Les  cités  Séleucides :
Apamée  sur  l’Oronte
 

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 Pour plus de détails voir aussi :  L’histoire des Séleucides

 

 
Sommaire

 
Nom et localisation
L’histoire
La cité, les fouilles
Quelques personnages célèbres
Bibliographie

 

Vue du site
depuis l”Agora

 

Nom et localisation
 


 

   Les principales villes Séleucides

  Apamée (ou Apamea ou Apharnaké ou Pharmaké ou Pella ou aujourd’hui : Qal`at al-Madhīq, en Grec : Απάμεια της Συρίας  Apameia, en arabe : أفاميا  Afāmya ou آفاميا  Afâmieh, en Persan : افامیا, en Arménien : Աֆամեա) est une ville de Syrie, située près de l’Oronte sur sa rive droite. On peut aussi identifier le site avec la cité de Nii (ou Niy ou Niya ou Nija) connue dans les textes Égyptiens, Akkadiens et Hittites. Elle fut baptisée successivement Apharnaké au Ve siècle av.J.C, puis Pella pendant la période Hellénistique, Apamée sous les Séleucides et ce fut la Fémie des croisés. Le site d’Apamée est aujourd’hui identifié (en fait depuis le XIXe siècle) à l’actuel Qal`at al-Madhīq (ou Qalaat-el-Madiq). Elle serait la ville où était gardé le trésor des Séleucides (B. Steph. sv; Strabon Livre XVI. P. 752; Ptolémée v. 15. § 19; Festus Avienus, v.1083).
 
   La forteresse fut placée sur une colline entre les enroulements de l’Oronte, où, avec le lac et les marais, cela lui donnait une de forme de péninsule, d’où son autre nom de Cherronêsos. Son site se trouve à environ 55 km. au Nord-ouest de Hama, en Syrie, avec une vue sur la vallée Ghab. Située à un carrefour stratégique pour le commerce avec l’Est, la ville prospéra au point que sa population atteignit 500.000 habitants. Apamée faisait partie de la "Tétrapolis Syrienne" (Quatre villes Syriennes), les trois autres villes étaient : Antioche sur l’Oronte, Séleucie de Piérie et Laodicée.


 

Le Cardo Maximus

 
   Apamée ne doit pas être confondue avec plusieurs autres cités du même nom comme : Apamée sur le Tigre près de l’Euphrate (Aujourd’hui en Irak) ; Apamée Sittacène sur le Tigre (Aujourd’hui en Irak) ; Apamée de Médie près de Laodicée (Nahavand, Iran) dont l’emplacement précis pour les trois est encore aujourd’hui inconnu ; Apamée Myrléa, anciennement Myrléa et Brylleion en Bithynie, sur les rives de la mer de Marmara, actuellement près de Mudanya dans la province de Bursa en Turquie ; Apamée sur l’Euphrate, en Osroène, en face de Zeugma maintenant en partie inondée par le barrage de Bilecik (ou Birecik) en Turquie ; Apamée de Phrygie, anciennement Kibôtos centre commercial de Phrygie, près de Celaenae (ou Kelainai ou Kélainai ou Celaenæ), dans la province d’Afyonkarahisar en Turquie et enfin Apamée Ragiana, au Sud de la mer Caspienne en Parthie, actuellement en Iran. Des fouilles régulières du site sont entreprises depuis 1928, toutefois, sur les 250 hectares intra-muros que compte la ville, seulement 50 h. sont aujourd’hui fouillés.

 

  L’histoire…….
 


 

Le temple de Zeus

   Les fouilles ont permis de mettre au jour des traces de premiers habitats sur le site datant du néolithique (Ve millénaire), ainsi que de riches tombes datant elles du bronze ancien. On pense aujourd’hui que la cité peut être l’ancienne Nii (ou Niy ou Niya ou Nija) rapportée dans les textes Akkadiens, Égyptiens ou Hittites des XVe et XIVe siècles. Ces textes sont relatifs aux campagnes des Rois Égyptiens: Thoutmôsis I (1504-1492), Amenhotep II (1428/27-1401) et de Thoutmôsis III (1479-1425), en Syrie du Nord et à l’occupation Hittite. On a retrouvé une stèle en hiéroglyphes datant de la période Néo-Hittite qui nous indique qu’Apamée faisait partie, au milieu du IXe siècle, des territoires du Roi du Hamath (ou Hama, ville sur les rives de l’Oronte dans le centre de la Syrie), Urhilina, avant de passer, comme le reste de la région, sous la domination des Assyriens, des Perses Achéménides, puis à la chute de ces derniers, à celle de l’Empire du Macédonien Alexandre le Grand (336-323).
 


