Quelques Rois Importants :
Amenemhat III
1843 – 1797
 

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….Retour à la XIIe dynastie

 

 
Sommaire
 

▪  Sa titulature
▪  Sa durée de règne
▪  Son origine
▪  Son règne
▪  Ses constructions
▪  Ses sépultures
▪  Sa famille
▪  Bibliographie

 

       DATES  de  RÈGNE
       1843-1797
    D.B.Redford, D.Arnold
1842-1797  P.A.Clayton
1842-1794  A.M.Dodson
1859-1814  J.Malek
1855-1808  I.Shaw
1853-1806/5 S.Quirke
1852-1807  J.von Beckerath
1844-1797  J.Kinnaer
1843-1796  P.Vernus, J.Yoyotte

1842-1797  N.Grimal
1842-1794  P.A.Piccione
1840-1795  A.Eggebrecht
1840-1793  D.Sitek
1818/17-1773/72  D.Franke
1818-1770  R.Krauss

 

Sa titulature
  • Hr aA-bAw
  • nbti iTi-iwat-tAwi , nbti iTi-iwat-Hr(?)
  • bik nbw waH-anx
  • ni-mAat-ra
  • imn-m-HAt
     
  • Lamarês  ou  Lampares   (Manéthon)

 

Nom d’Horus Horus Âabaou
(Horus aux grands Bas [de pouvoir] Hr aA-bAw
Noms de Nebty Nebty Itiouattaoui
(Celui qui a pris l’héritage des Deux Terres)
nbti iTi-iwat-tAwi
Nebty Itiouathor
(Celui qui a pris l’héritage d’Horus [?])
nbti iTi-iwat-Hr (?)
Nom d’Horus d’or Bik Nebou Ouahânkh
(Le Faucon d’or, résistant de vie)
bik nbw waH-anx
Nom de Roi
Abydos 64
Saqqarah 39
Turin 5.25
Nimaâtrê
(Maât appartient à Rê) ou
(Celui qui appartient à le justice de Rê)

ni-mAat-ra
Nom de naissance Amenemhat
(Amon est en avant [en tête])
imn-mHAt

 

Sa durée de règne

 
   Amenemhat III (ou Aménémès III) est le 6e Roi de la XIIe dynastie. Manéthon l’appelle Lamarês ou Lampares et lui compte 8 ans de règne (Africanus). Le Papyrus de Turin (5.25) a une lacune pour son nom et lui en compte plus de 40 ans. Les nombreuses inscriptions et les monuments laissés par ce Roi viennent en contradiction avec le court règne de 8 ans qui lui est crédité par Manéthon, et favorise les 40 ans inscrits dans le Papyrus de Turin. Certains spécialistes, comme Jacques Kinnaer pensent qu’il n’est pas impossible que Manéthon ait initialement mentionné 48 ans, mais que les copies ultérieures de son œuvre ont du mal être reproduites. Selon Stephen Quirke un papyrus d’El-Lahoun indiquerait le troisième mois de la saison Akhet de l’an 46 du Roi.
 


 

Amenemhat III – Musée de Louxor

Son origine

 
   Amenemhat III est le fils de Sésostris III et sûrement de la Reine Néferousobekshedeti (ou Sobekshedeti Néferou), bien que rien ne vient attester avec certitude cette filiation. Selon des dernières recherches sur un papyrus de l’Ägyptisches Museum de Berlin, certains égyptologues, affirment que ce dernier montre un an 20 du règne de Sésostris III qui serait équivalent à l’an 1 d’Amenemhat III. Cela signifierait que Sésostris III aurait eu une corégence avec son fils à partir de cette année et ce pendant 20 ans ?. Selon Josef W.Wegner, un an 39 de Sésostris III serait indiqué sur un bloc de calcaire blanc provenant des débris de construction de son temple funéraire.
 
   Ce bloc constitue une preuve de la date de construction du temple funéraire du Roi à Abydos. Josef W.Wegner souligne qu’il est peu probable qu’Amenemhat III, était encore entrain de construire le temple de son père deux décennies après sa mort. Il note que la seule solution possible de l’existence du bloc, c’est que Sésostris III était encore en vie et a bien eu un règne de 39 ans, peut-être donc avec les 20 dernières années en corégence avec son fils.

