Quelques Rois importants :
Salomon 
970  –  931
 

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….Retour sur l’histoire des Hébreux

 

 
Sommaire

 
Son origine
Son arrivée au pouvoir
Sa politique intérieure
Sa politique extérieure
La fin de son règne
Les jugements de Salomon
Ses constructions
Historicité
Sa famille
Bibliographie

Représentation de Salomon –
v.1500 – Pedro Berruguete
(1450–1504) – Santa Eulalia,
Parades de Nava

 


 

Gravure représentant Salomon et la
Reine de Saba Makéda sur la Porte
du Paradis du baptistère de Florence

Son origine

 
   Salomon (ou Solomon ou Shlomo ou Šəlōmō ou slomo ou Shlemun ou Sulaymān ou Siliman ou Sleman, en Hébreu : שְׁלֹמֹה ou שלמה בן-דוד מלך ישראל  Shelomoh ben David, en Syriaque : ܫܠܝܡܘܢ, en arabe : سليمان, en Grec : Σολομών) est aussi appelé Jedidiah (En Hébreu : יְדִידְיָהּ), dans le Tanakh (Ancien Testament). Il fut le troisième Roi des Hébreux d’un royaume uni en Terre d’Israël, d’où quelques fois le terme Roi d’Israël, de 971 à 931 selon Kenneth Anderson Kitchen ou 970 à 931 selon Gershon Galil ou 962 à 932 av.J.C selon William Foxwell Albright.
 
   Il fut le 4ème fils (on trouve aussi le deuxième ?) de David et de Bethsabée. Sa naissance à Jérusalem, qui selon quelques spécialistes fut en 982, est mentionnée dans le Deuxième Livre de Samuel, puis son règne est raconté dans le Premier Livre des Rois. Il eut trois frères : Shammua (ou Schimea, en Hébreu : שמוע ou שמעא “Renommée”), Shobab (ou Schobab ou Showbab “Rebelle, rétrograde") et Nathan (ou Natan, en Hébreu : נתן).
 
   Selon le Talmud, Salomon est l’un des 48 Prophètes. Dans le Coran, il est considéré comme un grand Prophète et les musulmans se réfèrent généralement à lui par la variante arabe, Sulayman, fils de David. Salomon fut l’objet de nombreuses autres références et légendes plus tardives, notamment au Ier siècle, un travail apocryphe connu sous le nom de “Testament de Salomon“. Des années plus tard, la plupart du temps dans les milieux non bibliques, Salomon est également connu comme un magicien et un exorciste, avec de nombreuses amulettes et médaillon datant de l’époque Hellénistique invoquant son nom.

 


 

Icône Russe du Roi Salomon –
XVIIe s. – Monastère de Kizhi – Russie

Son arrivée au pouvoir

 
   David était devenu très vieux lorsqu’un de ses fils, Adonijah (ou Adonija ou Adonias), après la mort de ses frères aînés : Amnon et Absalom, appuyé par le Général Joab et le Grand Prêtre Abiathar (ou Abyatar), se considéra comme son héritier et se déclara Roi. Bethsabée, la femme préférée de David, et le Prophète Nathan, allèrent voir le Roi et obtinrent son accord que Salomon, le fils de Bethsabée, devienne son successeur. Ils furent soutenus par le Grand Prêtre, Sadoq (ou Sadok ou Tsadok ou Tsadoq) et le Prophète Benayahuet le Chef de la garde de David, eux aussi pour Salomon. De son vivant, David fit sacrer Roi Salomon et mourut quelques temps après. Le vieux Roi, mourant, confia ces paroles à son fils (de douze ans ?) :
Je m’en vais par le chemin de toute la terre. Tu seras fort et te montreras un homme et tu prendras garde à Dieu, ton Dieu, en marchant dans ses voies, en gardant ses statuts, ses commandements et ses ordonnances, comme il est écrit dans la loi de Moïse, afin que tu réussisses dans tout ce que tu feras et où que tu te tourneras”.
Jacob L.Wright trouve l’abdication du Roi mourant en faveur de Salomon comme “un geste politique habile“.
 
