Quelques  Divinités
 du  Panthéon
 

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   SEKHMET   ou ^xmt

 


 

Statue de Sekhmet
– Musée du Louvre

   Sekhmet (ou Sekhet ou Sekhem ou Shakti ou Sachmet ou Seschmet ou Sachmis ou Sejmet) était une divinité solaire zoomorphe. Elle fut la Déesse des batailles, son nom signifie “La Puissante” ou “Celle qui est puissante“. Elle est l’instrument de la vengeance de , contre la rébellion des hommes. Elle était la Déesse destructrice du désert et l’ennemie de tous ceux qui menaçaient le Roi ou le Pharaon. Elle incarnait la force dévastatrice, de sa bouche de lionne sortaient les vents du désert. Elle apportait aussi des épidémies, mais certains de ses pouvoirs éloignaient les maladies et c’est pourquoi elle était la patronne des médecins et des magiciens. Ses Prêtres, puissant, étaient souvent appelés à traiter les maladies osseuses, telles que les fractures.
 
    Ses épithètes étaient nombreux on trouvait entre autres : “La plus puissante”, “La terrible”, “La Dame de l’Ouest”, “La Déesse de la guerre», “La Dame des Montagnes de l’Ouest” en tant que Déesse guerrière, “L’obscurité retenue” lors de funérailles, “L’experte en magie“, en tant que guérisseuse, “La Déesse de l’amour” elle provoquait les passions, “La souveraine du désert“.
 
   Elle fut souvent représentée, assise ou debout, avec un corps de femme vêtue d’une longue tunique rouge et une tête de lionne. À partir de la XVIIIe dynastie (1549-1295) elle acquit également les symboles divins tels que le disque solaire, l’uraeus et le sceptre Ouas (w3s) et le signe de la vie Ânkh (anx). Plus rarement elle fut représentée comme une femme à tête de crocodile. Une fête était célébrée en son honneur dans la saison Akhet.


 

Statue de Sekhmet provenant du
temple de Mout – Musée national
de Copenhague

 
   Son principal centre de culte fut la région de Memphis et la ville de Létopolis dans le 2e nome de Basse-Égypte, mais elle fut aussi vénérée dans le reste du Delta comme à Bubastis ; à Kom el’Hisn ; à Abydos dans le temple de Séthi I (1294-1279) ; à Esna et dans tous les temples majeurs de Nubie. Des centaines de statues de Sekhmet ont été mises au jour dans le temple de Karnak, érigées par Amenhotep III (1390-1353/52) pour ne pas contrarier la cruelle Déesse. Selon certains chercheurs elles étaient des statues de culte de la Divinité au cours de l’année, une chaque jours de pour apaiser sa colère. D’autres chercheurs pensent que ce temple fut utilisé pour prévenir une menace grave de la peste. Dix de ces statues sont aujourd’hui au musée du Louvre.
 
   Elle fut l’épouse de Ptah et la mère de Néfertoum dans la triade Memphite. Elle fut souvent assimilée à Bastet. Elle était surtout très crainte lors des cinq derniers jours de l’année (Jours épagomènes). À cette période, juste avant le retour des crues, les eaux stagnantes des canaux provoquaient des fièvres et des maladies qui étaient attribuées à Sekhmet. Pour éviter ces fléaux, les Égyptiens lui adressaient des prières et des offrandes. Elle était vénérée comme une terrible Déesse de la guerre. Dans certains temples ont lui offrait du sang d’animaux sacrifiés afin d’éviter sa colère.
 
   Selon le mythe, elle pouvait projeter les rayons de chaleur mortels du soleil, ce qui incarnait son pouvoir destructeur, mais aussi l’air chaud du désert où les vents étaient son souffle ardent et avec lesquels les ennemis qui s’étaient rebellés seraient punis par la volonté divine. Elle fut également représentée comme l’instrument de la vengeance contre l’insurrection des hommes contre l’ordre du monde. La légende raconte que Sekhmet incarnait le flamboyant Œil de , et dans ce cas elle prenait l’apparence de Tefnout. , en colère contre les hommes qui avaient conspiré contre lui, envoya la Déesse les tuer, mais il revint sur sa décision et voulu arrêter Sekhmet afin d’éviter qu’elle ne tue tous les humains. Pour se faire faire prépara un breuvage spécial de bière coloré de rouge pour apaiser la soif de sang de la Déesse sanguinaire dans l’ivresse. Après avoir bu la bière, elle s’endormit et au réveil elle prit la forme de Bastet qui représentait seulement les qualités bénéfiques du soleil. Cette histoire était répétée dans l’ancienne Égypte lors d’une fête célébrée dans la saison Akhet, où les Égyptiens dansaient, jouaient de la musique et où la bière était consommée de façon délibérément excessive. Avec le temps, Mout, Déesse de Thèbes, par syncrétisme absorba les caractéristiques et fonctions de Sekhmet qui devint son côté obscure.

