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Sobekhotep   (Manéthon)

   Manéthon l’appelle Sobekhotep. Il aurait régné une dizaine d’années, mais la Stèle d’Edfou donne 8 ans de règne. Une autre stèle trouvée au temple d’Amon de Karnak indique qu’il serait né à Thèbes, il en est déduit que ces frères Sahathor et Néferhotep I, à qui il succède, seraient également nés dans cette ville. Il est d’origine roturière, il est le fils du Grand Prêtre d’Abydos Haânkhef et de Kemi. Son grand-père Nehi, n’était qu’un milicien.

   Il est l’un des Rois les plus puissants de la dynastie et est connu pour avoir assuré la frontière méridionale en envoyant des troupes en Nubie pour mater une rébellion. Hans Wolfgang HelcK précise que cependant le pouvoir royal est très affaibli et le pays divisé en provinces. Les égyptologues, dont HelcK, pensent que c’est probablement sous le règne de Sobekhotep IV qu’une scission se produit dans la XIVe dynastie qui régnait en parallèle à celle-ci, suite à des révoltes dans le Delta. Se côtoient alors deux monarchies qui règnent en marge des derniers Rois de la XIIIe dynastie. Cette deuxième branche va prendre Khasout (Qui deviendra la Xoïs des Grecs) pour capitale et contrôle la partie Ouest du Delta. On ne sait pratiquement rien de ses souverains qui sont peut-être d’origine Cananéenne.
 
   Profitant de ces temps troublés et d’un pays divisé, des tribus nomades, essentiellement en majorité Amorrites selon certains spécialistes ou Hourrites selon d’autres, s’infiltrer lentement, mais en grand nombre, au Nord-est du pays. Une longue inscription à Thèbes déclare les dons fait par le Roi au temple d’Amon et que les gouvernants du Nord étaient venus dans la ville. Ceci est considéré comme une preuve importante qu’à l’époque, la capitale était encore dans le Nord du pays.
 
    En ce qui concerne son activité de bâtisseur, Sobekhotep IV a laissé un nombre relativement important de monuments partout dans le pays et il entretient et rénove beaucoup de temples en Haute-Égypte. Pour ses constructions, il se procure des matériaux grâce à plusieurs expéditions menées aux carrières, alors que beaucoup de ses prédécesseurs et successeurs se contentent d’usurper des monuments anciens. Diverses inscriptions des expéditions ont été retrouvées au Ouâdi el-Houdi (ou Wadi el-Hudi) et Ouâdi Hammamât (ou Wadi Hammamat) rapportant sur l’acquisition des matières premières. Nous avons aussi beaucoup de statues de Sobekhotep IV qui nous sont parvenues, dont la principale, trouvée à Tanis, qui se trouve aujourd’hui au musée du Louvre.
 
   Son lieu de sépulture est toujours sujet à discussion. Certains spécialistes pensent que l’on peut lui attribuer une pyramide à Mazghouna, alors que d’autres l’attribuent à son frère Néferhotep I.
 
   Sobekhotep IV n’a qu’une épouse attestée :
• Tiin (ou Tjin ou Tjan ou Tchan). Elle a laissé une inscription, probablement faite après la mort de son mari, où elle raconte comment celui-ci est allé à Héliopolis pour étudier les textes anciens et a apporté une statue du Dieu Osiris, dans une procession qui se terminait dans la ville d’Abydos, dans ce qu’on appelle le "Tombeau d’Osiris". On ne connait qu’un titre pour Tiin : Épouse du Roi (hmt-nswt). Elle lui donne cinq (ou six) enfants :
 
Quatre (ou cinq) fils :

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Sobekhotep  (Manéthon)

TITULATURE
Nom de Roi   Turin 7.1		Khâhoteprê (Rê apparaît, parfait) xa-Htp-ra
Nom de naissance		Sobekhotep (Sobek est satisfait) sbk-Htp

 
   Manéthon l’appelle Sobekhotep. Le Papyrus de Turin (7.1) a une lacune sur son nom, mais il compte pour ce Roi 4 ans, 8 mois et 29 jours de règne. Sobekhotep V est également mentionné dans la Liste royale de Karnak. Pour la majorité des égyptologues qui le comptent régnant, il aurait été au pouvoir très peu de temps, entre 4 et 6 ans. Kim Steven Bardrum Ryholt compte bien un Sobekhotep V qui succède au IV mais il lui donne le nom de Roi (Nisout Bity) : Merhoteprê et à Sobekhotep VI le nom de celui-ci, Khâhoteprê.
 
