Talatate
représentant Akhénaton et Néfertiti – Karnak |
Sa disparition
La fin de la vie de la Reine est une grande énigme.
Ce "document" cité ci-dessus est (Pour l’instant) le dernier concernant une apparition
officielle de Néfertiti. Un ultime, la montrera vers l’an 13 assistant aux funérailles de sa fille
Mâkétaton. À partir de
cette période, elle disparaît de la scène politique et publique
Amarnienne. Son nom va même jusqu’à
être effacé sur les monuments pour être remplacé par celui de
Méritaton.
Toutefois il faut noter que ces manifestations hostiles ne signifient pas
forcément la mort de la Reine. Si tel est le cas combien de temps aurait-elle survécue ?.
Par contre sa disparition dans la documentation après l’an 14 est curieuse.
Les raisons pour expliquer cette disparition brutale nous échappent encore.
Des sceaux de jarre à vin portant son nom furent mis au jour dans le palais Nord
d’Amarna (ou Akhétaton),
où elle aurait fini ses jours, que certains datent entre l’an 16/17,
alors que son époux résidait à la fin de son règne à
Thèbes ?. Dans ce cas, s’y serait-elle exilée volontairement, accablée par la douleur
des pertes successives de ses filles ?. Certains spécialistes avaient un moment avancé une possible disgrâce,
elle aurait été évincée par une rivale, Kiya,
une autre épouse du Roi. On sait aujourd’hui que c’est l’inverse qui s’est produit. D’autres pensent que
tous les décès dans la famille royale, au premier abord inexplicables, seraient la conséquence d’une épidémie de peste
qui aurait frappé le pays à cette époque. La Reine aurait été emportée, elle aussi, par la maladie. Certaines statuettes
funéraires retrouvées, inscrites à son nom, abondent dans le sens de cette théorie.
Une autre hypothèse, proposée par certains égyptologues, dont
Christian E.Loeben, affirme que la disparition brutale de Néfertiti, à partir de l’an 13/14,
ne serait en fait qu’un changement de statut de la Reine, accompagné d’un changement de nom. Elle serait devenue
Corégente et, survivant à son époux, aurait pris les pleins pouvoirs et elle serait, pour eux, la "Femme Roi"
qui lui succéda sous le nom de
Ânkh(t)Khéperourê Néfernéferouaton. L’égyptologue Carl
Nicholas Reeves, spécialiste de la période Amarnienne et de Néfertiti donne aussi
cette dernière comme la femme-Roi qui succéda à d’Amenhotep IV.
Néfertiti – Musée Égyptien du Caire |
La mort de celui-ci est, elle aussi, mystérieuse. On ne sait pas exactement, ni quand ni comment, il décède. La seule précision,
est une dernière inscription le mentionnant, que l’on date de l’an 16. Selon ces spécialistes Néfertiti aurait bien régné après le décès
d’Amenhotep IV car dans son palais, on a retrouvé
des jarres qui porteraient comme indication : L’an 1 de Néfertiti ?.
(Cette idée est loin de faire l’unanimité). Cette théorie de corégence et succession fut développée la première fois par
Henri Gauthier en 1912, puis abandonnée.
Elle fut reprise en 1973, avec les études de
James Edward Harris. Celui-ci démontra que la disparition de la
Grande Épouse Royale
Néfernéferouaton Néfertiti, vers l’an 13/14 de son époux, coïncide avec l’apparition d’un nouveau personnage nommé
au titre de Corégent au nom de
Ânkh-Khéperourê Néfernéferouaton. Ce qui est attesté c’est qu’à partir de l’an 13 du règne
d’Akhénaton,
Méritaton remplace sa mère comme
Grande Épouse Royale dans
les cérémonies officielles, et, vers l’an 14, Néfertiti disparaît de l’iconographie
Amarnienne. Plusieurs chatons de bague inscrits, trouvés par Sir
William Matthew Flinders Petrie, à
Amarna montrent que ce nouveau personnage est une femme puisque la forme
attestée de son nom est Ânkh(t)Khéperourê.
