Quelques Divinités du panthéon :
Amon
 

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Sommaire
 

Origine et fonction
Ses représentations et symboles
Ses lieux de cultes principaux
Le culte d’Amon
       Le clergé d’Amon
       Les Divines Adoratrices d’Amon
Légendes et mythes
Bibliographie

 

Statue fragmentaire
d’Amon – v.800 –
Metropolitan Museum of Art
– New York

 
Jmn  ou  imn

 

Origine et fonction

 
   Amon (ou Amun ou Amoun ou Ammon ou Amana ou Amûnuou ou Amen, en Grec : Άμων ou Άμμων) est un Dieu attesté depuis l’Ancien Empire (2647-2150). Il fut l’une des principales divinités du panthéon Égyptien. Son nom Imen "le Caché", se traduit par l’impossibilité de connaître son véritable aspect, son essence. Il est Imen achâ renou "Amon aux noms multiples". Il apparaît aussi en tant que Dieu de la fécondité. Sous cette forme il prend le nom d’Amon-Min. Son rôle de Dieu créateur en fait aussi un Dieu de la fécondité. Son universalité lui valut de devenir le “seigneur des trônes du Double Pays“, c’est-à-dire Haute-Égypte et Basse-Égypte. Il est l’époux de Mout et le père du Dieu Khonsou avec lesquels il forme la triade Thébaine.


 

Amon –
Musée du Louvre

 
   Amon commença à prendre de l’ampleur à Thèbes vers la fin de la Première Période Intermédiaire (2140-2022), où il finit par supplanter Montou, la divinité locale. À partir de la XIe dynastie (2134-1991) il occupa une place importante dans la ville, où il lui fut érigé sous Sésostris I (1962-1928) le temple de Karnak. Au début Amon était donc le Dieu local des tribus de Thèbes. Lorsque les Princes de la ville s’emparèrent du pouvoir, en se débarrassant des Hyksos sous le début du Nouvel Empire (1549-1080) lors de la XVIIe dynastie, Amon, progressivement, supplanta comme Dieu dynastique qui se trouva alors plongé dans l’ombre. Il fut alors assimilé au Dieu solaire sous le nom d’Amon-Rê. Il devint ainsi le Roi des Dieux du panthéon. Les Prêtres d’Amon devinrent les vecteurs les plus influents de la société Égyptienne lors de cette période. Amon fut considéré comme le Dieu des Dieux car il est “Celui qui réside” en tout, d’après l’étymologie de son nom, puisque men signifie demeurer, durer. Souvent considéré comme l’invisible, dans les Textes des Pyramides il fut donc associé à l’air, au ciel, au Bâ (le souffle de vie) et ainsi il se plaça tout en haut du panthéon Égyptien et fut naturellement le père des Dieux.
 
   À la fin de la XXe dynastie (1186-1069), la puissance du clergé d’Amon est tellement importante que le temple de Karnak forme un véritable État dans l’État. Lors de la XXIe dynastie (1070/69-945) le pouvoir royal va s’affaiblir, à l’instigation du Grand Prêtre Hérihor le clergé d’Amon va alors prendre tout le contrôle de la Haute-Égypte. Cette période est appelée : Renouvellement des naissances. Mais, en 664 av.J.C, les Assyriens qui avaient envahit l’Égypte, détruisent Thèbes. À partir de cette époque le culte d’Amon va perdre de son importance et commencer son déclin au profit du Dieu Osiris.
 
   Sous Thoutmôsis III (1479-1425), le culte d’Amon était sorti des frontières de l’Égypte et s’était implanté au Gebel Barkal (IVe cataracte du Nil) où il fut vénéré par les populations locales sous le nom d’Amon de Napata. Sous les Ptolémée, Amon sera assimilé à Zeus. Dans son sanctuaire de l’oasis de Siwa, Alexandre le Grand (336-323) se fera proclamer fils d’Amon-Zeus.

