Localisation et origines
La Parthie (ou Parthia,
mot Scythe signifiant banni, en Perse : اشکانیان
Ashkâniân) fut une région et un Empire au Sud de la mer Caspienne. Ce dernier à son apogée
couvrira tout l’Iran proprement dit, ainsi que les régions de l’actuelle
Arménie, de l’Iraq, de la Géorgie, de la Turquie, de l’Est de la Syrie, le
Turkménistan, l’Afghanistan, le Tadjikistan, le Pakistan, le Koweït, le golfe
Persique, la côte de l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, le Qatar, le Liban, Israël,
la Palestine et les Emirats Arabes Unis. Les Parthes furent un peuple de cavaliers apparenté aux Iraniens.
Il est souvent avancé qu’ils étaient la tribu nomade des Parni (Les Assyriens disaient Ashkuz) qui venus de Scythie se
fixèrent entre la Caspienne et la mer d’Aral, dans une province de
l’Empire Séleucide (ex
Achéménide) appelée Parthiène (Parthie) au Ier
millénaire. L’appellation de Parthes provient sans doute de Parthaya, terme générique qui
apparaît dès le début de l’époque
Achéménide au VIe siècle et dont le sens en Iranien serait "combattant ou cavalier".
Relief votif d’un homme en costume traditionnel avec le
poignard enfoui dans la ceinture – IIe siècle ap.J.C |
Homme Parthe –
Ier – IIe siècle ap.J.C |
En 247, la puissance de l’Empire
Séleucide faiblissait
considérablement, aussi en Parthie, un dynaste,
Arsace I, se détacha des
Séleucides et fonda la dynastie des Arsacides (ou Parthes) qui régna durant près de quatre siècles (141 av.J.C à 224 ap.J.C).
À l’Ouest, les Parthes ne cessèrent de lutter contre les
Séleucides, puis contre les
Romains, devenus maîtres de la
Syrie et de la
Palestine.
Leur histoire est assez mal connue par rapport aux autres grands Empires comme
les Achéménides et les
Séleucides, l’Empire Parthe
n’ayant pas laissé de chronique historique. Les Rois portèrent très souvent le même nom d’une génération à l’autre et il y
eut parfois des corégences.
Enfin on ne connaît certains Rois que par l’existence de monnaies à leur effigie et
quelques rares inscriptions, papyri et ostraca. Les historiens s’appuient aussi sur des sources historiques écrites par d’autres
peuples (Historiens Romains et Chinois). Des auteurs
Grecs comme Apollodore d’Artémita
(Écrivain, Ier siècle av.J.C) et Isidore de Charax (Géographe et voyageur, Ier siècle
ap.J.C), nous avons quelques fragments de la vie des Parthes.
Profitant des périodes d’instabilité dynastique ou d’invasions sur la frontière Est de
l’Empire, d’anciens Satrapes ou des chefs autoproclamés n’hésitèrent pas à s’affranchir de la tutelle royale. Ainsi, durant
le règne d’Artaban III (10-38 ou 12-38/40), deux brigands
Juifs, Anilai et Asinai,
parvinrent à conserver un fief au Nord de
Ctésiphon durant 15 ans avant
que les Parthes n’y mettent un terme. Dans le même ordre d’idée, le
Satrape de
Characène,
Hyspaosinès (209-124)
se proclama indépendant. Le dernier Roi Parthe,
Artaban V (216-224) fut renversé en 227 par
Ardachêr I (224-241), fondateur du nouvel
Empire Perse des Sassanides.
Cavalier Parthe Palazzo Madama – Turin
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La langue et l’écriture
La langue Parthe, également connue sous le nom de Pahlavi Arsacide, désormais
disparue, était parlée dans le Nord-Ouest Iranien, en Parthie, dans une région du Nord-est du Grand Iran et on peu y inclure
aussi une grande partie du Grand Khorasan (Territoires orientaux de l’ancienne Perse). Elle fut la langue
officielle de l’État Parthe Arsacide. Elle fut à l’origine la langue de l’ancienne
satrapie de Parthie et
était utilisée dans les tribunaux Arsacides.