Manéthon, dans sa liste royale, évoque une "femme Roi" à la fin de la
XVIIIe dynastie qu’il
nomme, Acenchêrês (ou Akenkheres ou Achencherês) qui serait une mauvaise transcription
d’Ankh-Khéperourê.
C’est sur ce postulat que ces spécialistes y ont
vu la certitude qu’il s’agissait de Néfertiti. Cependant l’identité de cette
Ânkh(t)Khéperourê est toujours très discutée
(voir article sur Méritaton) :
Kiya,
Méritaton, Néfertiti ?.
Marc Gabolde exclut Néfertiti
à cause de la présence de Méritaton.
Dans ce cas on pourrait aussi exclure Kiya qui on le sait,
avait déjà été écarté par Néfertiti. Les partisans de Néfertiti Corégente voient le déroulement ainsi : Après l’an
13, Néfertiti promue, abandonne son nom de Néfernéferouaton Néfertiti (ce qui n’est pas inhabituel) et devient Corégente
sous celui d’Ânkh(t)Khéperourê Néfernéferouaton.
Lorsque son époux décède, en l’an 16/17, elle prend le pouvoir et change une nouvelle fois de nom et devient
Ânkh(t)Khéperourê Semenkhkarê ?.
Là, peut se poser un problème, car on a retrouvé dans la tombe
KV55 une
momie masculine au nom de
Semenkhkarê,
ceci dit rien ne prouve que ce Semenkhkarê soit véritablement ce Roi. Dans cette hypothèse
Semenkhkarê aurait été une
femme et Néfertiti aurait donc régnée en "Pharaon", comme certaines Reines dont
Hatchepsout (1479-1457) ?.
Une autre preuve avancé par les partisans de cette théorie est l’interprétation d’une scène dans
la tombe de Houya et Méryrê II à
Amarna où ils y voient la représentation de la cérémonie pour la promotion de la Reine
Corégente. Mais il n’est pas certain que ce ne soit pas plutôt
Méritaton et pour autant si c’est bien
Néfertiti, est-ce elle qui succéda à Akhénaton.
Corps de femme, très certainement Néfertiti –
Musée du Louvre |
Cette période de l’histoire est l’une des intrigues les plus intéressantes de l’antiquité Égyptienne
car, de plus, par souci de souveraineté et de légitimité, un des Roi suivants :
Horemheb (1323-1295), a rayé toute la famille issue
d’Amenhotep IV des registres d’administration.
La chronologie cependant aujourd’hui qui remporte le plus grand consensus de la part des spécialistes, est celle proposée
par Marc Gabolde.
Il propose que Néfertiti mourut avant Akhénaton et que
ce fut Méritaton qui succéda à son père.
Toutefois cette affirmation amène une autre énigme : Où fut enterrée la Reine ?, car sa momie et sa tombe restent
introuvables à ce jour.
Sa mort et sa momie
Nous ne connaissons pas et nous n’avons pas
trouvé, à ce jour, ni mobilier funéraire, ni tombe de la Reine. Il semble de plus en plus
improbable aux spécialistes que la souveraine fut enterrée dans la
tombe royale (TA26)
d’Amarna, même s’il lui a été attribuée
une chambre dans la suite inachevée de la sépulture
d’Akhénaton alors que cette pièce ne fut, semble t-il,
jamais utilisée. Comme le précise
Marc Gabolde, le spécialistes de la période
Amarnienne, si toute la famille fut sûrement enterrée à
Amarna, il est évident que tous les membres
furent par la suite transférés dans une (ou des) sépulture(s) dans la
vallée des Rois lorsque la ville fut abandonnée,
mais où ?.
Ce qui fait que là encore les spécialistes sont très divisés et n’avancent que des spéculations.
Marc Gabolde à une approche
différente il met en évidence des évènements dont nous connaissons la date précise et essaie de voir si Néfertiti
y était présente. Ce qui ne certifie pas non plus qu’elle soit décédée à ces périodes, mais seulement qu’elle ne
faisait plus parti de la vie Amarnienne.
Ce qui fait qu’en fait, en l’état de nos connaissances, rien ne permet de savoir
ce qui s’est réellement passé. La plupart des égyptologues s’accordent à penser
qu’elle mourut de mort naturelle, mais quand ? et où est sa
momie ?.
