aura des responsabilités dès les premières années du règne de son époux. Elle va participer aux principaux évènements officiels et sera toujours associée aux grandes décisions du Roi. Elle célèbre les rites religieux et intervient dans les affaires du gouvernement. En outre, elle prend la gestion de l’État lorsque le Pharaon s’absente, ou part en campagne. Son statut est confirmé par le fait qu’elle fut décrite dans les textes, comme faisant partie de l’entourage du Roi, en particulier lors d’un voyage en Nubie où sera prise la décision de construction du temple d’Abou-Simbel. Néfertari est aussi dépeinte dans les représentations de la même taille que Ramsès II, une rareté en Égypte, ce qui indique son importance aux yeux du souverain.
 
   Grâce à des tablettes, écrites en cunéiforme Hittites, retrouvées dans la ville d’Hattousa, on sait que Néfertari va aussi jouer un rôle important en politique extérieure et va favoriser la paix avec les Hittites, en correspondant de nombreuse fois et en échangeant des cadeaux avec la Reine Poudoukhépa (ou Poudouhepot ou Puduheba ou Puduhepa), l’épouse d’Hattousili III (1264-1234). Il en résultera une longue période de paix entre les deux puissances qui va finalement conduire à un mariage de Ramsès II avec une Princesse Hittite.
 
   Ramsès II va témoigner d’une immense affection pour son épouse, comme cela fut écrit sur les murs de la tombe de la Reine. Cela montre que leur mariage ne fut pas simplement une question de commodité, ou un moyen d’accumuler plus de pouvoir et d’alliances, mais qu’il fut fondé autour de l’attachement émotionnel. De la poésie écrite par Ramsès II sur son épouse décédée fut recopiée sur certains des murs de la chambre funéraire de la Reine : "Mon amour est unique, personne ne peut la rivaliser, parce qu’elle est la plus belle des femmes vivantes. Elle a volé loin mon cœur……"
 
   Vers 1240 sa prédominance semble s’affaiblir car ses représentations à côté du Pharaon deviennent rares. Sa santé se serait détériorée autour de ses 25 ans. Sa dernière représentation fut sur une stèle de Heqanakht, le vice-Roi de Nubie, où elle est montrée accompagnée de sa fille Méritamon (ou Merytamen) faisant des offrandes au temple d’Abou-Simbel. Dans un registre inférieur le vice-Roi est montré en adoration devant Néfertari. Peu de temps après la Reine disparaît tout à fait de la scène. Elle meurt en 1255/1254, à l’âge d’environ quarante ans, avant le jubilé de la trentième année de règne de Ramsès II et surtout bien avant lui. C’est alors Isis-Nofret I qui devient Grande Épouse Royale.

 


 

Autre représentation de la Reine
dans son tombeau

Ses différentes représentations

 
   Rarement une Reine aura reçu autant d’égards. Deux monuments de grande importance témoignent du rôle prépondérant qu’elle joua et du prestige indéniable dont elle bénéficia : Sa splendide tombe de la vallée des Reines et le petit temple d’Abou-Simbel. Le Roi fera construire à coté de son sanctuaire, ce temple dédié à Néfertari et à Hathor, Déesse de la joie, de la musique, de la beauté et de l’amour que Néfertari incarnait sur terre. Par cet acte elle fut très probablement la seule femme Égyptienne royale, autre que la Reine Tiyi I à être divinisée au cours de sa vie. Elle suivit les traces de cette Reine, en ayant un temple dédié en en son honneur. Dans ce temple, ses sculptures ont la même taille que celles du Pharaon ce qui est très rare dans l’histoire Égyptienne.
 
   À l’intérieur la souveraine est figurée entrain d’offrir des fleurs et des sistres aux grandes Déesses Isis, Hathor et Mout avant de bénéficier d’une sorte d’investiture durant laquelle elle reçoit les emblèmes spécifique aux Épouses d’Amon. Néfertari est omniprésente à Karnak et à Louxor. Elle eut aussi sa place dans le petit temple à côté du grand temple de Ramsès II sur le site du Ramesseum. Elle apparaît dans une scène pour le festival d’Amon-Min-Kamephis. Les Princesses-Reines Méritamon (ou Merytamen) et Bentanat I (ou Bint-Anath) apparaissent également comme épouses royales, mais de loin, la grande majorité des images royales de femmes appartiennent à Néfertari.