 

Son règne

 
   Contrairement à son père, la politique extérieure d’Amenemhat III est d’une nature pacifique. Le règne tranquille de ce souverain est considéré comme le point culminant de la dynastie. Il hérite d’un pays bien organisé, très actif en Nubie et au Sinaï. La frontière Sud avec la Nubie est renforcée à Semna et plusieurs forteresses qui étaient destinées à lutter contre les Nubiens sont agrandies. Amenemhat III développe le commerce avec la Grèce et surtout avec la côte Phénicienne et les villes de Byblos, Tyr et Ougarit. Les personnages importants de ces cités très Égyptianisées, servaient d’intermédiaires entre l’Égypte et le Proche-Orient.
 
   À Byblos un dénommé Abishemou I (v.1820-v.1795, en Égyptien  : Ipshemou jbSmw) portait le titre Égyptien de h3.tj-ˁ Maire de la ville. Cette croissance attire une abondante main d’œuvre de travailleurs étrangers, paysans, soldats et artisans d’origine "asiatique" qui commence à s’établir en Égypte dans le Delta et dans la région de Licht. Il est dit que le Roi fournit aux Nubiens de la nourriture pour apaiser une famine qui les frappait. Toutefois, peut-être une série de faibles inondations du Nil va fragiliser les bonnes relations avec cette région jusqu’à pratiquement les interrompre à la fin de son règne.

 


 

   Amenemhat III – Musée du Louvre

   En politique intérieure Amenemhat III poursuit le travail de son père visant à accroître la puissance et la richesse du gouvernement central. Une des conséquences de cette politique est que les droits des classes supérieures sur les propriétés privées deviennent limités, ainsi que la possibilité d’hériter des fonctions spécifiques officielles. Le Roi continue l’exploitation économique du Fayoum et pour ce faire il fait creuser le lac Mœris (aujourd’hui lac Karoun). Une superficie estimée à 620 km² de terres nouvelles fertiles auraient été récupérées.
 
   Il fait exploiter intensivement les mines et les carrières que ce soit : En Égypte même, avec le granit d’Assouan ; au Ouâdi Hammamât pour ses mines d’or, de granit et de grauwacke, appelée "Pierre de Bekhen" ; au Sinaï pour le cuivre et la turquoise, où 51 graffitis montrent que la zone a été exploitée sur une base quasi-permanente ; ou en Nubie pour la diorite et l’or.
 
   On assiste sous le règne de Sésostris III à une ascension du culte de Sobek et d’Osiris à Abydos et à une importante parution d’œuvres littéraires et scientifiques. La cour du Roi n’est pas très bien documentée. Des hauts fonctionnaires qui la peuplaient nous avons connaissance d’un Vizir au nom Khety, qui peut être daté avec certitude de son règne car il apparaît sur un papyrus d’El-Lahoun.
 
   Les Vizirs Khnoumhotep et Ameny seraient peut-être aussi en activité à cette époque, ainsi que le Trésorier Iykhernofret au début du règne du souverain, qui exerçait déjà sous celui de son père. Selon certains égyptologues, dont Kim Steven Bardrum Ryholt, il est inscrit dans une inscription sur une roche aujourd’hui endommagée, à Konosso en Nubie, qu’Amenemhat III effectua une corégence de 1/2 ans avec son successeur Amenemhat IV.


 

Amenemhat III
Musée Égyptien du Caire

 
 Ses constructions

 
   En ce qui concerne son importante activité de bâtisseur, on lui attribue : Des statues colossales de 12m. de haut à Biahmou (ou Biyahmu) ; la construction de nombreux sanctuaires et de nombreux temples dans tout le pays, comme les temples de Sobek à Shedet (Crocodilopolis), une chapelle dédiée à la Déesse de la récolte Ernoutet à Medinet Mâdi (Térénouthis), à Abydos, Bubastis et à Memphis où le Roi fait élargissement l’ancien temple de Ptah. Les ateliers royaux atteignent leur apogée dans la maîtrise de l’art statuaire. Cette politique de grandes construction montre la richesse du pays pendant le règne du règne de ce souverain.
 