Le 9 juin 2003, une archéologue Anglaise du nom de
Joann Fletcher, annonça publiquement qu’une des deux
momies non encore identifiées découvertes dans
la tombe KV35 en 1898, appelée "Young
Lady" serait celle de Néfertiti. Elle s’appuyait, pour confirmer ses dires, sur la technique de
momification employée, qui serait celle que l’on utilisait à la
XVIIIe dynastie, de plus la position
du corps indiquerait qu’il s’agisse d’un personnage royal.
La nouvelle fit grands bruits dans tous les médias, mais trois jours plus tard le
directeur du conseil suprême des antiquités Égyptiennes
Zahi Hawass
démentit que cette momie
fut celle de Néfertiti, en mettant en avant l’absence presque totale de preuve
de l’Anglaise. Depuis février 2010 on est sur que cette
momie n’est pas Néfertiti, il est alors attribuée
à la Reine la deuxième momie,
dite "Old Lady", qui est celle d’une femme morte entre 40 et 60 ans, mais
rien ne vient étayer non plus cette proposition, où dans le même temps d’autres
égyptologues penchent plutôt pour que ce soit la
momie de la Reine
Tiyi……. Le débat reste ouvert.
Akhénaton et Néfertiti – Musée du Louvre |
La recherche de sa tombe
L’été 2015 a été marqué par un article de
Carl Nicholas Reeves “Burial of Nefertiti ?”
l’égyptologue spécialiste de la période Amarnienne et de Néfertiti,
qui s’est lancé dans la recherche et la localisation de la tombe de Néfertiti. Première précision, pour l’égyptologue Néfertiti fut la femme-Roi qui succéda à
Amenhotep IV. Il établit d’emblée que le successeur de ce dernier ne peut être que Néfertiti.
Il s’appuie sur la découverte il y a quelques années d’un graffiti datant de l’an 16
d’Akhenaton, mentionnant Néfertiti, en qualité de
Grande Épouse Royale, et qu’un des noms de Néfertiti est
Néfernéferouaton. Il ne retient pas l’hypothèse que Méritaton soit le successeur et le Pharaon
Ânkh(et)kheperourê
Néfernéferouaton et mentionne à peine les derniers travaux de
Marc Gabolde sur le sujet et qui considère que
Néfertiti disparaît avant l’an 17 d’Akhenaton.
Il est très difficile de savoir si Néfertiti était réellement vivante à la mort du Roi. Quoi qu’il en fût, où se trouve sa tombe ?.
À Amarna, il n’y a aucune trace concrète de la moindre tombe de la Reine.
De plus aucune scène funéraire de la tombe du Roi ne fait référence à la mort
de la Reine. Aucun fragment de sarcophage ne lui est non plus actuellement attribué.
Seul un fragment d’oushebti, conservé au Brooklyn Muséum, qui appartient a Néfertiti à été mis au jour dans la tombe et
a son cartouche qui y est gravé.
Problème, le texte visible fait référence à Néfertiti, Grande Épouse Royale
et non comme Pharaon. Si l’on considère le décès de la Reine avant celui du Roi, sa tombe n’était sans doute pas prête et un tombeau provisoire a pu être
aménagé ailleurs ?. Quelques années après la mort d’Amenhotep IV et l’abandon
d’Amarna, la tombe royale fut rouverte et partiellement
déménagée, notamment dans la vallée des Rois :
Akhenaton se retrouva dans la tombe
KV 55, et la Reine
Tiyi I fut inhumée dans la tombe
d’Amenhotep III, tombeau
KV22.
Selon Reeves, la tombe
KV62 de
Toutânkhamon (1336/35-1327) était à l’origine la tombe d’une Princesse, puis
d’une Reine et cette femme royale serait Néfertiti, et deux salles inconnues se cacheraient derrière les décors.
L’égyptologue dirigea une mission archéologique durant plusieurs années ayant pour but de dégager le centre de la
vallée des Rois qui était utilisé sous
Toutânkhamon et
jusqu’au règne d’Horemheb (1323-1295).