  

 

   SHOU ou ^w

 

   Shou (ou Chou ou Shu ou Schu, En Grec : Sos ou Sosis) fait partie de la grande Ennéade d’Héliopolis. Il est le Dieu de l’air, de l’Atmosphère et du souffle vital. Il symbolise l’air sec et la force de conservation tandis que Tefnout incarne l’air humide qui engendre le changement. Son nom peut se traduire de diverses manières. Il semble dériver de : shouy, signifiant soit “le vide” ou “se lever” ou “soulever“. Le même terme est attesté dans le langage courant, depuis le Moyen Empire (2022-1650), avec le sens “lumière“. Des spécialistes traduisent donc Shou par, “air lumineux” ou “vibration radieuse“. Comme dit plus haut, le nom contient également l’idée de “lever” ou “soulever“, ce qui correspond également à une des fonctions de Shou. Il est “Celui qui se lève” ou “Celui qui soulève le ciel“. Il fut assimilé par les Grecs au Dieu Agathodémon (ou Agathos Daimon).


 

Déesse Nout au dessus de Geb portée par Shou
– Détail du papyrus Greenfield

 
   Il est souvent représenté portant le ciel ou comme un homme barbu, debout près de Geb et soutenant Nout, les bras tendus. Parfois, on le voit sous l’apparence d’un lion ou d’une colonne d’air ou encore sous la forme humaine portant une plume d’autruche (Le hiéroglyphe de son nom) avec le sceptre Ouas (w3s) et le signe de la vie Ânkh (anx). Enfin on le trouve aussi comme un homme avec un genou à terre, tenant le ciel avec les mains, les quatre piliers supportant le ciel aux quatre points cardinaux étaient appelés, “piliers de Shou“. Ses couleurs sont le rouge et le bleu. Aucun animal n’est particulièrement consacré à cette divinité. On ne sait pas grand chose sur les fêtes en son honneur, mais il bénéficiait des cérémonies Héliopolitaines et Memphites et était invoqué, avec Tefnout et Khonsou, lors des fêtes lunaires.  
 
   Ses lieux de culte se trouvaient : À Héliopolis ; à Dendérah ; à Memphis ; à Edfou ; à Ombos (ou Naqada ou Nagada  ou Noubt) où il se confond avec la forme locale d’Horus et à Léontopolis où ils étaient, avec Tefnout, adorés sous la forme de deux lions tenant le soleil sur leurs épaules. Shou forme avec sa sœur et épouse Tefnout, le premier couple divin créé par le démiurge et ils furent les premières Divinités de l’Ennéade Héliopolitaine.  
 
   Dans son culte, il symbolisait la force vitale qui anime l’univers comme un aspect de la divinité suprême, Atoum-Rê. C’est un Dieu de la lumière. Il est aussi la personnification des rayons qui atteignent l’œil de Rê, la chaleur brûlante du soleil à midi et l’air sec du milieu de l’été. Il est également la personnification du vent froid du Nord, et le principe vital de toute vie. Il fut aussi considéré comme le Bâ du Dieu Khnoum. Les Textes des Sarcophages le répertoriaient comme un Dieu créateur. Avec Tefnout ils n’eurent qu’un seul et unique parent, Atoum, né de sa salive ou de sa masturbation. Avec Tefnout, ils donnèrent naissance à la Déesse du ciel, Nout et au Dieu de la terre, Geb qui naquirent enlacés. Sur l’ordre de , jaloux, Shou sépara Geb et Nout pour mettre fin à leurs étreintes. Créant ainsi un espace entre le ciel et la terre. Shou fut identifié plus tard avec Onouris (ou Anhur), dont le nom signifie “Porteur du ciel“, devenant Onouris-Shou. Dans la légende, les os de Shou étaient identifiés avec les nuages qui servaient d’échelle au souverain pour monter vers le ciel après sa mort.