 

Ses représentations et symboles

 
   Son nom Imen "Le caché", se traduit par l’impossibilité de connaître son véritable aspect, son essence. Il se représente donc sous de nombreuses formes. Il est Imen achâ reno, "Amon aux noms multiples". Amon est toujours un Dieu anthropomorphe de peau brune, ou bleue, ou plus rarement noire. Assis ou debout, il porte toujours un mortier à plumes sur la tête (on considère que ce sont des plumes d’oie). Il est surtout représenté avec une tête de bélier, ou sous forme humaine portant des cornes de bélier. Sa peau bleue le désigne comme un Dieu des concepts abstraits, c’est-à-dire invisible et pourtant omniprésent. L’une des plus belles représentations d’Amon est celle de l’Amon d’or conservé au Metropolitan Muséum of Art de New York. En tant que Dieu de la fécondité il est représenté sous la forme ithyphallique de Min, qui porte la couronne d’Amon, avec un bras levé qui tient le fléau. Sous cette forme il prend le nom d’Amon-Min.
 
   Ses symboles étaient :
Ses attributs divins : La coiffure d’Amon est assurément ce qu’il y a de plus caractéristique chez ce Dieu. Elle se compose d’un chapeau cylindrique légèrement évasé (le mortier) fiché de deux longues plumes. Il en descend le long du dos un serre-tête lui aussi propre à cette divinité. Souvent, à partir de la XXIIe dynastie (945-715), il brandissait un cimeterre.


 

Amon-Rê et la Déesse Mout –
Ramesseum – XIXe dynastie

 
Ses emblèmes étaient : Le disque (Image du soleil), les cornes et le fléau.
 
Animaux, couleur et élément : Il est associé à l’oie qui pondit l’œuf d’où sortit la vie et au bélier, en raison de sa vigueur. Ses couleurs sont le rouge et le bleu. Cette dernière étant parfois celle de sa peau. Son élément est l’air.
 
Les fêtes en son honneur : Le culte d’Amon fut rendu dans tout le pays et la ferveur dont il bénéficia ne fut démentie par aucune cité. Partout, des fêtes lui furent consacrées. Les deux principales le furent à Thèbes. Il s’agit de la fête d’Opet, au cours de laquelle Amon va visiter son harem à Louqsor, et la “belle fête de la Vallée” qui menait Amon sur la rive gauche du Nil pour visiter les temples funéraires des Pharaons et les nécropoles du peuple.

 

 

Ses lieux de cultes principaux

 
   Ses lieux de culte principaux furent :
En raison du développement de son culte au Nouvel Empire (1549-1080), Thèbes, la grande capitale pharaonique de l’époque, constitua le principal lieu de culte dédié à Amon avec les célèbres temples de Karnak et Louqsor.
 
La ville d’Hermopolis a sans doute accueilli son plus ancien lieu de culte. Habituellement, la cosmologie de cette ville est présentée comme postérieure à celle d’Héliopolis et antérieure à celle de Memphis. L’Ogdoade est un groupe composé de huit divinités primitives qui régnaient avant la création, réunies par couple et symbolisant les forces du monde dont Amon faisait parti.
 
Tanis, dans le Delta, accueillit le temple d’Amon des souverains des XXIe (1070/69-945) et XXIIe dynasties (945-715).


 

Amon représenté avec une tête de bélier

  
Médinet Habou sur la rive Ouest du Nil, en face de la ville moderne de Louxor et de son ancien temple dédié au Dieu Amon-Min. Le temple d’Amon (ou Djeser Set), longuement restauré et dont certains salles demeurent closes, se situait juste à gauche de l’entrée du temple funéraire de Ramsès III (1184-1153), non loin du palais royal. Le cœur date de la XVIIIe dynastie et fut construit sous le règne de la Reine Hatchepsout (1479-1457) et du Roi Thoutmôsis III (1479-1425).
 