Il ne put aller jusqu’au bout de la fouille. Quelques années plus tard, ce fut l’équipe d’Otto Schaden qui dégagea la tombe
KV63, à quelques mètres de celle de
Toutânkhamon.
Afin de confirmer ou non l’avis de Reeves,
une première prospection a été menée dans la tombe KV62 courant Septembre 2015.
Une équipe Égyptienne s’est rendue dans la tombe pour vérifier les anomalies signalées par
Reeves, qui a été invité à participer à cette mission.
Un examen visuel des parois semble confirmer l’existence de deux ouvertures masquées et de modifications du plan de la tombe, pouvant indiquer au moins
deux états de celle-ci. Le Ministre des antiquités s’est dit enthousiaste, mais il ne croit pas qu’il puisse s’agir de la tombe de Néfertiti.
Un des éléments les plus intéressants de l’étude publiée de analyse de la tombe
KV62 nous indique que ce tombeau n’a pas les dimensions ni le plan d’un tombeau royal.
L’égyptologue rappelle aussi que de très nombreux objets du mobilier funéraire proviennent
d’Akhenaton et surtout
d’Ânkh(et)kheperourê Néfernéferouaton.
Le chercheur pense donc que nous faisons fausse route en considérant
KV62 comme une tombe privée, adaptée à la hâte en tombe royale.
D’où son idée d’un projet royal, pour une Princesse ou une Reine, qui fut repris et modifié par les architectes de
Toutânkhamon.
Après avoir examiné attentivement les photos haute résolution réalisées avec les dernières technologies d’imagerie par la société Factum Arte,
Reeves avance donc l’idée qu’il existe deux ouvertures masquées sous les décors actuels de la salle funéraire de
Toutânkhamon.
Ces aménagements dateraient du premier état de la tombe, sous la femme-Roi
Ânkh(et)kheperourê Néfernéferouaton, identifiée
par lui comme étant Néfertiti.
Pour cette première étude, la société Factum Arte fut chargée de réaliser une copie exactement identique de toutes les
salles de la tombe. Cette analyse a permis de détecter la moindre imperfection des parois et surtout
d’analyser les différentes couches de plâtre, de pigments et d’enduits appliquées sur les parois de la salle funéraire.
Reeves a minutieusement analysé les images de Factum Arte et c’est de là qu’il met en évidence des anomalies sur deux parois de la salle funéraire.
Il y voit les traces de deux ouvertures soigneusement bouchées par de la maçonnerie et le décor masque aujourd’hui totalement ces portes supposées.
Si porte il y a, sur quoi donne-t-elle accès ?, un couloir ?, une salle ?.
Carl Nicholas Reeves se dit plutôt confiant par
cette première analyse et attend avec impatience les futures prospections radars et thermiques.
Les antiquités Égyptiennes doivent tout d’abord établir un protocole de recherche avant d’autoriser, ou non, la mission.
À priori, cette seconde phase prendra plusieurs semaines et les premiers résultats ne sont pas attendus avant mi ou fin
Novembre. ¹
Sa famille
Néfertiti va donner six filles à
Akhénaton :
Méritaton,
Mâkétaton,
Ânkhesenamon (ou Ânkhesenpaaton),
Néfernéferouaton Tasherit,
Néfernéferourê et
Setepenrê. Il était aussi reconnu par la
grande majorité des spécialistes qu’elle fut la mère de
Toutânkhamon, qui serait né en l’an 10/11. Cette idée s’appuyait sur une interprétation faite par
Marc Gabolde d’une représentation
de la salle gamma de la
tombe royale (TA26) d’Amarna. Celle-ci mentionne
bien la Reine et montre un nourrisson dans les bras de sa nourrice, identifié comme étant
Toutânkhamon. La scène se situe dans le contexte des
funérailles de la Princesse Mâkétaton.
D’après Marc Gabolde, il ne peut
s’agir d’un enfant de l’une des Princesses royales, comme il a été quelques fois avancé, du fait de leur
trop jeune âge.