Ses sépultures

 
   Amenemhat III fait construire deux complexes funéraires : Un à Dahshour où l’on retrouva dans sa pyramide un sarcophage de granit rose. Même si ce complexe a été achevé, il n’a jamais été utilisé par Amenemhat III, au contraire, il servit pour l’enterrement de deux de ses Reines. Ce complexe funéraire est situé au Sud de Dahshour, au bord des terres cultivées. Le choix de cet emplacement a été probablement inspiré par la présence du lac voisin de Dahshour. Malheureusement, la pyramide a été construite trop près de la vallée et du lac et son noyau de briques crues a été affaibli par la nappe phréatique. La sous-structure était trop complexe pour soutenir le poids de la pyramide. Des faisceaux en bois avaient été prévus pour donner de l’appui additionnel aux toits des chambres, mais finalement, le travail sur cette pyramide a été en grande partie abandonné.


 

Pyramide d’Amenemhat III à Hawara

 
   Un autre complexe funéraire fut construit à Hawara (ou Haouara ou Havera), dans le Fayoum, à côté d’un des canaux reliant le Nil au lac de l’oasis. C’est dans cette sépulture que le Roi fut sûrement enterré. Le temple de cette pyramide était si grand que les auteurs Grecs le décriront bien plus tard comme le fameux "Labyrinthe" en raison de son dédale de couloirs et de chambres. Il est aujourd’hui malheureusement pratiquement disparu. Ce monument est décrit par Hérodote (Historien Grec, v.484-v.425) et Strabon (Géographe Grec, v.63 av.J.C-v.23 ap.J.C) qui nous dit que les salles étaient aussi nombreuses que les nomes en Égypte (42). Ce complexe funéraire est considéré comme un chef-d’œuvre architectural du Moyen Empire.
 
   La pyramide et le temple funéraire étaient entourés par une très grande enceinte à redans. Ces dimensions étaient de 385 m x 158 m. Le complexe d’Hawara est le plus grand de tous ceux construits au Moyen Empire. Une chaussée reliait le temple funéraire (ou temple haut) au temple de la vallée (ou temple d’accueil ou temple bas) dont il ne reste rien aujourd’hui. Une petite chapelle funéraire était adossée à la face Nord de la pyramide. En 1976, dans le sol du complexe funéraire on a découvert une maquette qui représente l’infrastructure de la pyramide d’Hawara. (Voir l’article sur ses complexes funéraires).

 


 

Amenemhat III – Ny Carlsberg
Glyptotek – Copenhague

Sa famille

 
   Amenemhat III a trois ou quatre épouses non attestées avec certitude :
 
Khenemetnéferhedjet III (ou Knemetnéferhedjet ou Chnumneferhedjet ou Chenmetneferhedjet – Xnmt nfr-HDjt"Celle qui est unie à la Couronne Blanche (à la Parfaite)". Le nom de cette Reine n’est connu que d’un vase rituel qui à servi lors de son enterrement dans sa pyramide de Dahshour. Dieter Arnold qui a effectué des fouilles dans sa pyramide soupçonne que le nom sur ce vase "Khenemetnéferhedjet" qui veut dire "Celle qui est unie à la couronne blanche" n’est pas le nom d’une Reine mais plutôt un de ses titres. Cependant, comme le précise Silke Roth, il n’est pas commun d’indiquer le titre d’un individu, et non son nom propre, sur des objets rituels où dans une chambre funéraire, de ce fait des études récentes supposent qu’il s’agirait bien du nom de la Reine. Peut-être du fait de cette incertitude sur le nom, elle est souvent notée comme ne faisant qu’une avec la Reine Âat, ci-dessous : Khenemetnéferhedjet Âat. Dans sa sépulture, pillée, a aussi été mis au jour un tombeau non marqué, trouvé avec le squelette d’une femme de 25 ans. Peut-être celui de la Reine ?.
 