   Adonijah (ou Adonija ou Adonias) fuit pour se réfugier dans un temple. Il reçut le pardon de Salomon pour sa conduite à la condition qu’il se montre “un homme digne” (Premier Livre des Rois 1: 5-53). Adonijah demanda alors de se marier avec Abischag la Sunamite (ou Abiyshag), mais Salomon refusa bien que Bethsabée plaida en sa faveur. Abischag fut une fille de la petite ville de Sunem, au Nord de Jérusalem, elle arriva à la cour lorsque les courtisans de David fouillèrent partout pour trouver une femme qui pourrait prendre soin de lui à son âge avancé. Mais David n’eut jamais de relation avec elle (Premier Livre des Rois 1,4).

 


 

Salomon Roi –
Gravure de Gustave Doré
(1832-1883)

Sa politique intérieure

 
   Salomon hérita d’un véritable Empire à la situation économique florissante, mais qui restait à consolider. À son avènement, il dut faire face à de nombreuses rivalités et révoltes au sein de son royaume. Il élimina les partisans de son demi-frère Adonijah (ou Adonija ou Adonias) dont : Le Grand Prêtre Abiathar (ou Abyatar) qui fut exilé et son cousin Joab, qui avait été nommé par son père à la tête de l’armée, fut exécuté.
 
   Le règne de Salomon marqua l’apogée de la puissance des Hébreux. Il unifia l’administration du royaume à l’aide de scribes Égyptiens, tâche qui lui valut la réputation de "sage" (ou hâkâm). Comme son père, il s’entoura de hauts-fonctionnaires et de conseillers (Prêtres, secrétaires, Hérauts, Chefs de l’armée), mais créa aussi de nouvelles fonctions comme : Maître du palais, Chef des Préfets ou Chef de la corvée. La famille du Prophète Nathan fut très influente dans ce dernier cabinet. Il créa un corps de fonctionnaires (des Lévites) dévoués au service de l’État et il institua des écoles pour les former.
 
   Il encouragea le commerce caravanier (Encens, aromates) en rendant plus sûres les routes commerciales vers l’Afrique, l’Asie, l’Arabie et l’Asie Mineure par la construction de forteresses. Salomon modernisa son armée avec l’introduction massive de chars. Il nomma à sa tête l’ancien Chef de la garde personnelle de David. Le territoire Israélite fut divisé en douze préfectures (ou districts) dirigées par un Préfet (ou Nesîb), nommé par le Roi (Premier Livre des Rois 4). Chaque préfecture devait assurer l’entretien de la cour royale pendant un mois, charge assez lourde à cause du développement du harem royal, du nombre des hauts-fonctionnaires et de la charrerie royale.

 


 

L’embarquement de la Reine de Saba Makéda –
Claude Gellée dit Le Lorrain

Sa politique extérieure

 
   Salomon conforta l’alliance passé par son père avec Tyr, maître de la Phénicie et passa des accords avec l’Égypte. Les excellentes relations avec le Roi de Tyr, Hiram I le Grand (978-944 ou 969-936 selon la Bible), permirent aux Hébreux de disposer d’une flotte commandée par des Phéniciens, basée à Ezion-Geber, dans le golfe d’Aqaba, sur la Mer Rouge. De là, Salomon lança des expéditions conjointes de commerce avec les Phéniciens (Produits et animaux tropicaux, or) sur la mer Rouge et qui se déployèrent jusqu’à l’Océan Indien.
 
   Il commerçait avec la Phénicie pour le blé, l’huile, le cèdre, le cyprès. Son Empire commerçait aussi par mer avec Tarsis (Espagne), Ophir et le Sud de l’Inde. Sa relation avec la Reine de Saba (Yémen aujourd’hui), Makéda ne fut pas étrangère à sa politique commerciale. Dans un passage bref, la Bible Hébraïque décrit comment la renommée de Salomon (De sagesse et de richesse) se propagea loin, tant et si bien que la Reine de Saba décida qu’elle devrait le rencontrer. La Reine est décrite comme lui rendant visite avec un certain nombre de cadeaux, y compris de l’or, des épices et des pierres précieuses. (Premier Livre des Rois 10:10 ).
 


 

Le jugement de Salomon –
Gravure Gustave Doré
(1832-1883)

   Salomon choisit la diplomatie plutôt que la guerre et par des alliances matrimoniales il renforça la position du royaume. Ainsi il épousa une Princesse Égyptienne, fille du Roi de Tanis, Siamon (XXIe dynastie, 978-959). Ce dernier avait profité de la mort de David pour organiser une expédition en Palestine. Il avait pris et détruit Gezer (ou Guézer ou Tel Guezer ou Tell el-Jezer) une ville de Canaan à mi-chemin sur la route entre Jérusalem et Jaffa. Mais devant l’arrivée de l’armée de Salomon, il préféra signer des accords de paix. Il donna une de ses filles en mariage au Roi Hébreu avec pour dot Gezer.
 