   Nous connaissons, à aujourd’hui, très peu de chose sur ses actes, le seul vestige datant de son règne, en dehors d’une dizaine de scarabée et d’un sceaux cylindrique aujourd’hui au Musée Petrie, est une statuette trouvée à Kerma en Nubie. Elle se trouve aujourd’hui à l’Ägyptisches Museum de Berlin. Cette découverte indique que l’Égypte avait une influence, voire un contrôle, sur cette région éloignée. Toutefois les inscriptions sur la base de la statues avaient été coupées (voir photo) de sorte qu’il n’était pas possible de l’affecter assurément à Sobekhotep V, mais les égyptologues on retrouvé le fragment manquant qui se trouvait au Musée de Boston, ce qui a permis de l’identifier.
 
   Selon certains spécialistes il est peut-être le fils de Sobekhotep IV et souverain de Thèbes. Ils appuient cette théorie sur le fait que Sobekhotep IV a eu deux fils à ce nom : Sobekhotep Miou, qui serait Sobekhotep V et Sobekhotep Djadja.

Sobekhotep V
Ägyptisches Museum – Berlin

 
  Sobekhotep V épouse Khaesnub (ou Nubkhaes ou Khaesnebu). Celle-ci est aussi donnée par d’autres spécialistes comme l’épouse de Ouâhibrê, ou encore de Sobekhotep VI. Elle fut la fille du Vizir de Haute-Égypte Dedousobek et de Dame Douanofret. Elle fut la mère de trois enfants : Douanéferet, Bebires et Khonskhoufsi, mais on ignore qui sont le (ou les) père(s). Elle portait les titres : Princesse héréditaire (iryt-pat) ; Grande Épouse Royale (Hmt-nswt wrt) ; Celle qui est unie à la couronne blanche [à la Parfaite] (Xnmt-nfr-HDjt) ; Grande de louanges (wrt-hzwt) ; Grande de grâce (wrt-imAt) ; Maîtresse [Souveraine] de toutes les femmes (Hnwt hmwtnbwt). La succession de ce Roi sur les trois prochains souverains est sujette à discussion. (Voir ci-dessous)

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   La succession de Sobekhotep V sur les trois prochains souverains est sujette à discussion. Le Papyrus de Turin (7.2) lui compte 10 ans, 8 mois et 28 jours de règne. Certains égyptologues comme Jürgen Von Beckerath, Rolf Krauss, Detlef Franke, Jaromir Malek, Thomas Schneider, Donald Bruce Redford etc.. suivent le Papyrus de Turin et font se succéder : Ouâhibrê (Iâib), Aÿ I Mernéferrê et Sobekhotep VI (Ini I ?). Alors que d’autres comme Jacques Kinnaer et Kim Steven Bardrum Ryholt indiquent : Sobekhotep VI en premier, puis Ouâhibrê (Iâib), Aÿ I Mernéferrê et Ini I Merhoteprê qu’ils comptent comme un Roi différent de Sobekhotep VI.
 
   Le nom de ce Roi, indépendamment de Turin, est indiqué sur plusieurs objets : Neuf scarabées dont un a été trouvé à Byblos ; trois sceaux cylindriques ; une perle trouvée à Licht ; une tasse trouvée à el-Lahoun (ou Kahoun, village dans le Fayoum) et une stèle, de provenance inconnue, aujourd’hui au British Museum.
 
   Ouâhibrê épouse Khaesnub (ou Nubkhaes ou Khaesnebu). Celle-ci est aussi donnée par d’autres spécialistes comme l’épouse de Sobekhotep V, ou encore de Sobekhotep VI. Elle fut la fille du Vizir de Haute-Égypte Dedousobek et de Dame Douanofret. Elle fut la mère de trois enfants : Douanéferet, Bebires et Khonskhoufsi, mais on ignore qui sont le (ou les) père(s). Elle portait les titres : Princesse héréditaire (iryt-pat) ; Grande Épouse Royale (Hmt-nswt wrt) ; Celle qui est unie à la couronne blanche [à la Parfaite] (Xnmt-nfr-HDjt) ; Grande de louanges (wrt-hzwt) ; Grande de grâce (wrt-im3t) ; Maîtresse [Souveraine] de toutes les femmes (hnwt hmwt nbwt).

Scarabée de Ouâhibrê –
Musée Petrie

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   Le Papyrus de Turin (7.3) lui compte 23 ans, 8 mois et 28 jours de règne. Compte tenu de son long règne ce Roi a laissé beaucoup de vestiges, parmi eux : Plus de 60 Scarabées ; un sceau cylindrique ; un pot en pierre avec son nom ; un pyramidion de granit noir, trouvé à Khatana (Nord-est du Delta) en 1911, provenant d’une pyramide qui se situe dans le Sud de Saqqarah, que certains spécialistes lui attribuent, mais qui n’est pas identifiée avec certitude ; des blocs de pierre du temple de Karnak.