 


 

Vue générale de la paroi Est de l’antichambre,
vestibule et accès à la chambre latérale

Sa sépulture

 
   Son tombeau, QV66, largement décoré, est le plus grand et le plus spectaculaire de la vallée des Reines. Il fut découvert en 1904 pendant la deuxième campagne de fouilles d’Ernesto Schiaparelli. La tombe avait déjà été ouverte et pillée vers la fin du Nouvel Empire (1549-1080). On y a retrouvé tout de même des vestiges du mobilier funéraire et des fragments du couvercle de son sarcophage, aujourd’hui au Musée Égyptien du Caire. On retrouva également des morceaux de momie, trois grands vases en morceaux, des bijoux, trente quatre oushebtis au nom de Néfertari, des figurines, des émaux, des textes écrits sur des bandeaux, etc…
 
   Ernesto Schiaparelli mit aussi au jour une fleur de lotus en émail bleu foncé au nom du Pharaon Aÿ II (1327-1323, XVIIIe dynastie) qui devait servir de poignée, ou de bouton, à un couvercle de coffre. Dans ce tombeau, d’une très grande beauté, Néfertari est représentée par une statue presque aussi grande que celle de Ramsès II. Une poésie écrite par le Pharaon sur son épouse décédée est retranscrite sur certains des murs de sa chambre funéraire: "Mon amour est unique, personne ne peut la rivaliser, parce qu’elle est la plus belle des femmes vivantes. Elle a volé loin mon cœur……"
 

  Pour d’autres détails sur le tombeau voir l’article sur :
Le tombeau de Néfertari (QV66)

 


 

Méritamon –
Musée Égyptien du Caire

Ses enfants

 
   Il n’y a pas unanimité sur le nombre d’enfants que la Reine donna à Ramsès II, nous ne les connaissons peut-être pas tous. Selon Christian Leblanc elle aurait eu de manière certaine, 2 filles et 4 garçons. Malheureusement pour elle aucun de ses fils ne succèdera au Pharaon compte tenu du très long règne de celui-ci. Sur la base des documents en notre possession le nombre attribué par divers auteurs va de six à neuf (voire dix) enfants :
 
  Quatre ou cinq filles :

Baket-Mout (ou Beketmut – BAkt-Mwt) “Servante de Mout” qui fut la 2e fille de Ramsès II. Elle est représentée à la gauche du premier colosse Nord devant le temple d’Abou Simbel. Elle est figurée comme un adulte, de la même taille que la Reine Mouttouya (ou Touy ou Touya) et que Néfertari et porte un uraeus. Cependant dans toutes les inscriptions, sa mère n’est jamais clairement identifiée. Elle y est représentée les bras le long du corps et elle porte une lourde perruque avec la dépouille de vautour. Elle est désignée en tant que Fille du Roi dans le cortège des Princesses reproduit sur le mur Est dans la cour du temple.
 
Néfertari II (Nfrt jrj), qui fut la 3e fille de Ramsès II. On ne sait rien d’elle, il semble qu’elle mourut jeune. Elle est représentée devant les jambes du deuxième colosse Nord devant le temple d’Abou Simbel. Elle est figurée sous l’aspect d’une très jeune fille, encore pourvue de la tresse de l’enfance, avec une étoffe dans une main et un sistre dans l’autre. Pour certains spécialistes elle aurait été une épouse de son père. Si ce fut le cas, on ne connait pas d’enfant de cette union. Elle fut enterrée dans la vallée des Reines. Pour d’autres spécialistes, elle aurait eu un enfant du nom de Séthi.  Elle est désignée en tant que Fille du Roi dans le cortège des Princesses reproduit sur le mur Est dans la cour du temple. Quelques spécialistes avancent qu’elle fut l’épouse de son frère Amonherkhepshef qui eut une femme au nom de Néfertari mais est-ce la même ?.
 