 

Ruines Romaines

   Auparavant connu, depuis le Ve siècle, sous le nom de Apharnaké (ou Pharnaké), Apamée fut rebaptisée Pella par les Macédoniens, surement en souvenir du nom de leur capitale. À la mort d’Alexandre et du premier partage de son Empire, la Syrie du Nord échut à Antigonos I Monophtalmos ("Le borgne", Roi 306-301), qui l’occupa durant une quinzaine d’années.
 
   En 301, Séleucos I Nikatôr (305-280), le fondateur de l’Empire Séleucide, reçut lors du deuxième partage des territoires d’Alexandre, la Syrie et la partie Est de l’Asie Mineure. La possession de la Syrie lui donna une ouverture sur la Méditerranée et immédiatement, vers 300, il créa la nouvelle ville d’Antioche sur l’Oronte, qui devint le siège du gouvernement et qu’il appela : Antiocheia (En Grec : ‘Aντιόχεια) en souvenir de son père Antiochos. Pella fut fortifiée et fut agrandie par Séleucos I, qui la nomma Apamée (ou Apamea ou Apameia) d’après le nom de son épouse de Bactriane, Apama et non pas de sa mère, comme cela est souvent dit.
 
   La date exacte de cette reconstruction n’est pas enregistrée, certains spécialistes avancent le printemps de l’année 300, mais elle doit plutôt se situer après sa victoire la bataille d’Ipsos, en Phrygie, en 301, sur le Macédonien Antigonos I qui y décéda. Apamée était à cette époque plus une ville de garnison. Elle fut le siège d’une importante armée composée notamment de 500 éléphants, de 30.000 juments et 300 étalons.
 


 

Autre vue des ruines Romaines

   De cette époque, Apamée ne garde que les remparts qui faisaient plus de 8 Km. Lors du règne du Roi Séleucide Antiochos III Mégas (223-187), la ville profita de la richesse de l’immense Empire que ce dernier construisit. Cependant le Séleucide finit par être battu. En 191, le Consul Romain Manius Acilius Glabrio le battit aux Thermopyles. Puis, les Romains furent encore vainqueurs en 190, à la bataille de Magnésie du Sypile (aujourd’hui Manisa, Turquie). En 188, Antiochos III fut contraint de signer à Apamée de Phrygie un traité déshonorant pour les Séleucides appelé : La paix d’Apamée, qui était un partage de l’Asie Mineure (Voir carte) où il dut renoncer à ses conquêtes dans cette région à l’Ouest du Taurus, au profit essentiellement du Roi de Pergame allié des Romains.


 

La forteresse

 
   Cantonnés en Syrie, les Séleucides connurent aussi des dissensions internes. Comme plusieurs cités de la région, Apamée fut au centre de leurs luttes de succession. Ainsi que le confirme Strabon (Géographe Grec, v.63 av.J.C-v.23 ap.J.C), particulièrement en 144, lorsque le Général Séleucide, Diodote Tryphon (ou Diodotus Tryphon, 142-138), qui s’opposait au Roi Démétrios II Nikatôr (145-138 et 129-125), porta au pouvoir le jeune Antiochos VI Épiphane Dionysos (145-142), le fils d’Alexandre I Balas et Cléopâtre Théa, qui n’avait que deux ans et fit de la ville sa base pour ces opérations.
 