 

 

   SOBEK ou ou ¤bk


 

Statuette de Sobek
– Basse Époque –
Musée Royal de
Mariemont

 
   Sobek (ou Sebek ou Sochet ou Sobk ou Sobki ou Soknopais, en Grec : Suchos ou Sucos σοũχος ou Σοũχος "Crocodile") est le Dieu de la fertilité, de la végétation et des eaux, il élimine tous les ennemis vivant dans ce milieu. Il est aussi le créateur du Nil, qui aurait résulté de sa sueur. Il symbolise aussi la force des Pharaons. Il est le fils de Neith dans le rôle de maître des eaux et de la fertilité et de Senouy, bien qu’à Saïs celle-ci fut sa fille. Les Grecs l’identifièrent avec le Dieu Hélios et selon l’Interpretatio graeca, Sobek fut assimilé à Chronos. L’origine et les raisons de cette assimilation sont encore en débat chez les historiens.
 


 

Statuette de Sobek
– Musée du Louvre

   Il est représenté sous la forme d’un crocodile, ou comme un homme à tête de crocodile couronnée, soit de la couronne Atef, soit d’une paire de plumes, soit, au Nouvel Empire (1549-1080) d’une association du disque solaire et de l’uræus. Il porte dans sa main gauche le sceptre Ouas (w3s) et le signe de la vie Ânkh (anx) dans sa main droite. Au cours de la Basse Époque (656-332) il apparut aussi avec une tête de faucon, de taureau, de bélier ou de lion. Ses attributs furent le disque solaire, le sceptre Ouas, l’Ânkh. Son animal fut le crocodile ou l’alligator. Sa couleur, le vert et son élément, l’eau.

 

 
   Il fut particulièrement vénéré à Crocodilopolis "Ville Crocodile“, dans le Fayoum sous le nom de Sobek-Rê, mais aussi à Kôm Ombo, où il est l’époux d’Hathor ou Heqet et le père de Khonsou. Dans la proche nécropole ont été mises au jour de momies de crocodiles ; À Ombos (ou Nubt) ; À Thèbes ; Sur le lac Mœris ; À Assouan où il a Hathor pour épouse ; À Soknopaiou Nésos (site au Nord du lac du Fayoum), il est Sobek, Seigneur du Lac (So(b)k-Neb-Payou(m)) et à Tebtynis, à côté du village actuel de Tell Oumm el-Baragat, dans le Sud-est du Fayoum, il est Sobek, Seigneur de (Teb)tynis, soit So(b)k-Neb-Tynis, d’où les noms Démotique et Grec de Soknebtynis. Mais son culte fut très répandu dans le pays en particulier dans toutes les zones dépendantes de l’eau, où il fut vénéré pour apaiser la colère de son animal sacré, le crocodile. Il était également vénéré en Rizeiqat, Gebelein et Esna. Sa fête était célébrée pendant le mois Koiak (ou Khoiak) dans la saison Akhet.  
 
   Son culte remonte aux premières dynasties. Les Égyptiens pensaient qu’il avait émergé des eaux du chaos pour créer le monde. Il était "Seigneur des eaux". Il devint un Dieu national et dynastique pendant les XIIe dynastie (1991-1783) et XIIIe dynastie (v.1783-v.1625) et plus tard lors de la XVIIe dynastie (1625-1549) où beaucoup de Rois vont inclure son nom dans leur titulature (Sobeknéférourê "Sobek est la perfection de Rê", Sobekhotep “Sobek est satisfait“, Sobekemsaf “Sobek est sa protection“). Dans le Livre des Morts, Sobek aide à la naissance d’Horus, il va chercher Isis et Nephtys pour protéger l’enfant et il aide à la destruction de Seth. Il a aussi sauvé les quatre fils d’Horus des eaux du Noun sur l’ordre de .
 