Méritamon (ou Merytamen ou Mérytamon ou Meryt-Amon ou Meritamen ou Meryetamen ou Mérite-Amon ou Merytamun – Mrjt Jmn) "L’aimée d’Amon" (Appelée aussi la Reine blanche). Elle fut la 4e fille de Ramsès II. Parce qu’elle occupa un rang privilégié dans l’imagerie officielle, elle naquit sûrement avant le couronnement de son père et fut probablement la plus vieille des filles de Néfertari qui lui ait survécu. Après que sa mère soit morte autour de l’an 24/25 du règne de Ramsès II, soit vers 1255/4, Méritamon devient Grande Épouse Royale (vers l’an 26), avec sa demi-sœur Bentanat I (ou Bint-Anath), l’aînée de la Reine Isis-Nofret I. On ne connait pas d’enfant de cette union, mais certains spécialistes prétendent qu’elle eût une fille au nom Henoutimrê qui épousa aussi Ramsès II (Son grand-père ?). Méritamon fut enterrée dans le tombeau QV68 de la vallée des Reines.


 

Néfertari avec sa coiffe
vautour – Abou-Simbel

 
Henouttaoui (ou Henuttawy ou Henuttaui  – @nw.t-t3wi) "Maîtresse [Souveraine] des Deux Terres" qui fut la 7e fille de Ramsès II. Elle fut une des épouses de son père mais ne fut pas Grande Épouse Royale, mais elle reçut quand même une sépulture dans la vallée des Reines, tombe QV73. Sa tombe a livré quelques vestiges de son équipement funéraire qui confirme son origine et ascension. On ne connait pas d’enfant de cette union. Elle est représentée à deux reprises sur la façade du petit temple d’Abou Simbel construit pour sa mère.
 
On attribue aussi souvent à Néfertari la princesse Nebettaouy (ou Nebtaoui ou Nebtaui ou Nebettawy ou Nebettaui – Nb.t t3wi) "Dame des Deux Terres" ou "Maitresse des deux pays" qui est la 6e fille de Ramsès II. Elle n’est cependant jamais spécifiquement liée à Néfertari ou à Isis-Nofret I (ou Iset-Nofret I) que l’on donne aussi comme sa mère. Elle épousera aussi son père. On ne connait pas d’enfant de cette union. Il semble que Nebettaouy fut la fille la plus aimée par Ramsès II. Elle aura le titre de Grande Épouse Royale. Elle est représentée à côté de l’un des colosses devant le temple d’Abou Simbel. Il existe peu de témoignages de son implication dans les affaires de l’État à la fin du règne de son père, hormis les jubilés. Nebettaouy fut enterrée dans le tombeau QV60 de la vallée des Reines.

 
  Quatre ou cinq fils :

Amonherouenemef qui devient Amonherkhepshef (ou Amunherchepeschef – Jmn Hr xpS.f)  "Celui qui est la main droite d’Amon", puis "Amon est sur son bras droit". Prince héritier, il fut commandant des troupes, mais il mourut avant son père. Il est représenté avec ses parents sur une statue aujourd’hui au musée de Turin et sur la façade du temple de Néfertari à Abou Simbel.
 
Parêherouenemef (ou Rêherounemef ou Prehirwenemef ou Paraherwenemef – PA Ra Hr wnm.f) "Rê est sur son bras droit", qui fut le 3e fils de Ramsès II. Il fera une carrière militaire. Il mourut sûrement avant Amonherkhepshef. Il est représenté sur la façade du temple de Néfertari à Abou Simbel.
 
Amonemouia (ou Amenemwia – Jmnw-m-wj3) qui devient Sethemouia "Amon [ou] Seth dans l’essence divine". Il était présent au siège de la ville Syrienne de Dapour (ou Dapur). Il changea son nom en Sethemouia à peu près à la même époque que son frère aîné Amonherkhepshef changeait le sien.

 
Mérirê I (ou Meryrê – Mrj Ra) "L’aimé de Rê" qui fut 11e fils de Ramsès II. Il mourut probablement dans sa 20e année, dans tous les cas avant l’an 55 du règne de son père. Nous ne connaissons rein de sa vie. Il est représenté sur la façade du temple de Néfertari à Abou Simbel.
 