 
   Une théorie dit que des gouvernants Hyksôs auraient pendant son règne élargis leur territoire vers le Sud avec la prise de Memphis, ce qui aurait fait s’enfuir Aÿ I de sa capitale Licht vers le Sud. Ces faits n’ont pas été encore prouvés par l’archéologie moderne. Kim Steven Bardrum Ryholt confirme que rien de ce scénario ne peut être affirmé avec des preuves substantielles et, au contraire, il prétend que la frontière entre les voisins des deux dynasties semble avoir été assez stables au cours de cette période.
 
   Aÿ I a une épouse attestée :
• Ini (ou Ineni ou Inni) qui n’est connue que par 21 scarabées et une empreinte d’un sceau trouvée à Kerma. On ne lui connait que deux titres : Grande Épouse Royale (Hmt-nswt wr-) et Celle qui est unie à la couronne blanche [à la Parfaite] (Xnmt-nfr-HDjt)). La proposition de son mariage avec Aÿ I est basée sur le fait que ses scarabées sont de même style que ceux du Roi. Elle lui donne deux enfants :
  ▪ Reditenès qui épouse une certaine Aya.
  ▪ Sobekhotep VI et/ou Ini I qui furent Rois. Cette filiation est incertaine car on a pas retrouvé de titre pour la Reine de Mère du Roi (mwt-nswt) comme cela devrait être le cas s’il elle fut bien leur mère.

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   Le Papyrus de Turin (7.4) compte 2 ans, 2 mois et 9 jours de règne à Sobekhotep VI. Ce dernier est aussi cité dans la Table de Karnak. On a également connaissance de son existence par une statue et une stèle juridique retrouvée à Karnak, ainsi qu’une autre stèle mise au jour à Abydos.
 
   L’identité précise de Sobekhotep VI demeure encore très controversée, certains égyptologues comme Jürgen Von Beckerath, Rolf Krauss, Detlef Franke, Jaromir Malek, Thomas Schneider, Donald Bruce Redford etc.. pensent que Sobekhotep VI et Ini I ne sont qu’un seul et même Roi (Leurs noms de Roi étant d’ailleurs identiques), il serait donc dans ce cas le fils d’Aÿ I et peut-être de la Reine Ini (ou Ineni ou Inni). D’autres comme Jacques Kinnaer et Kim Steven Bardrum Ryholt comptent deux Rois différents et placent Sobekhotep VI plus haut dans la dynastie, successeur de Sobekhotep V et Ini I successeur d’Aÿ I. Ils donnent comme dates de règne pour Ini I : 1677-1675 (K.S.B.Ryholt) et 1657-1655 (J.Kinnaer).
 
   Le Papyrus de Turin mentionne bien Ini I à cette période, mais sur la même ligne que Sobekhotep VI. Il convient toutefois de préciser que nous avons connaissance d’un scarabée au nom de Ini, ce qui complique encore un peu plus l’interprétation. Pour Jürgen Von Beckerath nous avons à faire au nom de naissance (Sa-Rê) originel de Sobekhotep.
 
   Sobekhotep VI est quelques fois donné comme époux de Khaesnub (ou Nubkhaes ou Khaesnebu). Celle-ci étant attribuée par d’autres spécialistes à Sobekhotep V ou Ouâhibrê.

Sobekhotep VI

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   Le Papyrus de Turin (7.5) lui compte 3 ans et 2 mois de règne. Il est également mentionné dans la Liste royale de Karnak. À part ces deux listes on a pas à ce jour trouvé d’autres artefacts datant de son règne.

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   Le Papyrus de Turin (7.6) compte 3 ans et un 1 de règne pour ce Roi mais son identité précise demeure encore très controversée. Sur la même ligne il note (peut-être) deux souverains : Ined Mersekhemrê et Néferhotep qui auraient le même nom de Roi (Nisout Bity), Mersekhemrê. De ce fait l’interprétation des spécialistes est différente. La Table de Karnak (VI.2) le nomme Mersekhemrê. La majorité des égyptologues, comme Jürgen von Beckerath, Detlef Franke, Jacques Kinnaer, Rolf Krauss et Donald Bruce Redford pensent que l’on a à faire qu’a un seul Roi, qu’ils nomment Ined Mersekhemrê. Thomas Schneider et Dariusz Sitek l’appellent Néferhotep II et lui comptent comme dates de règne : 1651-1648 (Schneider) et 1650-1647 (Sitek). Kim Steven Bardrum Ryholt, voit deux Rois différents, un qu’il nomme Ined Mersekhemrê, qu’il positionne dans la dynastie à cette place et l’autre, qu’il nomme Néferhotep II Mersekhemrê, dont il ne précise pas la position.
 