Âat (ou Ath – 3ˁt"la Grande"). Selon Marc Aidan Dodson et Hilton Dyan, elle serait la seule femme de ce Roi dont le nom est connu avec certitude. Toujours selon ces égyptologues, sa sépulture se trouve sous la pyramide de son époux à Dahshour, où elle fut enterrée avec une autre Reine dont le nom est perdu. Pour ses titres voir à Âat. Elle lui donne trois enfants. Toutefois il faut souligner que ces filiations sont incertaines :

  Hotepi (ou Hetepti ou Hotep-Hator ou Hathorhetepet), qui fut selon certain spécialistes peut-être l’épouse, et/ou la fille du Roi. Quelques égyptologues, dont Jacques Kinnaer et Joyce Anne Tyldesley, entre autres, avancent qu’elle serait la mère d’Amenemhat IV. Cette affirmation repose sur une représentation d’elle dans le temple de Médinet Mâdi (ou Térénouthis) et une inscription où elle est indiquée comme Mère du Roi (mwt-nswt). Cependant, dans ses titres, à aucun moment elle n’est présentée comme : Fille du Roi (s3T-nswt) ou Épouse du Roi (hmt-nswt) ou encore Sœur du Roi (snt-nswt), ce qui fait dire à ces mêmes égyptologues qu’elle ne fut pas d’origine royale. À la fin de son règne, Amenemhat III n’ayant pas de fils de ses épouses officielles, qui lui ait survécu, il aurait nommé le fils d’Hotepi comme Corégent ?. Si cette affirmation est vrai pourquoi le Roi aurait été choisir l’enfant d’une personne qui ne lui était pas proche ?. Le débat reste ouvert …
 
Néferou-Ptah (ou Ptahnéferou ou Nefruptah – Nfrw Pth"La beauté du Ptah"). (voir ci-dessous).
 
Nebouhotepikheres (ou Nubhetepet).

 
Néferou-Ptah (ou Ptahnéferou ou Nefruptah – Nfrw Pth"La beauté du Ptah"), sa fille, mais certains spécialistes ont tendance à favoriser le point de vue que cette dernière était sa sœur. Même s’il semble qu’elle n’eut jamais le titre d’Épouse du Roi (Hmt-nswt), elle devait avoir un statut spécial. Selon Aidan Marc Dodson et Hilton Dyan, il est possible qu’elle fût considérée par Amenemhat III comme son successeur. Dans sa tombe à Hawara (ou Haouara ou Havera), a été mis au jour un véritable trésor inviolé, il contenait outre le mobilier funéraire : Des bracelets, des colliers, des ceintures en or, des bagues etc… Selon Nagib Farag et Zaky Iskander, ses titres étaient : Princesse héréditaire (iryt-pat) ; Fille du Roi de son corps (sAt-nswt-nt-kht.f) ; Grande des éloges (wr.t-hzw.t) ; Grande de louanges (wrt-hzwt) ; Grande (Dame) au sceptre Hetes (wrt-Hts).
 
   Ces trois Reines, sont données par différents spécialistes comme la mère d’Amenemhat IV et de Sobeknéferourê (Reine d’Égypte seule de 1787-1783) qui semble t-il se marient. Faute de plus amples preuves, cette union reste donc très incertaine. Car, de plus, il faut souligner qu’à part Manéthon, il n’existe aucune preuve de ce mariage qui aurait légitimé Amenemhat IV s’il ne fut pas d’origine royale. Nous n’avons pas plus retrouvé à ce jour de trace d’un titre pour Sobeknéferourê de : Fille du Roi (s3T-nswt), comme cela devrait être le cas si elle était la fille d’Amenemhat III, ce qui fait dire à quelques spécialistes qu’elle aurait pu être une sœur de ce Roi. 

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur le Roi voir les ouvrages de :
 