   Dans son sanctuaire du Fayoum on élevait un crocodile sacré, du nom de Petesuchos “Celui qui appartient à Suchos“, comme une incarnation du Dieu. Il vivait dans l’étang du temple et était paré de bracelets en or et de colliers. Selon les références de Strabon (Géographe, historien et philosophe Grec, 64/63 av.J.C-23 ap.J.C), le crocodile était nourri avec du pain, de la viande et du vin, de la nourriture offerte par les pèlerins qui venaient au temple pour le regarder. Un Prêtre s’approchait de l’animal et ouvrait sa gueule, tandis qu’un autre donnait les offrandes. Lorsqu’il mourait, il était momifié et inhumé dans une nécropole réservée aux animaux sacrés et un autre prenait sa place.

 

 

   TEFNOUT ou &fnt


 

Représentation des Dieux Shou et Tefnout
assurant le lever du dieu soleil à l’horizon

 
   Tefnout (ou Tefnut ou Tefnet ou Tphenis) fait partie de la grande Ennéade d’Héliopolis. Son nom vient du Tef (humide) et nout (ciel). Elle est la Déesse de l’humidité et elle est associée aussi à la pluie, à la rosée et aux nuages. Elle est le symbole de l’eau et de son pouvoir créateur. Dans la cosmogonie Héliopolitaine, elle constitue avec son frère et époux Shou (l’air) le premier couple divin. Elle fut la mère de Geb (la terre) et Nout (le ciel). Ils représentaient ainsi tous les trois les quatre éléments primordiaux. Elle incarne alors l’ordre cosmique et apporte la chaleur.
 
   Elle fut souvent représentée comme une femme à la tête de lionne avec le disque solaire et l’uræus sur sa tête. Cette iconographie la rapproche de celle de la Déesse Sekhmet avec laquelle elle finira par se confondre dans le mythe de l’œil de Rê. Elle porte dans ses mains le sceptre Ouas (w3s) et le signe de la vie Ânkh (anx). À Léontopolis et à Bouto, elle est représentée avec Shou comme un couple de lions, portant le soleil sur leurs épaules. À El Kab elle apparaît sous la forme d’un vautour.
 
   Son lieu de culte fut Memphis, mais elle était honorée aussi : À Bouto ; À El Kab ; À Ouab Sep-meri (ou en Grec : Oxyrhynchos ou Oxyrhinchus) capitale du 19e nome de Haute-Égypte sur la rive Ouest du Nil et à Léontopolis. Une lionne était consacrée en tant qu’hypostase (Subsistance fondamentale, principe premier) vivante à Tefnout dans la ville, qui tire d’ailleurs son nom de la présence de cet animal sacré qui vivait dans le temple en compagnie d’un autre lion lui même hypostase du Dieu Shou. Une partie de la ville de Dendérah fut appelée “Maison de Tefnout".
 
   Dans la mythologie, Tefnout fut la première divinité féminine à venir à l’existence dans l’univers et avec son époux Shou elle assura la première procréation sexuée du monde. Elle est le symbole de l’humidité tandis que Shou est celui de l’air, de la lumière et de la vie. Les deux entités sont complémentaires et indispensables au cycle du renouveau de la vie et à l’assurance que chaque matin le Dieu soleil pouvait renaître. Tefnout, qu’on associait aussi à la pluie, à la rosée et aux nuages, était le symbole de l’eau et de son pouvoir créateur, la source de vie.
 
   Tefnout pouvait aussi adopter la personnalité des Déesses dangereuses et incarner l’œil de . Elle représentait alors la Déesse qui s’exilait volontairement en Nubie “La Déesse lointaine” où elle semait la terreur sous la forme d’une lionne affamée de chair et de sang, laissant en plus derrière elle une grande sécheresse. Une légende raconte que les larmes qu’elle versa en aidant son père à soutenir le ciel s’étaient changées en plantes porteuses d’encens. Par syncrétisme au Moyen Empire (2022-1650) elle fut identifiée avec Maât. À la Basse Époque (656-332) elle fut identifiée avec Sekhmet, Bastet, Nehemetaouy d’Hermopolis, Menhet de Latopolis et Apset en Nubie.

 

 

Bibliographie

 
   Pour plus de détails sur les Dieux et Déesses d’Égypte, voir les ouvrages de :
 
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