En Nubie Amon était un des Dieux les plus importants du pays. Sa forme originale était un bélier. La tête de bélier fut ensuite adoptée par les Égyptiens après la conquête de la Nubie. Dans la langue Méroïtique, il se nommait, Amani. Le nom Amani se retrouve dans de nombreux noms de souverain Nubien comme Tanoutamon, Senkamanisken Anlamani, Arkamani, Amanitore, Amanishakheto ou encore Netakamani. Amon de Nubie avait beaucoup de différentes manifestations, les formes courantes sont : Amon de Napata, comme Armon du Gebel Barkal Dieu principal de la dynastie Napatéenne ; Amon de Naga ; Amon de Kawa, dont le surnom était Lion sur le Sud ; Amon de Méroé.
 
À l’époque archaïque Grecque Amon fut assimilé à la divinité Grecque Zeus. Ce fut les Cyrénéens qui le firent connaître au monde Grec en tant que Ammon-Zeus. Son sanctuaire oraculaire à l’oasis de Siwa, est le troisième en importance après Delphes (consacré à Apollon) et Dodone (consacré à Zeus). Alexandre le Grand (336-323) s’y fit proclamer fils d’Ammon-Zeus en 331.
 

Le culte d’Amon

 
   Le culte rendu à Amon est omniprésent, tant au travers des grandes fêtes qui lui furent consacrées, qu’au sein des grands temples qui lui furent dédiés. Il est aussi une histoire d’influence et de lutte menée par le clergé du Dieu à l’encontre des autres clergés. L’accession au rang pharaonique des Princes de Thèbes, ville d’Amon, ne fit qu’accroître la prépondérance de ses Prêtres et de ses domaines. Les fêtes d’Amon comptaient parmi les plus grandes et les plus belles d’Égypte. Deux se distinguaient tout particulièrement. La première fut la fête de l’Opet (ou "Belle fête d’Opet" heb nefer en Ipet : Hb nfr n Jpt) et se déroulait tous les ans durant le deuxième mois de l’inondation et plus précisément durant le mois de Phaophi (ou Paophi), 18 Août au 16 Septembre.
 
   La durée des festivités connaîtra des longueurs différentes en fonction des Rois, par exemple sous la Reine Hatchepsout (1479-1457) Opet durait 11 jours alors que sous le Pharaon Ramsès III (1184-1153) la fête atteignait 27 jours. Comme toutes les statues divines, celle d’Amon quittait en certaines circonstances le sanctuaire de Karnak où elle était ordinairement enfermée. C’était une grande fête pour le commun des mortels de voir le Dieu sortir, car à l’occasion de cette manifestation, la statue s’en allait visiter son harem installée à Louqsor. Au début de l’Opet les Prêtres Ouab sortaient les trois barques sacrées de la triade, stationnées à Karnak, pour rejoindre Louxor. Elles y restaient quelques semaines avant de retourner à Karnak.
 
   Au dixième mois de l’année, la statue d’Amon sortait de nouveau à l’occasion cette fois de la “Belle fête de la Vallée“. Les festivités lui faisaient cette fois franchir le Nil. La procession passait dans les villages, les nécropoles et surtout les temples funéraires des Pharaons. Par ailleurs, bien d’autres fêtes se déroulaient sous la protection du Dieu. Le culte d’Amon fut aussi particulièrement vigoureux dans la ville de Tanis, devenue capitale des souverains de la XXIe dynastie (1070/69-945). En son nom il y eut dans le pays un véritable démantèlement, celui de l’ancienne capitale de Ramsès II, Pi-Ramsès. Pour construire des temples à Amon et Mout, les souverains des XXIe et XXIIe dynasties (945-715) n’hésitèrent pas à démonter et piller les édifices de celles-ci. Murs, colonnes, statue etc.. furent démantelés pour fournir les chantiers de la nouvelle cité. Quant aux colosses, obélisques, naos, beaucoup furent débités en morceaux pour faire de la pierre de taille.