   Il semble qu’Ined Mersekhemrê est sauvé Thèbes de la famine lors des luttes qui l’opposait à des asiatiques et à leurs Égyptiens collaborateurs. Deux statues, qui lui ont été attribuées, ont été trouvées à Karnak.

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   Le Papyrus de Turin (7.7), qui est le seul à mentionner ce Roi, lui compte 1 an de règne, la lecture est cependant difficile. Alan Henderson Gardiner suggère qu’il faudrait plutôt compter 5 ans. Jürgen von Beckerath attribue à Hori un fragment de pierre trouvée à el-Tod (20 km de Louxor) où il est indiqué "Seouadj…..rê" qu’il compare au nom de Roi de ce souverain. Toutefois, il y a eu d’autres dirigeants avec ce nom de sorte que l’attribution reste très incertaine.

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  Le Papyrus de Turin (7.8) lui compte 2 ans et 4 jours de règne, mais un nombre inconnu de mois. Il est également mentionné dans la Liste royale de Karnak et sur deux statues aujourd’hui au musée du Louvre. Il est le dernier souverain de la dynastie, dont le nom est conservé dans le Papyrus de Turin. L’ordre des Rois qui se succédèrent après est donc très incertain, il se peut même que quelques uns soient les mêmes que des souverains déjà mentionnés.
 
   Sobekhotep VII a deux enfants : Bébi et Sobekhotep, mais on ne connait pas le nom de la mère.

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Toutimaiôs  ?  (Manéthon)

 
   Manéthon l’appelle Toutimaiôs, mais il semble qu’il y a là une erreur de retranscription de la part de Flavius Josèphe et que Dedoumesiou et Toutimaiôs ne soit pas les mêmes Rois. Lorsque l’on regarde sa titulature, on constate deux noms de Roi (Nisout-Bity) différents, il pourrait donc s’agir de deux Rois distinctes, comme le proposent Kim Steven Bardrum Ryholt et Jacques Kinnaer (Dedoumesiou I et II). De plus, ces égyptologues listent ces Rois dans la XVIe dynastie. Cependant on peut aussi imaginer que Dedoumesiou a changé de nom de Roi durant son règne ?. Aucune théorie ne peut être aujourd’hui définitivement abandonnée, faute de plus de preuves.
 
   Selon Detlef Franke, ce Roi serait contemporain de Salatis (1663-1649, mais 1630-1615 pour D.Franke), le premier Roi Hyksôs de la XVe dynastie, qui prend le pouvoir à partir d’Avaris. C’est donc probablement sous le règne de Dedoumesiou que l’Égypte fut attaquée par les Hyksôs (si attaque il y a eu, voir à Hyksôs). Selon une théorie de David M.Rohl sujette à controverses, le Toutimaiôs de Manéthon, donc pour lui Dedoumesiou, serait le "Pharaon" cité dans l’Exode, bien plus crédible que Ramsès II (1279-1213) ou son fils Mérenptah (1213-1203) habituellement retenus.
 
   Les vestiges de ce Roi sont rares, il est connu une stèle provenant de Gebelein. Elle est faite par un fonctionnaire anonyme se donnant le titre de "fils du Roi" qui célèbre le couronnement de Dedoumesiou, nous donnant tous ses titres et noms. Cette stèle est maintenant au musée Égyptien du Caire. Dedoumesiou est pratiquement le dernier souverain attesté parmi ceux qui ont été rapportés dans la colonne sept du Papyrus de Turin.

  Ibi  III

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   Le nom de ce Roi est seulement mentionné dans le Papyrus de Turin (7.14).

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   Ce Roi a trois enfants : Peut-être Sekhaenrê qui sera Roi, Minemsaes et une fille au non inconnu. Son nom est incomplet car sur le papyrus de Turin la ligne est endommagée.

Après 1640  D.Franke, R.Krauss

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   Le nom de ce "Roi" est donné seulement par quelques spécialistes, il n’est pas sur que ce soit le bon, car sur le Papyrus de Turin la ligne (7.17) est très endommagée. Son nom serait cité sur la Liste royale de Karnak et sur un fragment de la stèle de Gebelein on trouve son nom de naissance (Sa-Rê). Enfin sur un fragment d’un petit naos à Thèbes on trouve son nom de Roi (Nisout Bity), ainsi que sur divers objets trouvés à Gebelein et à Deir el-Bahari.