Scribe protégé par Thot – Statuette en
ivoire – XVIIIe dynastie – Musée du Louvre |
Fonctions et origine
Thot (ou Thoth ou Tot ou Tehut ou
Theut) est son nom en
Grec : Θωθ ,
en Égyptien il se nommait Djehouti (ou Thehuti ou Djehouty ou Dyehuty ou Jehuti ou Tahuti ou Zehuti ou Techu ou Tetu),
que l’on traduit par "celui de Djehout", il faut souligner qu’à aujourd’hui aucun lieu de ce nom n’a été
attesté, et en Copte : Thōout. Il reçut aussi les surnoms de
“Maître de la régulation de la crue et des eaux“, le “Taureau des étoiles” pour représenter les facultés mentales
de Rê, et “Argent d’Aton” à la
Basse Époque (656-332).
Il fut le Dieu de l’écriture, du savoir et des sciences, de la parole créatrice, des
mathématiques, de la géométrie et de toutes les mesures. Tout ce que l’homme compte de connaissances lui vient de Thot.
Jan Assmann nous précise que dans les
Textes des Pyramides Thot était le Dieu de l’Ouest. Il est considéré comme le scribe des Dieux. À travers sa connaissance des
hiéroglyphes, il était le protecteur des scribes. Également Dieu de la magie et des magiciens, de la guérison il était aussi le
Dieu lunaire d’Hermopolis Magma
(ou Khemenou ou Kemnou ou Khmoun ou Ounou), en Haute-Égypte où avec le temps, il devint le Dieu de la
sagesse. Dans l’au-delà, Thot introduisait le défunt dans la salle du jugement et le menait jusqu’à
Osiris.
Si la plus grande qualité de Thot fut d’avoir été intelligent, sa plus grande vertu fut sans doute d’avoir été de
tout temps sage et compétent. Son origine très ancienne remonte au récit qui le fit naître du crâne de
Seth. Pourtant, Thot ne présente curieusement aucun des mauvais côtés du
terrible Dieu. Thot ne manigance pas à son profit et œuvre au contraire sans cesse à la permanence du monde voulu par
Rê. Seul un point le rapproche de
Seth, il est lui aussi présent dans la barque de
Rê. En sa qualité de Dieu lunaire, il est le reflet nocturne de
Rê dont il devient alors le “héraut dans le ciel“.
À Hermopolis Magma, il devint démiurge,
et ce fut par sa seule intelligence qu’il créa le monde. Ainsi l’univers s’ordonne-t-il parfaitement, car Thot le Dieu sage est
aussi “celui qui calcule toute chose“. On pense qu’à
Hermopolis Parva
(ou Per-Djehouti) capitale du
3e nome de Basse-Égypte, le
nome "de l’Occident"
(imnty) il apparu dès la
période prédynastique (v.3500-v.3150).
Les
Grecs l’assimilèrent à Hermès en raison de ses attributs et des fonctions similaires et les Romains à Mercure.
L’un des titres de Thot “Trois fois grand” a été traduit en
Grecs : τρισμεγιστος (Trismégiste), faisant référence
à Hermès Trismégiste.
Thot en ibis – Statuette en bronze –
Basse Epoque – Aegyptisch Orient Sammlung – Vienne |
Ses représentations et symboles
Thot est essentiellement connu sous deux aspects. Depuis
l’Ancien Empire (2647-2150), on le représente sous
l’aspect de l’ibis, oiseau au plumage blanc et noir ou rouge, au long bec profilé et légèrement recourbé, bien connu des habitants
des bords du Nil et du Delta. La représentation de Thot sous la forme d’un babouin est un peu plus tardive. On connaît aussi des
représentations anthropomorphiques du Dieu avec une tête d’ibis, portant une couronne faite d’un croissant de lune,
celles avec une tête de babouin sont, en revanche, beaucoup plus rares.
Ses symboles étaient :
▪ Ses attributs divins : En tant que Dieu de la connaissance, il possède la palette
de scribe, le calame et le rouleau de papyrus. Il tient l’œil Oudjat en tant que soignant de l’œil
d’Horus et la clepsydre (horloge à eau) comme maître.
▪ Animaux, couleurs et élément : Ses animaux étaient l’ibis, ainsi que le babouin.
Ses couleurs, le noir, le blanc et le rouge, qui sont aussi les couleurs de l’ibis. Son élément, l’air.
▪ Les fêtes en son honneur : Le mois de Thot était le premier de l’année.
Des fêtes en l’honneur du Dieu étaient alors partout célébrées. Le dix-neuvième jour de ce mois marquant le point
culminant de ces festivités.