 

Statue de Penchenabou,
fonctionnaire sous Ramsès II,
agenouillé devant la tête de bélier
d’Amon-Rê – Musée de Turin

  
        Le clergé d’Amon
 
   De Ramsès I (1295-1294) à Ramsès III (1184-1153), les souverains vouaient déjà à Amon une grande dévotion. Ils étaient des Pharaons d’une envergure politique assez importante tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Les Ramsès qui suivirent de IV (1153-1147) à XI (1099-1069), en revanche, ne parvinrent pas à maintenir l’Égypte au rang de grande puissance telle qu’elle l’avait toujours été et corruptions, invasions étrangères etc .. rongeaient le pays. À l’inverse, le clergé d’Amon se faisait lui plus puissant et menaçant vis-à-vis d’un pouvoir qui n’avait plus de pharaonique que le nom. L’arrivée de Grands Prêtres cumulant des fonctions religieuses avec des fonctions militaires confirma l’ébranlement du pouvoir. L’autorité et la richesse croissante du culte Amon, relayées par ses puissants serviteurs, finirent par avoir raison de l’autorité centrale du Pharaon. Les oracles du Dieu intervenaient de plus en plus dans la vie politique et le gouvernement de l’État, plus rien ne se faisait sans Amon. Finalement, les souverains de la XXIe dynastie implantèrent et développèrent à Tanis, ville du Delta devenue capitale, le culte des divinités de Thèbes, à savoir Amon-Rê, mais aussi Mout et Khonsou. Dans le même temps, le Général Hérihor devint Premier Prophète d’Amon (Hemnetjer Tepienamon) et maître des biens du clergé du Dieu de Thèbes et fut le premier d’une grande lignée de Prêtres-Rois.
 
       Les Divines Adoratrices d’Amon
 
  Le titre évolua au fil du temps il fut d’abord, "Divine Adoratrice" (dw3t-ntjr) ou "Épouse du Dieu" [sous entendu Amon] (hmt-ntjr), ces deux titres ne furent associés qu’à partir de la Troisième Période Intermédiaire, ou "Main du Dieu" (Drt-nTr). Il fut successivement porté par des catégories totalement différentes de femme d’Égypte. Le titre, Épouse du Dieu Amon, était sensé rappelé le mythe de la naissance divine du Roi, selon lequel sa mère fut fécondée par le Dieu Amon. Bien que la fonction fût théoriquement sacrée, elle fut essentiellement exercée en tant qu’outil politique par le Roi, servant conforter l’autorité royale sur la région Thébaine où le puissant clergé d’Amon était installé. Sous la XXe dynastie le titre Épouse de Dieu prit une plus grande importance lorsque Ramsès VI (1143-1136) nomma sa fille Iset (ou Isat ou Isis – dw3t-ntjr Ast "Divine Adoratrice du Dieu, Iset") a ce poste, ainsi qu’à celui de simple Divine Adoratrice.
 
    À la XXIe dynastie (1070/69-945), la charge fut modifiée, les Épouses d’Amon devaient être et rester vierges et se vouer exclusivement au Dieu. Avec ce début de Troisième Période Intermédiaire, cette nouvelle fonction atteignit les plus hauts sommets de son pouvoir politique. Le statut élevé de ce poste est illustré dans la tombe d’Aménardis I à Médinet-Habou. Du début de la Troisième Période Intermédiaire jusqu’à la XXVe (747-656) et XXVIe dynastie (664-525), ce furent des Princesses royales qui assumèrent la fonction. Le poste était à son comble à la fois politiquement et économiquement. Comme le rôle des Grands Prêtres d’Amon changea pour devenir principalement spirituel et non plus “terrestre”, la Divine Adoratrice devint le centre principal du culte du Dieu à Thèbes.  Sous la domination Perse (525), le statut royal d’Adoratrice fut aboli, mais des jeunes vierges issues de familles modestes locales continuèrent d’épouser Amon. L’Épouse du Dieu Amon était la plus haute Prêtresse de rang dans le culte de la divinité. Elle était associée au temple d’Amon de Karnak. 