   En 83, le Roi d’Arménie Tigrane II (95-54), envahit la Syrie. Il garda la région et Apamée jusqu’en 68. Puis du fait des Romains qui mirent au pouvoir Antiochos XIII Dionysos Philopator Kallinikos (ou Asiaticos, 83-64) Apamée redevint Séleucide. En 67/66, soutenu par la population d’Antioche, un dirigeant local de Cilicie, Philippe II Philoromaios, expulsa Antiochos XIII de la ville et se rendit maître de la région, mais en 66/65 Antiochos XIII fut restauré par le Romain Lucius Lucullus. Cependant en 64, les troupes de Pompée (106-48), qui avait remplacé Lucullus, entrèrent en Syrie. Antiochos XIII fut battu et se réfugia chez son protecteur le Roi d’Émèse Sampsigeram I (ou Sampsiceramus ou Shams’alkeram, 64-43 av.J.C), mais celui-ci l’assassina à la demande de Pompée. La mort d’Antiochos XIII est traditionnellement admise comme la fin à la dynastie des Séleucides, dont le royaume fut transformé par Pompée en province Romaine.
 


 

Autre vue du Tychéion

   L’Apamée Romaine connut alors une grande prospérité. Elle comptait, en l’an 6, lors du recensement du Gouverneur de Syrie, Quirinus, 117.000 hommes libres, chiffre qui nous est livré par une inscription ramenée de Beyrouth à la Renaissance. Flavius Josèphe (ou Titus Flavius Josephus ou Josèphe ben Mattathias, historien Juif, 37-v.100) rapporte (Antiquités Judaïques, Livre XIV. 3. § 2) que Pompée en marche au Sud de ses quartiers d’hiver, sans doute à Antioche ou à proximité, rasa la forteresse d’Apamée en 64 et la ville fut annexée à la république Romaine.
 
   Durant la révolte de Syrie sous Q.Caecilius Bassus, la cité tint contre Jules César (100-44) pendant trois ans jusqu’à l’arrivée de Cassius en 46 av.J.C. À partir du IIe siècle ap.J.C Apamée connut une grande phase d’urbanisation et fut peuplée jusqu’à 500.000 habitants. Cependant du fait de sa position géographique stratégique la cité joua le rôle de poste avancé pour les Romains contre les invasions des Parthes, puis celles des Perses Sassanides. Sous les Empereurs Caracalla (198-217), Alexandre Sévère (222-235) et Gordien III (238-244), Apamée abrita, à trois reprises, les quartiers d’hiver de la deuxième légion parthique lorsque ces Empereurs se lancent dans de grandes offensives pour éloigner les Parthes de l’Euphrate.
 


 

La porte d’Antioche ou porte Nord d’Apamée

   Elle se trouva ensuite engagée dans le conflit entre les Sassanides et les Romains au IIIe siècle. En 252, elle reçut deux ailes de cavalerie dépêchées depuis les Balkans pour enrayer une première attaque Sassanide. La même année le Roi des Perses Châhpûhr I (ou Shapur, 241-272) remporta une victoire contre les légions Romaines à Barbalissos (ou Bâlis, Syrie) sur l’Euphrate, puis à Chalcis (ou Qinnasrin, Syrie), puis il assiégea et prit Apamée. Il ravagea la Syrie entière avec l’aide d’un fonctionnaire Syrien, Mariadès, dissident Romain exilé d’Antioche.
 
   Châhpûhr I massacra de nombreux habitants et d’autres furent déportés en Perse où ils participèrent à la création de nouvelles cités. De ces différentes périodes de son histoire militaire, Apamée conserva de précieux témoignages. Quelque 150 stèles et cippes de soldats de tous rangs morts durant ces campagnes, qui constituent un des dossiers épigraphiques le plus exceptionnel que l’on connaisse aujourd’hui en ce domaine.
 


 

Colonnes cannelées

   Au début du Ve siècle, Apamée accumula suffisamment de richesses pour devenir la capitale de la nouvelle province de Syria Secunda et le resta jusqu’à la conquête arabe. Durant l’époque Byzantine, influencée par la proche Antioche, la cité se Christianisa. Elle fut à la tête d’un important évêché et des églises furent construites à la place des sanctuaires païens. Un vaste ensemble épiscopal, doté d’une cathédrale fut construit à l’emplacement de l’ancienne école philosophique de Jamblique. En 420, une église à atrium fut édifiée à l’emplacement d’une ancienne synagogue. Elle joua un rôle important dans les luttes entre les Chalcédoniens et les Monophysites durant la première moitié du VIe siècle. En 526, un terrible tremblement de terre ravagea la région puis deux autres très importants, le 29 Novembre 528 et 31 Octobre 588 détruisirent une grande partie de la cité.
 