Fresque représentant
Akhénaton, Néfertiti et trois de leurs filles – Musée du Caire
|
Cependant, le 17 février 2010, l’extravagant
Zahi Hawass, comme
à l’accoutumé avide d’honneurs médiatiques, révéla, devant les caméras du monde entier, les principaux résultats d’une
étude génétique et médico-légale, qui dura deux ans. Suite à l’analyse ADN effectuée sur seize momies, dont onze, y
compris celle de Toutânkhamon, étaient supposées
être membres de la famille royale, l’étude permit d’identifier avec certitude le père du jeune Roi comme étant
Amenhotep IV. En ce qui concerne sa mère,
Zahi Hawass avance que les chercheurs
sont unanimes, ce n’est pas Néfertiti, comme il a longtemps été supposé. La mère serait une sœur et épouse secondaire
d’Amenhotep IV, dont le corps est, selon lui, celui
d’une momie connue
aujourd’hui sous le nom de code KV35YL, ou dite la "Young Lady".
Cette dernière était jusque là attribuée à la Reine Kiya, mais
cette Reine, comme Néfertiti, n’a jamais porté les titres de
Fille du Roi (s3T-nswt) ou
Sœur du Roi (snt-nswt).
Zahi Hawass conclut : Soit
Baketaton,
soit Nebetâh, les jeunes filles d’Amenhotep
III et Tiyi I, mais qui ne sont pas connues pour avoir épousé
leur frère ?, sont les candidates les plus susceptibles de prendre l’identité de la "Young Lady".
"On ne connaît pas avec certitude son nom,
mais le plus important c’est que cette dame est la fille
d’Amenhotep III et de la Reine
Tiyi I, les grands-parents de
Toutânkhamon, il n’est donc pas possible qu’elle soit
Néfertiti", a-t-il déclaré.
Il serait prudent d’attendre un peu avant d’arriver à des conclusions
car, on le voit, l’affaire reste encore très compliquée. Acceptons juste le fait
que ce ne fut pas Néfertiti, dont la momie
nous serait bien utile. Cependant on peut affirmer aujourd’hui sans se tromper que Néfertiti
a élevé à Amarna le jeune
Toutânkhamon. Ce qui soulève d’autres questions,
pourquoi elle et pas sa mère, où était celle-ci ? etc …
Bibliographie
Pour d’autres détails sur la Reine voir les ouvrages de :
Cyril Aldred :
– Akhenaten and Nefertiti, Thames and Hudson, Studio, 1973 et Juin 1974.
Pamela Bradley :
– Nefertiti : A woman’s search to reclaim her true feminine spirit, Chatswood, N.S.W. : New Holland, 2008.
Catherine Chadifaud et Frédérique Schwebel :
– Néfertiti, Hachette, Paris, 1990.
Andrée Chedid et Aziza Soliman :
– Néfertiti et le rêve d’Akhnaton, Flammarion, Paris, 1995.
Aidan Marc Dodson :
– Amarna sunset : Nefertiti, Tutankhamun, Ay, Horemheb and the Egyptian counter-reformation, The American
University in Cairo Press, 15 Novembre 2009.
– Amarna Letters : Essays on Ancient ca. 1390-1310 B.C., KMT Communications, San Francisco, 1994.
Marc Gabolde :
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CIAIA 3,
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– Les Reines et Princesses de la XVIIIe dynastie a Thèbes-Ouest, Atelier national de reproduction des thèses,
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– Die Töchter Echnatons, pp : 17–18, Kemet 1, 2002.
– Ancient Egyptian Queens : A hieroglyphic dictionary, Golden House Publications, London, 2005.
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– Néfertiti, P.Belfond, Paris, 1976.
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– Akhénaton et Néfertiti – L’Amour et la Lumière, Éditions Fernand Hazan, Paris, 1998.
Joann Fletcher :
– The search for Nefertiti : The true story of an amazing discovery, Hodder & Stoughton Ltd, Août 2004 et Août 2005.
Michel Gitton :
– Les divines épouses de la 18e dynastie, Annales
littéraires de l’Université; de Besançon 306, Belles-Lettres, Paris, 1984 et 1989.
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¹
– D’après l’article de François Tonic, pp : 28-37,
Pharaon Magazine N°23, Juin/Juillet 2008Novembre/Décembre/Janvier
2015
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