   Avec ce mariage Salomon signa aussi un traité avec Siamon où il fut autorisé à fixer, de manière permanente, les frontières méridionales de son royaume en occupant Gezer, qui dorénavant, restait avec sa région possession d’Israël. Il organisa aussi une expédition militaire à Hamath (ou Hama ou amāh ou Hamah ou Epiphania, en bordure de l’Oronte dans le centre de la Syrie) et Zoba pour contrôler Tadmor (ou Palmyre) et la route des caravanes.

 

La fin de son règne

 
   À la fin de son règne, des problèmes internes firent naître des mouvements de révolte. Les prophètes l’accusèrent d’idolâtrie en raison de sa tolérance pour les cultes étrangers dans son entourage. "Et il arriva, au temps de la vieillesse de Salomon, que ses femmes détournèrent son cœur auprès d’autres Dieux” (Premier Livre des Rois 11,4 et 5).
 
   L'”infidélité” de Salomon à garder l’alliance avec Dieu entraîna la colère divine : “Parce que tu as fait cela…. Je t’arracherai le royaume…. Seulement, Je ne le ferai pas dans tes jours, à cause de David, ton père. Mais Je l’arracherai de la main de ton fils” (Premier Livre des Rois 11,9 à 13). Son peuple, soutenu par les Égyptiens, lui reprocha son autoritarisme, son faste, le poids des impôts et des corvées et ses constructions indisposèrent la population. Édom et Damas se soulevèrent et se libérèrent de la domination d’Israël. Tout cela favorisa la scission entre Juda et Israël qui eut lieu après sa mort. Les deux royaumes demeurèrent dès lors distincts de 931 à 724. Selon la Bible Hébraïque, Salomon mourut de causes naturelles à environ 80 ans.


 

Le jugement de Salomon – Jacques Stella (1596-1657) – Kunshistorisches Museum – Vienne

 
Les jugements de Salomon

 
   Il composa certains livres de l’Ancien Testament. On lui attribue : Le Livre des Proverbes, le Cantique des cantiques, l’Ecclésiaste (Kohelet), le Psaumes de Salomon et il est également réputé pour sa sagesse et ses jugements “Sage parmi les hommes“. Il avait d’ailleurs demandé à Dieu (Deuxième Livre des Chroniques 1 : 7-12) de le munir d’un cœur qui sache écouter. Cependant un seul récit seulement documente cette réputation, celui de Salomon proposant de diviser un bébé en deux avec une épée afin de déterminer sa vraie mère, que l’on trouve dans l’Ancien Testament, dans le Premier Livre des Rois (3 : 16-28).
 
   Celui-ci raconte ainsi le différend qui opposa deux prostituées qui se présentèrent devant lui pour résoudre une querelle qui les opposait à propos de savoir laquelle d’entre elles était la véritable mère d’un bébé. Un deuxième bébé étant mort étouffé dans la nuit et chacune revendiquant l’enfant survivant comme le sien. Pour régler le désaccord, Salomon réclama une épée et ordonna de diviser l’enfant vivant en deux avec celle-ci. “Partagez l’enfant vivant en deux et donnez une moitié à la première et l’autre moitié à la seconde“.
 
   Une des deux femmes s’interposa et dit qu’elle était prête à abandonner son enfant à l’autre femme plutôt que de le voir tuer. Salomon reconnut en elle la vraie mère et donna l’enfant à cette femme et il déclara : la femme qui montre le plus de compassion est inévitablement la véritable mère. Tout Israël apprit le jugement qu’avait rendu le Roi et ils le vénérèrent car ils virent qu’il y avait en lui une sagesse divine pour rendre une telle la justice. Cet épisode de la vie du Roi donna lieu beaucoup plus tard à l’expression “Jugement de Salomon”. Selon la Bible, le pilier d’Absalon, dans la vallée de Joséphat, serait le tombeau de Salomon ?.