Ses lieux de cultes principaux
Les lieux de cultes principaux de Thot furent :
▪
Hermopolis Magma
(ou Khemenou ou Kemnou ou Khmoun ou Ounou) en Haute-Égypte où il fut la divinité tutélaire suprême.
La cité était celle des huit divinités créatrices du monde (l’Ogdoade), ce fut
une métropole religieuse très renommée en raison du prestige de Thot.
▪
Hermopolis Parva
(ou Per-Djehouti) capitale du
3e nome de Basse-Égypte, le
nome "de l’Occident"
(imnty). En bordure de celle-ci se trouve les ruines d’un temple construit durant
le règne de l’Empereur Domitien (81-96 ap.J.C) et dédié à la Déesse Nehemetaouy
(ou Nehemetaouay ou Nehemety-awai), femme de Thot.
▪ On le vénérait aussi : À
Memphis, à
Héliopolis et à
Thèbes.
▪
Ernest Alfred Thomson Wallis Budge,
donne une liste de plusieurs cités où le Dieu avait des sanctuaires importants : Amenheriab, Antcha-Mutet, Bah, Hat, Hesert,
Ourit, Per-Ab, Pselket, Rekhoui, Sep, Ta-kens, Talmsis, Taour.
▪ Il fut aussi vénéré au-delà des
frontières, particulièrement en Nubie : À Pnoubs, à Gerf-Hussein, au Gebel Oda et jusqu’à Méroé.
Statue de Thot – Hermopolis |
Le culte de Thot
Le culte rendu à Thot se retrouve dans une infinie variété d’actes, quotidiens ou
exceptionnels, qui rythmaient la vie des Égyptiens.
Fêtes et temples bien sûr, mais aussi fondations d’édifices, nécropoles animalières, amulettes, et jusqu’aux mesures utilisées
par le plus modeste artisan, bien des choses participaient du culte de Thot, le protecteur des scribes.
Thot était partout présent et partout fêté. Il fut est un Dieu pour lequel on construisit des temples à lui seul réservés.
Ce fut le cas à Hermopolis Magna, en Haute-Égypte, et à
Hermopolis Parva, en Basse-Égypte, mais aussi
à Héliopolis, à
Memphis, et même à
Thèbes. Son culte fut important aussi à l’étranger, en
particulièrement en Nubie et jusqu’au Soudan actuel. Quand Thot n’était pas le titulaire d’un sanctuaire qui lui soit propre,
il était au moins présent dans les autres temples comme Dieu invité. Ainsi, le mois de Thot venu (juillet-août), fêtait-on
partout en Égypte le Dieu d’Hermopolis Magna, avec en
point culminant la grande fête du dix-neuvième jour de ce mois. Viande, figues et miel étaient alors consommés en abondance.
Le culte rendu au Dieu se retrouvait aussi dans des pratiques certes plus personnelles, mais non moins
spectaculaires, les oracles. Cette manifestation de la parole du Dieu proférée par la bouche d’un homme avait de quoi marquer
en effet bien des esprits. L’un des plus remarquables était l’oracle de Kasr el-Agouz. Dans son petit temple, Thot y est appelé
“celui qui écoute“. Il est surtout “celui qui sait, qui annonce le lendemain, qui perçoit l’avenir sans se tromper“.
Quand l’oracle parlait, c’était Thot qui se prononçait, une pratique courante en Égypte. Si Thot parlait par la bouche de son oracle, il ne manquait pas de côtoyer quotidiennement les Égyptiens, l’ibis
(hebi), oiseau alors commun des bords du Nil, était en effet une incarnation du Dieu. Cela valut à cet animal immaculé les
honneurs de funérailles dignes d’êtres humains. Embaumés, puis momifiés, les ibis étaient rassemblés en de vastes nécropoles,
dont l’une des plus importantes, au Nord de Saqqarah, livra
aux archéologues des milliers d’oiseaux momifiés. Quoique moins nombreux, les babouins firent l’objet des mêmes attentions,
prouvant la vigueur du culte quotidiennement rendu à Thot.
Enfin, Thot fut vénéré des médecins et des géomètres. Par la guérison qu’il prodigua à l’œil
d’Horus, il fut profondément respecté des médecins ainsi que des
Prêtres-médecins attachés aux temples. Tout comme les scribes qui devaient à Thot de savoir écrire et se plaçaient sous sa
protection, les médecins invoquaient aussi la protection du Dieu. Quant à la maîtrise de la fraction algébrique, elle valut à
Thot les honneurs rendus par les mathématiciens, géomètres et autres mesureurs. Par sa dimension intellectuelle, Thot était
très proche du Roi ou du Pharaon. Ainsi le Dieu se substituait-il parfois à
Seth dans le rite du sematouy, fête commémorant “l’union des
deux terres” de Haute et Basse-Égypte. Thot était aussi présent à l’occasion du couronnement pharaonique. Il en sera même
l’archiviste puisqu’il lui revint de noter le nom de couronnement du souverain proclamé par le scribe de la
Maison de Vie. Ce nom sera inscrit par Thot lui-même, et pour la postérité, sur les feuilles de l’arbre sacré ished.