   En 528, L’Empereur Justinien I le grand (527-565) restaura un grand nombre de ses bâtiments publics et la rebâtit en partie. La cité aura à peine le temps de se reconstruire puisqu’en 540 (538 selon d’autres sources) le Roi des Perses Sassanides Khosrô I Anushiravān (ou Khusrau ou Khosroes, 531-579) en fit la conquête et la pilla. Puis il déporta une grande partie de sa population dans les environs d’Ecbatane. En 638, Apamée passa sous la domination arabe. À cette période la population passa à la langue et à la culture arabe. Les historiens s’accordent généralement à dire que la présence arabe, à partir du VIIe siècle, entraîna un déclin général des villes de Syrie. Elle était connue à cette époque en arabe sous le nom de Famia ou Fâmieh.

 

La cité,  les fouilles

 
   À son apogée Apamée fut protégée par des remparts de plus de 8 km. de long. La cité fut construite sur un plan orthogonal avec deux grand axe : Nord-sud et Est-Ouest. À partir du IIe siècle, elle connut une grande phase d’urbanisme. Son centre devint une avenue, l’axe Nord-sud de la ville (le Cardo), d’environ 22,50 m. de large (D’autres source donnent 38 m. ?), sur près de 2 km., il était bordé de larges portiques et paré de 1200 colonnes. Ce Cardo était coupé à angle droit de deux decumanus qui, comme à Antioche, joignaient entre eux les différents quartiers de la ville. La ville fut reconstruite sur le modèle des cités Romaines et elle fut dotée de tous les équipements standard que ces dernières possédaient dont, un théâtre dédié à Zeus Bêlos, construit près de la longue agora (Chez les Grecs, nom donné à l’espace urbain où se tiennent les assemblées publiques, équivalent du forum chez les Romains) gérant les affaires communes (fêtes, procès, etc…). L’agora comptait au nombre des plus vastes de tout l’Empire, avec 139 m. de diamètre.


 

Entrée d’un bâtiment

 
   On trouvait aussi, un Tychéion, dédié à la fortune de la cité, des thermes, un célèbre sanctuaire oraculaire de Zeus, des nymphées, de splendides et vastes maisons décorées de mosaïques, une dizaine d’églises, une école de philosophie où enseigna Numénius et qui attira quantité de disciples lorsque Jamblique fut à sa tête au cours du IVe siècle. Enfin sur la colline se trouve l’acropole qui est maintenant occupée par les ruines Kalat appelées el-Mudik (Kŭlat el-Mudîk).
 
   Selon Jean-Charles Balty (Professeur d’histoire et d’archéologie des civilisations antiques à l’université de Paris IV-Sorbonne), les fouilles d’une première équipe de 1930 à 1938 et celles qui y furent menées très régulièrement depuis 1965 ont permis de lever le voile sur différents monuments. La cavité du théâtre s’inscrit dans l’escarpement de la colline, face à la citadelle médiévale, à l’entrée Ouest de la ville. Plusieurs maisons ont été dégagées dans le quartier oriental, regroupées autour de leur péristyle, à l’arrière de hautes façades aux portes monumentales (Celle de la Maison aux consoles a été redressée en 1977).
 
   Mais c’est par les mosaïques : Mosaïque de Socrate et des Sages de la Grèce, mosaïque des Néréides et du triomphe de Cassiopée, aujourd’hui exposées au musée d’Apamée, que l’on évoqua l’école néo-platonicienne de Jamblique et de Sopatros, chère à l’Empereur Julien et sa conception de l’âme échappant aux épreuves de la génération et gagnant l’immortalité céleste, telle Cassiopée, victorieuse des Néréides, s’identifiant à la Beauté absolue.