Sa classification l’apparente à certaines fonctionnalités d’un
groupe linguistique de l’Est Iranien, dont l’influence est attestée. La langue Parthe appartient au groupe du Nord-ouest Iranien,
tandis que son proche parent, le Perse moyen, appartient à la langue du Sud-ouest de l’Iran. La langue Parthe
a été rendue lisible en utilisant le système d’écriture Pahlavi, qui a deux caractéristiques essentielles :
▪ Premièrement, son script est dérivé de
l’Araméen, c’était le script
(et la langue) de la chancellerie Achéménide
(c’est-à-dire l’Araméen
Imperial).
▪– Deuxièmement, il a une forte incidence de mots
Araméens, qui sont reproduit
par des idéogrammes ou des logogrammes.
Plaque de bronze, époque
Parthe avec une représentation de Pégase excavée à Masjid Soleiman – Khouzestan (ou Khûzistân) |
Les principales sources Parthes sont les dernières inscriptions d’Hécatompyles (ou Hecatompolis), multi
langages et des vestiges de la littérature Parthe en Persan moyen. Parmi ceux-ci, les textes composés peu de temps après la
disparition du pouvoir Parthe, qui ont joué un rôle important pour la reconstruction de la langue.
Après la chute de la dynastie Arsacide au profit de
l’Empire Perse Sassanide, le Parthe fut remplacé
par Perse moyen, qui, lorsqu’il est écrit est connu sous le nom de Pahlavi Sassanide. Le Parthe ne mourut pas immédiatement, il
reste attesté dans quelques inscriptions bilingues de l’ère
Sassanide.
Décoration d’une stèle
funéraire – Jeune homme avec un costume Parthe – Palmyre – v.150 ap.J.C –
Musée du Louvre.
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Les arts
L’Art Parthe est très mixte. Il subit les influences des différents peuples qui
dominèrent la région. Il fut emprunté à la fois aux
Grecs et à l’Orient. Sa particularité réside dans la représentation des personnages, qui sont toujours de face. Les artisans
Parthes furent réputés pour la réalisation de magnifiques rhytons en métal ou en ivoire décorés d’animaux comme
le bélier, le cheval ou le taureau et quelques fois d’animaux surnaturels. Quelques spécialistes pensent que la fabrication de
tapis, noués ou tissés, en laine fut introduite en Iran sous la domination des Parthes. La noblesse était
très friande de bijoux. On en a retrouvé de toutes sortes : Des broches, des bagues, des épingles, des pendentifs et boucles
d’oreilles, très souvent en pierres précieuses.
Buste de la Reine Thermusa épouse de
Phraatès IV excavé par une équipe Française au Khouzestan en 1939 – Musée
national d’Iran |
La sculpture
On trouve surtout des bas-reliefs Parthes dans la région montagneuse au Nord-est
de la plaine du Khouzestan (ou Khûzistân), dans l’ancien royaume
d’Elymaïs ou encore au Mont
Nimrod (ou Nemrod ou Nemrut Dag
ou Nimroud-Dagh). Contrairement à beaucoup de civilisations qui nous ont transmis ce gendre de sculpture, comme les
Achéménides, les bas-relief
Parthes sont d’une qualité assez médiocre et ne témoignent pas d’une exécution faite par de grands spécialistes.
Le thème le
plus souvent représenté est celui du cavalier. Dans la sculpture en ronde-bosse, les personnages masculins à barbe
et à moustache dominent. Ils sont vêtus de la tunique et du long pantalon de cavalier.