Thot sous sa forme de babouin
– Musée Égyptien du Caire
|
Plus tard, à l’époque Ptolémaïque (305-30),
Thot fut identifié avec le Dieu Grec Hermès,
en raison de ses attributs et des fonctions similaires et les Romains à Mercure. L’un des titres de Thot “Trois fois grand” a été traduit en
Grecs : τρισμεγιστος (Trismégiste), faisant référence à Hermès Trismégiste, d’où le nom des villes Hermopolis "cité d’Hermès". C’est sous cette forme
qu’il est resté populaire dans la magie médiévale et l’alchimie. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer
les formules magiques du Livre de Thot surpasserait en intelligence même les Dieux. De la même manière il fut associé avec
le Dieu Phénicien Eshmoun
(ou Esmun ou Esmoun), Dieu de la guérison et Dieu tutélaire de la ville de
Sidon.
Légendes et mythes
Les légendes mettant en scène Thot l’associent au savoir, à la connaissance et plus
généralement à l’organisation du monde céleste et terrestre. Son intelligence et son pragmatisme ont servi de modèle à l’Égypte
pharaonique et à son administration très organisée, aussi Thot fut un Dieu modèle pour les mortels.
Par le verbe, Thot créa le monde. Ainsi la cosmogonie
Hermopolitaine dépeint-elle l’origine du monde. Un monde qui fut certes créé, mais qu’il restait à organiser. L’intelligence
siégeait dans le cœur de Thot. C’est à elle, aidée de Sia, personnification de la connaissance, que les mortels doivent le monde
tel qu’il est. Parler, calculer, écrire, pour créer était une œuvre gigantesque, Thot inventa alors pour ce faire le langage.
Par le verbe rendu intelligible, le monde se construisit selon les désirs du Dieu. La grande mécanique universelle des corps
célestes se mit en marche.
Thot fit preuve d’une grande science pour que les rouages en soient parfaits.
En tant que détenteur de cette connaissance, il fut chargé de la diffuser. C’est pourquoi il inventa l’écriture.
Les anciens Égyptiens pensaient que le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits
que Thot avait volontairement abandonnés dans des temples.
Il est aussi “celui qui écrivit le premier“. Dépositaire d’un immense savoir, il fit des scribes ses disciples.
Un texte d’Edfou relate sa naissance :
“Au sein de l’océan primordial apparut la terre émergée. Sur celle-ci, les Huit vinrent à l’existence.
Ils firent apparaître un lotus d’où sortit Rê, assimilé à Shou. Puis il vint un bouton de lotus d’où émergea une naine,
auxiliaire féminin nécessaire, que Rê vit et désira. De leur union naquit Thot qui créa le monde par le Verbe”.
Thot gravé sur le dos de la statue
de Ramsès II – Temple de Louxor
Photo avant retouches :
wikimedia.org
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Cependant sans la justice de Maât, qui siège auprès des
Dieux, mais aussi dans le cœur des hommes, le monde ne serait rien. Aussi Thot est-il également “celui qui écrit la Maât“.
En tout point, connaissance, organisation, justice, Thot est un véritable modèle pour les hommes, à commencer pour le Roi
ou le Pharaon et son administration. Thot jouit de la plus haute considération auprès des autres Dieux. Non content de siéger
dans les tribunaux divins, il en est le greffier, qui vise et enregistre les verdicts. Il en est le garde des sceaux. Thot ne
manque pas d’intervenir souvent dans les querelles opposant les Dieux entre eux. La part active qu’il tient dans le règlement
du conflit opposant les deux ennemis de toujours, Seth et
Horus, lui valut bien du respect. En habile arbitre, il fut “celui qui
parvint à séparer les deux combattants“. Une prouesse que l’on admire lorsque l’on sait quelle haine opposait
Seth à son neveu.
Thot siégeait également au cœur d’un autre tribunal,
celui qui rendait la justice en vertu du cœur des défunts, le jugement dernier. C’est à Thot que revenait de noter le résultat
de la psychostasie (la pesée de l’âme) faite précisément en présence de Maât.