 

Quelques personnages célèbres

 
   Quelques personnages célèbres originaires ou ayant séjournés à Apamée :
 
Archigènes (‘Αρχιγένης) qui fut un éminent médecin Grec antique, qui vivaient dans les Ier et IIe siècles ap.J.C.
Aristarque (Aristarque ou Aristarch) qui était un Évêque, l’un des soixante-dix Apôtres. Il était un Grec Macédonien de Thessalonique (Actes 27:2). Il fut un des premiers Chrétiens mentionné dans quelques passages du Nouveau Testament. Il accompagna Saint Paul lors de son troisième voyage missionnaire.
Évagre le Scolastique (ou Scholasticus), historien Grec, né vers 536 à Épiphanie (Syrie). Il fut avocat à Antioche, questeur sous l’Empereur Tibère II Constantin (578-582) et garda des dépêches du Préfet sous Maurice I (582-602).
Jamblique de Chalcis (ou Iamblicos ou Iamblichus), qui naquit vers 242 à Chalcis (Syrie) et mourut en 325. Il fut un philosophe néo-platonicien.
Numénius d’Apamée (En latin : Numenius Apamensis Platonicus, en Grec : Numénios Numénios) qui fut un philosophe néo-pythagoricien ou précurseur du néo-platonisme, qui naquit à Apamée, vivant au IIe siècle. Il enseigna dans l’école philosophique d’Apamée.
Polychronius qui fut Évêque et le frère de Théodore de Mopsueste. Il aurait assisté au Concile de Nicée et aurait contré les Arianistes, il aurait été assassiné par des extrémistes Arianistes sous le règne de l’Empereur Constantin II (337-340).
Posidonius (ou Poseidonios d’Apamée), qui naquit à Apamée en 135 et mourut à Rome en 51, il fut un philosophe Grec Stoïcien.
Théodoret qui fut Évêque. Il naquit à Antioche, en 386 ou 393 et mourut en 458. Il fut l’un des plus savants et des plus célèbres pères de l’Église.

 

Autres vues du Cardo et de ses colonnades Ruines des termes Le théâtre vu de la Citadelle

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur la ville voir les ouvrages de :
 
Andrée Archambault :
Apamée et les origines du christianisme en Syrie du Nord (IVe-Ve s.), Université de Montréal, 1973.
Janine Balty, Cécile Dulière et Michel Theunissen :
Apamée de Syrie : Bilan des recherches archéologiques, 1965-1968 : Actes du colloque tenu à Bruxelles les 29 et 30 Avril 1969. Bruxelles 1969, Musées royaux d’art et d’histoire, Centre belge de recherches archéologiques à Apamée de Syrie, Bruxelles, 1969.
Janine Balty et Jean-Charles Balty :
Apamée de Syrie, archéologie et histoire, I : Des origines à la tétrarchie, Aufstieg und Niedergang des römischen Welt, II, New York – Berlin, 1977.
Janine Balty :
Apamée de Syrie : Bilan des recherches archéologiques 1973/79, Aspects de l’architecture domestique d’Apamée : Actes du colloque tenu à Bruxelles les 29, 30 et 31 mai 1980, Centre belge de recherches archéologiques à Apamée de Syrie, Bruxelles, 1984.
Mosaïques d’Apamée : Guide du visiteur, Musées Royaux d’Art et d’Histoire, Bruxelles, 1986.
Jean-Charles Balty :
– Les grandes étapes de l’urbanisme d’Apamée sur l’Oronte, Université des Sciences Humaines de Strasbourg, Strasbourg, 1977.
Cécile Dulière :
La mosaïque des amazones, Centre belge de recherches archéologiques à Apamée de Syrie, Bruxelles, 1968.
Mohammed El-Zein :
Geschichte der stadt Apameia am Orontes von den anfängen bis Augustus, Heidelberg, 1972.
Mosaïques des portiques de la grande colonnade : section VII, 16-17, Centre belge de recherches archéologiques à Apamée de Syrie, Bruxelles, 1974.
Jacqueline Napoleone-Lemaire, Jean-Charles Balty et Dominique Collon :
L’église à atrium de la grande colonnade, Centre Belge de Rechèrches Archééologiques a Apamée de Syrie, Bruxelles, 1969
Jean-Paul Rey-Coquais :
Apamea (Qalaat al-Mudik) Syria, The Princeton Encyclopedia of Classical Sites, Princeton University Press, Princeton, 1976.
Wilfried Van Rengen, Jean Charles Balty :
Guide d’Apamée, Centre belge de recherches archéologiques à Apamée de Syrie, Bruxelles, 1981 – De Boccard, Paris, Bruxelles, 1981.
Apamée de Syrie : Quartiers d’hiver de la IIe. Légion parthique : Monuments funéraires de la nécropole militaire, Bruxelles Vubpress, 1993.

 

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