Les fouilles effectuées à Hatra (Hadr en Irak), en
Mésopotamie,
ont permis de découvrir plusieurs statues, représentant des Rois, des Princesses, des dignitaires, des Prêtres ou des officiers
en tenue de parade, grandeur nature. Parmi les représentations des divinités, la plus importante est celle du Dieu
barbu Baal-Shamin, en costume d’Empereur Romain, accompagné de deux aigles. Sur le site de Shami, dans le Sud-ouest Iranien,
ont a mis au jour des statues et des fragments de statues, dont celle en bronze de Shami, datant du IIe siècle
av.J.C, qui est la plus imposante effigie humaine en métal connue à ce jour (1,92 m). Elle se trouve aujourd’hui au musée
de Téhéran.
Hatra – Monument Parthe
|
L’Architecture
L’architecture Parthe va connaitre son apogée sous le règne de
Mithridate II (124-88).
La particularité des palais et des demeures se situe dans leur plafond qui est
toujours sous forme de voûte. Ces voûtes sont construites en briques cuites ou
crues. Les architectes firent une grande utilisation de l’iwan (Voute en berceau),
dont le premier exemple se trouve à Nisa (Nord-ouest de l’actuelle Achkhabad au
Turkménistan). Les murs des palais Parthes étaient recouverts de stuc et décorés
de fleurs ou de dessins géométriques. C’est de l’époque Parthe que date
l’utilisation du stuc dans la décoration des édifices en Iran.
La société
La religion
La civilisation et la culture des Parthes semblent être la suite des
Achéménides, particulièrement dans leur système
religieux. Il est pratiquement impossible de retracer leur l’histoire sur ce sujet, car aucune littérature religieuse de cette
époque ne nous est parvenue. Sur les monnaies Parthes sont représentées des Dieux
Grecs. Selon l’archéologue et historien
Roman Ghirshman : Les Parthes ont apporté avec eux leur culte primitif d’adoration des forces naturelles,
entre-autre, le soleil et la lune. Ils n’étaient pas plus Zoroastriens que les
Achéménides bien que les textes
sacrés du Zoroastrisme furent compilés pour la première fois à l’époque Parthe.
La triade Ahura-Mazda-Mithra-Nanaia, adorée sous les
Achéménides, semble être retenue sous les Parthes. Le culte de la Déesse Anahita est bien attesté, jusqu’en
Arménie et celui de Nanaia
s’est développé sous leur Empire. Les centres religieux des Arsacides étaient Istaxr (Perside), Nisa, Ray (Médie) et Shiz
(Azerbaïdjan). À Suse, la Déesse principale adorée par les
Parthes était Nanaia. Certains souverains se firent appeler Dieux ou représenter comme tels, comme
Phraatès I (En Héraclès). Les Parthes
Arsacides, comme les Kouchans (ou Kushans), descendant des peuples nomades de l’Asie centrale, étaient très tolérants envers
les religions étrangères.
Mithra immolant un taureau |
La culture
L’exposition des morts (Pratique typique Zoroastrienne) n’était pas pratiquée par les
Parthes. Selon Roman Ghirshman, les fouilles archéologiques prouvent que dans les cimetières Parthes, le mort était enterré avec
un sarcophage sur lequel on reconnait une Déesse qui est censée être Nanaia. Les excavations archéologiques
à Nippur, Kakzu et
Doura Europos ont mis en lumière
les cimetières Parthes, dans lesquels les morts furent enterrés dans un sarcophage de terre cuite avec leur
ameublement funéraire. Ces résultats ont été confirmés lors de la découverte d’un cimetière Parthe à
Suse. Parmi les nombreux sanctuaires fouillés à
Doura Europos, (Ville longtemps
restée attachée à l’Empire Parthe), pas un simple temple du feu n’a été découvert, bien qu’il y ait eu une
colonie Parthe importante dans ce centre marchand.
Déesse Anahita – British
Museum |
Le gouvernement
L’ancienne élite du pays était
Grecs et les nouveaux dirigeants
ont du s’adapter à leurs coutumes s’ils voulaient que leur règne puisse durer. En conséquence, les villes ont conservé leurs
anciens droits et les administrations civiles sont restées plus ou moins intactes. L’Empire Parthe
était un état de type féodal dont la cohésion reposait sur la loyauté des Princes vassaux envers leur souverain.