 


 

Jugement de Salomon – Abbaye
de Saint-Denis – XIe siècle –
Musée du Louvre

Ses constructions

 
   Salomon fut aussi un grand bâtisseur. Il fit ériger dans sa capitale des édifices colossaux. Dans sa quatrième année de règne, il fit construire le premier Temple de Jérusalem avec l’aide des Tyriens, notamment pour le bois. Le temple fut achevé en sept ans et demi. Salomon est également décrit pour avoir érigé des temples pour un certain nombre d’autres divinités (Premier Livre des Rois 11: 4).
 
   Il fortifia Jérusalem et d’autres villes comme le port d’Ezion-Geber et Tadmor (ou Palmyre) dans le désert pour servir d’entrepôt commercial et d’avant-poste militaire. Il engagea la construction d’un palais royal sur Ophel (Un promontoire de collines dans le centre de Jérusalem).
 
   Salomon fit ériger aussi de grands ouvrages construits dans le but d’assurer un approvisionnement abondant en eau à la ville. Toutefois, les fouilles de Jérusalem ont montré un manque évident d’architecture monumentale de l’époque. Ni les vestiges du Temple de Salomon, ni ceux du palais n’ont été trouvés. Cependant, il convient de noter qu’un nombre significatif de zones sensibles politiquement de la ville, n’ont pu être encore excavées, y compris le site où le Temple est traditionnellement localisé. Il faut espérer qu’un accord entre les deux parties permette un jour de lancer de nouvelles campagnes.

 

Historicité

 
   Les preuves historiques qui attestent de la réalité du Roi Salomon, indépendamment de la Bible, sont rares. Aucune preuve matérielle indiscutable datant de son règne n’a été trouvée. Les fouilles archéologiques menées par Yigael Yadin à Hazor (ou Hatzor ou Tell Hazor ou Tell el-Qedah), Megiddo, Scythopolis (ou Beït Shéan ou Bethshan ou Beth-Shan ou Beth-Shéan) et Gezer (ou Guézer ou Tel Guezer ou Tell el-Jezer) ont mis au jour des structures que les archéologues Israéliens, Ammon Ben-Tor et Amihai Mazar, secondés par le Professeur William G.Dever des États-Unis, soutiennent comme appartenant toutes à son règne. Elles auraient toutes été détruites simultanément par un raid du Pharaon Sheshonq I (ou Chechanq ou Shishaq dans la Bible, 945-924). Cependant certains autres spécialistes, comme Israël Finkelstein et Neil Silberman, font valoir que ces structures doivent être datées de la période Omride (Dynastie régnante du royaume d’Israëll fondée par le Roi Omri [884-873]), plus d’un siècle après le règne de Salomon.


 

Dans la vallée de Joséphat, le pilier d’Absalon, serait, selon la Bible, le tombeau de Salomon

 
   Selon ces deux derniers chercheurs à l’époque des royaumes de David et de Salomon, Jérusalem était peuplée par seulement quelques centaines de résidents (ou moins), ce qui est insuffisant pour un Empire s’étendant de l’Euphrate à Eilat. Les fouilles sur ces sites sont toujours en cours. Dans la Bible il est écrit que le royaume à son apogée percevait en hommage 666 talents d’or par an (Premier Livre des Rois 10:14). Certains spécialistes estiment que, compte tenu des preuves archéologiques, le royaume d’Israël au temps de Salomon n’était guère plus qu’une petite cité-État, de sorte qu’une telle somme paraît peu plausible.
 
   Bien que ces deux chercheurs acceptent que David et Salomon étaient de vrais Rois de Juda au Xe siècle, ils affirment que la première référence indépendante pour le royaume d’Israël est de vers 890 av.J.C, et pour le royaume de Juda d’environ 750 av.J.C. Ils suggèrent qu’en raison de préjugés religieux, les auteurs de la Bible supprimèrent les réalisations des Omrides, que la Bible Hébraïque décrit comme étant polythéistes.
 
   Certains minimalistes Bibliques, comme Thomas L.Thompson, vont plus loin, arguant que Jérusalem ne devint une ville capable d’agir comme une capitale qu’au milieu du VIIe siècle av.J.C. Dans le même ordre d’idée, Israël Finkelstein, et d’autres, considèrent l’ampleur du Temple de Salomon invraisemblable. Ces points de vue sont critiqués par William G.Dever et André Lemaire (Entre autres) et Kenneth Anderson Kitchenn qui affirment au contraire qu’il est d’une taille raisonnable pour une telle structure de cette région à cette époque.
 