Une fois le jugement rendu par la Déesse de la vérité et noté par Thot sur ses tablettes, ce dernier s’en allait, accompagné
d’Anubis, dispenser au trépassé le nouveau souffle.
À ce titre, Thot est l’auteur du
Livre des Respirations dont des extraits sont lus par les Prêtres à l’occasion des
funérailles.
Thot fut le Vizir divin. Le Roi ou le Pharaon ne pouvait exercer seul son pouvoir, un Vizir était à ses côtés
pour l’assister. Aussi n’est-il pas vain de comparer les compétences de ce dernier avec celles dévolues à Thot. De même que le
Vizir était le bras droit du souverain, Thot fut le bras droit de Rê.
Il existait entre eux un partage des tâches. Thot, à l’instar du Vizir, avait en charge toutes les besognes et tracasseries
quotidiennes relatives à la gestion du monde. Il fut de plus un conseiller fidèle, jamais avare d’idées et de solutions.
Un passage du Livre de la vache et du ciel explique que Thot fut choisi par
Rê comme Vizir alors que celui-ci s’apprêtait à quitter le monde des hommes.
Thot fut ainsi le greffier divin qui possédait les mêmes compétences que le greffier de l’administration pharaonique.
Thot en babouin Musée du Louvre |
Il avait aussi pour mission de faire appliquer les résultats de tel ou
tel jugement, veillant personnellement à ce que chaque Dieu en prenne acte. Il fut de ces faits un Dieu incontournable.
Rê en eut bien vite conscience. Tant et si bien que Thot devint à la nuit ce
que Rê était au jour, la lumière.
Conformément aux souhaits de Rê, Thot était le Dieu de la lune.
Lorsque Rê, déjà vieux, fatigué des incessantes querelles humaines décida de
s’en retirer et de gagner des hauteurs célestes plus reposantes, illuminant le jour et voyageant dans le monde du dessous la nuit,
la terre se trouva-t-elle privée de lumière la moitié du temps. Rê conscient du problème s’adressa à Thot :
“Tu seras à ma place, mon substitut. On t’appellera Thot, celui qui est à la place de Rê. Tu entoureras les deux cieux de ta
beauté et de ta clarté“.
Ainsi la lune marqua-t-elle la nuit de la clarté que
Rê le soleil voulut bien lui donner. Marquant les nuits et les jours, Thot
fut vite considéré comme l’inventeur du calendrier. En tant que Dieu-lune, il est “celui qui compte les années“,
“celui qui subdivise les années et les mois“. Ainsi gagna-t-il au cours d’une partie de jeu de
Senet les cinq jours épagomènes rajoutés en fin d’année, qui
permirent à la Déesse Nout de mettre au monde ses enfants.
Lorsque Seth eut assassiné son frère
Osiris,
Horus se leva contre son oncle afin de venger son père.
Seth lui arracha alors l’œil qu’il déchira en six morceaux. Ce fut à Thot,
patron des médecins, que revint le soin de reconstituer l’œil, ce qu’il fit simplement en crachant dessus. De ses six parties de
l’œil d’Horus (dit œil Oudjat) découle la représentation devenue traditionnelle chez les Égyptiens antiques des six
fractions de 1/2 à 1/64. Appelé “Oudjat“, cet œil représente la victoire de l’ordre légitime,
Horus étant l’héritier du
défunt Osiris, sur le
chaos, Seth, qui perturbait l’ordre dynastique et par conséquent l’ordre du monde.
Porté sous forme d’amulette, il était censé écarter le mauvais œil. On le plaçait notamment sur la proue
des navires, pour échapper aux dangereux hippopotames.
Dans la tradition Hermopolitaine,
Thot en tant que démiurge n’a pas de parent. À d’autres endroits on le dit naquit de
Seth. l’origine de cette filiation remonte au cœur de la lutte
opposant Seth à Horus.
Seth était terriblement friand de salade. Le sachant,
Horus mélangea son sperme au mets préféré de
Seth qui n’en fit qu’une bouchée. De cette fécondation homosexuelle, serait
né Thot, sorti du front de Seth.
Thot fut l’époux de la Déesse Nehemetaouy et le père d’Hounéfer, d’avantage cité à la
Basse Époque
(656-332). Selon d’autres traditions son épouse était la Déesse de la grenouille
Heqet. Il fut aussi et surtout le chef des huit divinités créatrices du
monde (l’Ogdoade). Les quatre couples de divinités primordiales représentant la matière inorganisée d’avant
la création. Au Nouvel Empire (1549-1080), on le
considérera comme le fils de Rê et de la Déesse
Neith.
Bibliographie
Pour d’autres détails sur le Dieu
voir les ouvrages de :
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