Les éléments constitutifs de l’Empire étaient étonnamment indépendants. Par exemple, ils étaient autorisés à frapper
leurs propres pièces de monnaie, un privilège qui, dans l’antiquité était très rare. Le Roi disposait d’un pouvoir monarchique
absolu et bon nombre furent de véritables tyrans, accédant et se maintenant sur le trône par le crime.
Ils se donnaient le titre de "Rois des Rois". Cette monarchie n’était pas héréditaire,
c’était les grands du royaume qui élisaient le successeur du Roi défunt et, quand il y avait désaccord, il n’était pas rare que
règnent en même temps deux Princes soutenus par des factions rivales. Les Parthes rattachaient leur dynastie, les Arsacides, à
celle des Achéménides. La succession des
Rois Parthes est assez difficile à établir : Les Rois portèrent très souvent le même nom d’une génération à l’autre, il y eut
parfois des corégences et enfin on ne connaît certains Rois que par l’existence de monnaies à leur effigie. Ce fut
une dynastie très instable, où les meurtres et les rébellions se rencontrent à presque tous les règnes.
Tant que l’élite locale rendit hommage au "Roi des Rois", il y eut peu d’ingérence et le système
fonctionna bien. Les villes comme
Ctésiphon,
Séleucie du Tigre,
Ecbatane, Rhagae,
Hécatompyles,
Nisa, Suse prospérèrent. La faiblesse du pouvoir monarchique
Parthe semble venir du fait du manque de centralisation de l’Empire. Celui-ci était constitué de peuples de
différentes cultures et langues ainsi que d’un certain nombre de systèmes économiques différents. Ces différences semblent avoir
été l’une des causes de sa perte.
Rhyton en céramique à protomé de bélier – Musée
national de Téhéran – Ier-IIe siècle ap.J.C |
Au cours du IIe siècle ap.J.C, la
capitale, Ctésiphon, fut prise pas moins de trois fois par les Romains
(En 116, 164 et 197), mais malgré tout, l’Empire survécut parce qu’il y avait d’autres centres de pouvoir. Un détail
intéressant fut la monnaie Parthe où les légendes furent écrites en
alphabet Grec, une pratique qui se
poursuivit jusqu’au IIe siècle ap.J.C, lorsque la connaissance de la langue
fut sur le déclin et que peu de gens lisaient ou écrivaient
l’alphabet Grec.
Comme leurs prédécesseurs
Achéménides ou
Séleucides, les Parthes se
heurtèrent à la difficulté de maintenir l’unité d’un vaste Empire entouré de voisins turbulents. L’Empire Parthe, selon Pline
l’Ancien (Écrivain et naturaliste Romain, 23-79) était constitué de 18 royaumes, 11
satrapies
et 7 petits royaumes situés dans la plaine de
Mésopotamie :
Characène,
Adiabène, Garamea, Sophène, Corduène (ou Gordyène), Zabdicène et
l’Osroène. La
Babylonie dépendait directement
du Roi. Les provinces Parthes étaient moins grandes que les anciennes
satrapies
Achéménides ou
Séleucides et leurs Gouverneurs
jouissaient de beaucoup plus d’indépendance.
Ils furent choisis dans la famille royale ou parmi les six plus grandes autres
familles du Royaume. À la base du système social, on retrouvait les quatre divisions de l’ancien régime patriarcal des
Indo-iraniens : Le chef de dahyu (pays) est le Grand Roi, le chef de zantu (tribu) correspond aux
Satrapes, le
chef de vis (clan) se recrutait dans les grandes familles, enfin, il y avait les chefs de
nmana (maison).
La dynastie
32 Rois vont constituer la
dynastie, dont le premier nom sera toujours Arsace. On les classe généralement par leur deuxième nom sauf
Arsace I le Grand ou le Brave.
Après Phraatès IV les numéros d’Arsace son incertains
car ils ne font pas l’unanimité entre les spécialistes.
Bibliographie
Pour d’autres détails sur les Parthes voir les ouvrages de :
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