   Ce dernier affirme que Salomon statua sur un “mini Empire” relativement riche, plutôt qu’une petite cité-État, comme l’avancent ses collègues, et considère 666 talents d’or, comme une quantité modeste d’argent. Il a calculé qu’en plus de 30 ans, un tel royaume pourrait accumuler jusqu’à 500 tonnes d’or, ce qui est faible par rapport à d’autres exemples, tels que les 1.180 tonnes d’or qu’Alexandre le Grand prit à Suse. Peu de fouilles archéologiques ont été faite autour de la zone connue sous le mont du Temple, dans ce qui est censé être les fondations du Temple de Salomon, parce que toutes tentatives attirent de violentes protestations des musulmans. Comme on le voit le débat est loin d’être clos.

 

Sa famille

 
   Salomon eut plusieurs épouses attestées. Il est écrit (Premier Livre des Rois 11,3) qu’au cours de son règne, il prit 700 épouses et 300 concubines. Les femmes sont décrites comme des Princesses étrangères, c’était le moyen d’assurer la paix avec les multiples cités-États voisines.

● Naamah (ou Naama, en Hébreu : נַעֲמָהAgréable“), la seule dont on connait le nom, une Ammonite, probablement une fille du Roi Shobi (Premier Livre des Rois 14:21 et Deuxième Livre des Chroniques 12:13). Elle lui donna un enfant : Roboam (ou Rehoboam ou Rehav’am ou Rehabeʿām, en Hébreu : רְחַבְעָם, “Celui qui élargit le peuple“, en Grec : Ροβομ), qui fut Roi de Juda (931-911).
 
● Une fille du Pharaon Siamon (978-959) dont le nom est inconnu.

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur Salomon et les Hébreux voir les ouvrages de :
 
Hans Borger :
Uma história judeu do Povo, Sefer, San Pablo, 2008.
Jacques Cazeaux :  
Saül, David, Salomon : La royauté et le destin d’Israël, Cerf, Collection : Lectio Divina, N°193, Paris. 2003.
Laurent Cohen :
Le roi Salomon : Une biographie, Éditions du Seuil, Paris, 1997.
Simón Dubnow :
Manual de la historia judía : desde los orígenes hasta nuestros días, Sigal, Buenos Aires, 1977.
Jack Finegan :
Light from the ancient past. The archaeological background of the Hebrew-Christian religion, Princeton U.P., 1947 – J.Finegan, 1959.
Israël Finkelstein et Neil Asher Silberman :
Les Rois sacrés de la Bible : À la recherche de David et Salomon, Bayard Centurion, Collection : Etudes et essai, Paris, Mars 2006 – En Anglais, David and Solomon : In search of the Bible’s sacred Kings and the roots of the western tradition, Free Press, New York, 2006.
John Garstang :
The foundations of Bible history, Joshua : Judges, Constable & Co., London, 1931 – Kregel Publications, (posthume) 1978.
The heritage of Solomon, Williams and Nortgate, 1934.
Louis Ginzberg et Gabrielle Sed-Rajna :
Les légendes des Juifs (5) : Josué, les Juges, Samuel et Saül, David, Salomon, Les Éditions du Cerf : Institut A. de Rothschild, Paris, Août 2004.
Kenneth Anderson Kitchen :
On the Reliability of the Old Testament, William B.Eerdmans Publishing Company, Grand Rapids, Michigan, 2003.
Ernest-Marie Laperrousaz, André Bendjebbar et Francis Phillipps :
Salomon roi d’Israël, Hachette Éducation, Paris, 1991.
Claude Lichtert :
Le roi Salomon, un héritage en question : Hommage à Jacques Vermeylen, Lessius, Bruxelles, 2008.
Abraham Malamat :
History of Biblical Israel : Major problems and minor issues, E.J.Brill, Leiden, Boston, 2001.
Claude Moliterni et Jean-Marie Ruffieux :
David et Salomon, Dargaud, Paris, 1986.
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Jean-Pierre Perraud et Stéphanie Del Regno :
Sur les traces du roi Salomon : Dernières découvertes, Dangles, Paris, 2009.
Beno Rothenberg :
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Peter Schäfer :
– Histoire des Juifs dans l’antiquité, Paris, 1989.
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Geneviève R.Tabouis :
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Friedrich Thieberger :
Le Roi Salomon et son temps : Un des carrefours de l’histoire, Payot, Paris, 1957.

 

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