Dieter Arnold :
Das Labyrinth und seine Vorbilder, pp : 1-9, MDAIK 35, Philipp von Zabern, Mainz, 1979.
Der pyramidenbezirk des königs Amenemhet III in Dahschur, Deutsches Archäologisches Institut., Philipp von Zabern, Mainz, 1985 et 1987.
Dorothea Arnold :
Zur Keramik aus dem Taltempelbereich der Pyramide Amenemhets III. in Dahschur, pp : 21–26, MDAIK 33, Philipp von Zabern, Main 1977.
Guy Brunton :
Amenemhat III [1849-1801 B.C.], Hodder and Stoughton, London, 1924.
Gae Callender :
The Middle Kingdom renaissance (c.2055–1650 BC), pp : 137–171, The Oxford History of Ancient Egypt, Oxford University Press, 2000.
Peter A.Clayton :
Chronicle of the pharaohs : The reign-by-reign record of the rulers and dynasties of ancient Egypt, Thames and Hudson, New York, 1994, 1996, Novembre 2006 et janvier 2007 – American University in Cairo Press, Le Caire, 2006 – En Français, Avec Florence Maruéjol, Chronique des pharaons : L’histoire règne par règne des souverains et des dynasties de l’Égypte ancienne, Casterman, Paris, 1994 et 1995.
Aidan Marc Dodson et Dyan Hilton :
The complete royal families of ancient Egypt, Thames and Hudson, London, Septembre 2004 et Février 2010.
Nagib Farag et Zay Ikskander :
The discovery of Neferwptah General Organization for Govt. Print. Offices, Le Caire, 1971.
Detlef Franke :
Der fundort der statue Amenemhets III. auf der Qubbet el-Hawa, oder : Wer fand mit wem wann was wo, pp : 35–40, GM 134, Göttingen, Janvier 1993.
Georges Goyon :
Nouvelles inscriptions rupestres du Ouâdi Hammamât, Éditeur inconnu, Paris 1957.
Wolfram Grajetzki :
The Middle Kingdom of Ancient Egypt : History,Archaeology and Society, Duckworth, London, 2006.
Court officials of the Egyptian Middle Kingdom, Duckworth, London, 2009.
Ronald Jacques Leprohon :
The reign of Amenemhat III, National Library of Canada, Ottawa, 1981.
Amenemhet III, encomia, Ikhernofret, offerings : Offering formulas and lists, and titulary, The Oxford encyclopedia of ancient Egypt, vol. 1, pp : 69-70, pp : 470-471, vol. 2, pp : 149-150, pp : 569-572; vol. 3, pp : 409-411,  Oxford University Press, 2001.
Miriam Lichtheim :

Ancient Egyptian literature : Old and the Middle Kingdoms v. 1, University of California press, California, 1973, et Mars 2006.
William Joseph Murnane :
A note on the personnel of the Sinai expedition in the reign of Amenemmes III, pp : 27–34, GM 15, Göttingen, 1975.
Ancient Egyptian coregencies, Studies in Ancient Oriental Civilization 40, The Oriental Institute of the University of Chicago, 1977.
Percy Edward Newberry :
Co-regencies of Ammenemes III, IV and Sebknofru, JEA 29, London, 1943.
Felicitas Polz :
Die Bildnisse Sesostris’ III. und Amenemhets III. Bemerkungen zur königlichen Rundplastik der späten 12. Dynastie pp : 227–254, MDAIK 51, Philipp von Zabern Verlag, Mainz, 1995.
Paule Posener-Kriéger :
Un portrait d’Amenemhat III, Éditeur inconnu, Le Caire, 1957.
Silke Roth :
Die Königsmütter des Alten Ägypten von der Frühzeit bis zum Ende der 12. Dynastie, Otto Harrassowitz, Wiesbaden, 2001.
Eric Parrington Uphill :
Pharaoh’s gateway to eternity : The Hawara labyrinth of king Amenemhat III, Studies in Egyptology, Kegan Paul, London, 2000.
Michel Valloggia :
Les vizirs des XIe et XIIe dynasties, pp : 123-134, BIFAO 74, Le Caire, Janvier 1974.
Amenemhat IV et sa corégence avec Amenemhat III, IFAO, Le Caire, 1987.
Jürgen Von Beckerath :
Chronologic des pharaonischen Ägypten : Die zeitbestimmung der ägyptischen geschichte von der Vorzeit bis 332 v. Chr., Münchener Universitäts schriften, MÄS 46, Philipp von Zabern, Mainz, Janvier 1997.
Handbuch der ägyptischen königsnamen, MÄS 20, Deutscher Kunstverlag, München, Janvier 1984 – MÄS 49, Philipp von Zabern Mainz, Janvier 1999.
Raymond Weill :
XIIe dynastie, royauté́ de Haute-Egypte et domination hyksôs dans le Nord, IFAO, Le Caire, 1953.
Dietrich Wildung :
L’âge d’or de l’Égypte : Le Moyen Empire, New York University Press, 1977 et PUF, Paris, Novembre 1984.

 

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