Mériatoum (ou Meryatoum – Mrj-(J)tm) "L’aimé d’Atoum", qui fut le 16e fils de Ramsès II. Il devient Grand Prêtre de à Héliopolis vers l’an 26 du règne de son père. Il survivra à ses sœurs et à ses trois frères, mais on ne connait pas la date de son décès. Il est représenté sur la façade du temple de Néfertari à Abou Simbel. Il est également mentionné comme fils de Néfertari dans une inscription dans le temple de Mout à Karnak.

 


 
Néfertari dans le petit temple
d’Abou-Simbel

 
Dessus du sarcophage
de Néfertari

 
Autre vue de l’antichambre,
vestibule et accès à la chambre latérale

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur la Reine voir les ouvrages de :
 
Francesco Angelelli et Carla Alfano :
Nefertari nella Valle delle Regine, Associazione geo-archeologica italiana, Roma, 1999.
Martín Almagro Basch et María José Almagro Gorbea :
La tumba de Nefertari, Museo Arqueológico Nacional, Madid, 1978.
Alan Kramer et Dewayne Whiteside :
Ramses and Nefertari : you’re right there, Benchmark Education Co., Pelham, New York, 2005.
Christian Leblanc, Marcel Kurz et Jacques Livet :
Vallée des reines : N° 66 : Néfertari, Corea Editions, Paris, 1997.
Christian Leblanc et Alberto Siliotti :
Néfertari : Ausgrabungen im tal der Königinnen, Bechtermünz, Augsburg, Décembre 1998.
Christian Leblanc :
– Néfertari : l’Aimée-de-Mout : Épouses, filles fils de Ramsès II, Éditions du Rocher, Monaco, 1999.
Reines du Nil au Nouvel Empire, Bibliothèque des introuvables, Juillet 2010.
Christian Paul-Loubière :
Néfertari : symbole de la femme Égyptienne antique, ou, Le regard d’un italien sur les femmes d’Egypte, Editions Publisud, Paris, 1998.
Mohamed Nasr :
The tomb of Nefertari, Casa Editrice Bonechi, Florence, 1999.
Dominique Navet :
Les aspects de la Reine Néfertari Mernmouth d’après ler reliefs du petit temple d’Abou Simbel, Université́ Catholique, Louvain, 1986.
Maòhmud Mahir òTaha :
Queen Nefertari : The most beautiful of them, Ministry of culture, Foreign Information Departament, Le Caire, 2001.
Alberto Siliotti, Heike C.Schmidt et Joachim Willeitner :
Nefertari, Gemahlin Ramses’ II, (Néfertari épouse de Ramsès II), Philipp von Zabern, Mainz, Janvier 1997.
Alberto Siliotti et Christian Leblanc :
– Nefertari ausgrabungen im tal der königinnen, Bechtermünz, Augsburg, Décembre 1998.
Mahmūd Māhir Tāhā :
La reine Nefertari : la plus belle, Ministére de la culture, Egypte relations culturel les extérieures, Le Caire, 2001.
Dietrich Wildung :
Das grab der Nefertari, Haus der Kunst, München, 1984.
Christiane Ziegler, Hartwig Altenmüller et Marine Yoyotte :
Reines d’Égypte : D’Hetephérès à Cléopâtre, et en Anglais, Queens of Egypt : From Hetepheres to Cleopatra, Somogy, Paris, Juillet 2008 et Grimaldi forum, Monaco, Octobre 2008.

 

Filmographie

Nefertari in eternity, Réalisation : Paula C de Azcarraga, Jon Andoni Herrera, Miguel Angel Corzo, Roger Steffens, Televisa (Firm : Mexico City, Mexico) et Getty Conservation Institute,   Vidéo VHS, Éditeur : Televisa, Mexico, 1993.
The Greatest Pharaohs / Part 4, Réalisation : James Joyce, Scott Paddor, Frank Langella, Josef Wegner, Cathleen Anne Keller, David B O’Connor, Peter A Clayton, David P.Silverman, Lucy Hughes-Hallett, Greystone Communications et Arts and Entertainment Network, Vidéo VHS, Éditeur : A & E Home Video, New York, 1997.
Faraonas de la antigüedad, Réalisation : Gary Glassman, Ed Tomney, Mick Kaczorowski, Dominic Desantis, Providence Pictures et Discovery Channel (Firm), DVD vidéo, Éditeur: Alterfilms, Mexico, Distributed by Noda Audio Visual, 2001.

 

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