 

Amon protégeant
Toutânkhamon –
Musée du Louvre

 

Légendes et mythes

 
   Amon doit sa célébrité plus aux Pharaons qui développèrent son culte qu’à sa mythologie. Sous la forme d’une oie, l’un de ses animaux symboliques, il pondit l’œuf primordial d’où sortit la vie. Sous la forme d’un serpent, il fertilisa l’œuf cosmique façonné dans les Eaux primordiales. Les Textes des Pyramides le mentionnent parmi les divinités protectrices du Roi défunt et au Moyen Empire (2022-1650), il prit une place prépondérante dans la région de Thèbes, où il finit par supplanter Montou. Avec l’appui du pouvoir et d’un clergé sans cesse plus puissant, il se forgea une place dans le panthéon en supplantant d’autres Dieux de la création, ou en s’associant à eux. Il devint le Dieu des Dieux.
 
   Au cours du temps, il se trouva associé, à un degré ou à un autre, à de nombreuses autres divinités. Tout ceci contribua à faire de son mythe une histoire très complexe. Amon est un démiurge, les Égyptiens sous-entendent ainsi qu’il naquit de rien. Ainsi, en associant Amon et , le premier d’entre tous, l’Égypte tout entière s’accordait à reconnaître que “Dieu“, comme on appelle souvent Amon, avait mystérieusement mis en route les mécanismes cosmique. Il le fit notamment grâce aux quatre éléments que sont la terre, l’air, la chaleur et l’humidité, auxquels il donna lui-même naissance. Ces principes constituèrent eux-mêmes des divinités et furent directement liés à la création.
 
   Puisque Amon est un démiurge, il n’a de fait ni mère ni père. Il a en revanche une multitude de partenaires féminines et d’enfants, qui varient selon les villes et les lieux de culte. À Thèbes, son principal lieu d’adoration, le clergé de ses temples lui donnèrent pour épouse la Déesse Mout, qui est aussi considérée dans la ville comme sa mère et sa fille. Cette Déesse rassemble donc à elle seule tous les aspects de la féminité, ce qui en fait une Déesse particulièrement vénérable. De cette union naquit un fils, le Dieu lunaire Khonsou, Dieu à la fois terrifiant et guérisseur. La situation privilégiée d’Amon le mit en relation avec tout le panthéon. Des relations parfois si fortes, si intenses, si tendues, qu’on lui associa nombreuses divinités. Ces associations furent d’autant plus pratiquées car Amon en quittant progressivement sa dimension locale, se trouvait tout naturellement retrouvé associé à d’autres Dieux au fur et à mesure que son culte s’étendait.
 
   Min, le Dieu de la fécondité masculine, lui fut également associé. Ce dernier portait d’ailleurs la même coiffe à plumes qu’Amon. La valeur génésique dont sont chargés ces deux Dieux leur a valu d’être rapidement associés en une divinité unique sous le nom d’Amon-Min. Toutefois la plus importante association fut assurément celle faite entre Amon et , c’est-à-dire entre les deux plus grands Dieux du panthéon. Ainsi naquit au Nouvel Empire (1549/40-1080), Amon-Rê qui rayonna de sa toute puissance sur l’Égypte entière. Amon de Thèbes endossa la puissance créatrice de son illustre confrère divin d’Héliopolis, . C’est un des plus importants exemples de syncrétisme, cette pratique, qui consiste à fusionner des croyances et des doctrines religieuses différentes. Ainsi, parler d’Amon revient à parler de bon nombre de Dieux Égyptiens. Amon fut aussi associé à Ptah, notamment à Memphis où ce Dieu était particulièrement adoré.

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur le Dieu voir les ouvrages de :
 
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Gods and goddesses of ancient Egypt, Smart Apple Media, North Mankato, 2003.
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L’Egypte : Dieux, mythes et religion : Un voyage dans le monde fascinant des mythes et de la religion de l’ancienne Egypte, EDDL, Paris, Janvier 2001.
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The mysteries of ancient Egypt : An illustrated reference to the myths, religions, pyramids and temples of the land of the pharaohs, Lorenz, London, 2003.
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Richard H.Wilkinson
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Jean Yoyotte :
Les divines adoratrices : Hommages à Jean Yoyotte, Éditions Khéops, Paris, 2009.

 

 
 
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