Quelques grands Rois Hittites :
Souppilouliouma I
1355  à  1322
 

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  Sommaire
 

Son origine et généralités
Son règne
Sa famille
Bibliographie

    DATES  de  RÈGNE
  1355 – 1322
1380 – 1336
1355 – 1320
1344 – 1322

 

Son origine et généralités

 
   Souppilouliouma I (ou Suppiluliuma ou Shubiluliuma ou Šuppiluliuma, en Akkadien : Šu-up-pi-lu-li-u-ma) fut pour beaucoup le plus important souverain de la période Hittite dite : "Nouvel Empire". Il succéda à Tudhaliya III. Son origine est très discutée, pour certains il fut le fils cadet de Tudhaliya II (Donc peut-être un frère de Tudhaliya III, idée qui fait pour l’instant la majorité), pour d’autres, il fut celui d’Hattousili II et d’une concubine, enfin pour d’autres il fut un fils cadet de Tudhaliya III ?. Le jeune Empereur réforma complètement l’Empire Hittite. Beaucoup d’historiens font débuter le Nouvel Empire à partir de son règne alors que traditionnellement on le compte à partir de celui de Tudhaliya I (ou Tudhalia ou Touthalija ou Duhalijas ou Tudhalijaš, v.1430-v.1420).
 
   Il poursuivit la politique de consolidation du royaume et par ses conquêtes territoriales il l’agrandit considérablement tout en créant un Empire durable où les États vassaux de Syrie demeurèrent fidèles. Quelques spécialistes avancent qu’il se fit remarquer très jeune pour ses talents militaires, et gagna en importance sous le règne de son père dans des campagnes contre les Gasgas (ou Kaska ou Kaškäer ou Kaschkäer ou Gaschgesch ou Gašgeš ou Keschkesch ou Keske) qui avaient pris la capitale Hattousa, ainsi que dans différentes expéditions contre des royaumes d’Arzawa et des pouvoirs vassaux de la frontière orientale. On lui attribue aussi le fait d’avoir reconstruit et agrandit la capitale Hattousa qui selon certaines sources tripla de superficie.

 

Représentation de Souverains – Karkemish

 

Son règne

 

   En dépit de sa valeur en tant que soldat, Souppilouliouma I n’était pas l’héritier du trône, c’est ce qui le conduisit probablement à participer à la conspiration contre Tudhaliya III, action qui le mena au pouvoir. Dès son accession au trône, il fut confronté à des invasions sur sa frontière Nord par les Gasgas qu’il maitrisa rapidement, puis sur sa frontière orientale par des alliés du Mitanni, comme l’Isuwa (ou Issuwa ou Ishuwa, royaume Hourrite situé autour de Milid), mais il réussit à repousser l’ennemi. Toutefois, à cette époque, ses forces n’étaient pas en mesure de causer des dommages considérables au Mitanni. Dans ces circonstances, Souppilouliouma I appliqua toutes les mesures diplomatiques possibles en sa possession.
 
   Il signa une alliance avec la dynastie Kassite de Babylone et favorisa une guerre civile interne entre les différents prétendants au trône Mitannien, ce qui affaiblit leur royaume. En effet, lorsque l’Empereur du Mitanni, Tushratta (v.1380-v.1350) lança une expédition contre le royaume de Nuhashshe (ou Nukhashshe ou Nuhasse ou Nuhašša, petit royaume au Sud d’Alep), vassal des Hittites, à titre de sanction pour l’aide que donnait celui-ci à son frère et rival pour le trône, Artatâma II (v.1350), Souppilouliouma I déclara la guerre au Mitanni. Ce conflit réduisit la puissance de Tushratta, n’étant que faiblement soutenu par l’Égypte. Cependant, le Mitanni ne fut pas encore complètement défait et l’Empereur Hittite devra effectuer une deuxième guerre en Syrie quelques années plus tard.
 
   Puis il lança une campagne contre le Kizzuwatna qu’il annexa à son Empire. Il signa un accord avec le Roi de ce royaume qui accepta, contre certains avantages, une sorte de suzeraineté Hittite qui donnait aux armées de Souppilouliouma I un accès direct par ses territoires en Syrie. Durant cette période la nation Hittite fut, avec l’Égypte, l’État le plus puissant du Proche-Orient. Souppilouliouma I passa les dix premières années de son règne à rétablir la situation à son avantage en Asie Mineure, puis il attaqua toutes les régions de la Méditerranée et prit Alep qui devint vassale. Tushratta ne put réagir et dut éviter l’affrontement. Il fomenta alors des révoltes avec les grandes cités de la région afin d’affaiblir Souppilouliouma I. Mais celui-ci en représailles s’attaqua aussitôt au Mitanni et mena son armée directement au cœur de l’Hanigalbat. Il prétendit avoir pillé la région et avoir rapporté en butin, des captifs, des bovins, des ovins et des chevaux. Tushratta s’enfuit et laissa sa capitale (ou Washshukanni ou Waššukanni ou Ushshukana dans les textes Assyriens) sans défense, mais Souppilouliouma I ne parvint à prendre la ville. Puis, Tushratta fut assassiné par un groupe dirigé par un de ses fils, son autre fils, Shattiwaza (ou Shattiwazza, v.1350-v.1320), l’héritier légitime du trône, prit lui aussi la fuite.


 

Tête de Prince Hittite –
Musée d’Antioche

 
   Artatâma II (v.1350), le troisième fils de Shuttarna II, qui prétendait lui aussi au trône, saisit l’occasion de l’assassinat de Tushratta et prit le pouvoir avec son fils Shuttarna III (v.1350-v.1345), à Wassouganni. Son règne fut éphémère, car dès sa prise de fonction il dut faire face à Souppilouliouma I. Artatâma II et les Rois de Syrie/Palestine sollicitèrent de l’aide auprès de leur allier l’Égypte, cependant aucune aide ne leur parvint. La correspondance entre les Rois de Kadesh et de l’Amourrou avec l’Égypte conservée dans les "lettres d’Amarna" nous informent sur les relations diplomatiques à cette période. Souppilouliouma I put alors mener une campagne fructueuse contre le Mitanni.
 
   La chute de celui-ci entraîna celle de la partie Nord de la Syrie, notamment des villes alliées de l’Égypte. Une forte influence des Assyriens en Mitanni semble être la raison pour laquelle les Hittites ne parvinrent pas à avoir une domination totale sur le pays. Ils vont alors changer de politique et s’employer à soutenir les Mitanniens contre les Assyriens qui avaient des vues sur les mêmes territoires qu’eux.
 
   Shattiwaza, dans la débâcle qui suivit l’assassinat de son père, fut lui aussi forcé de fuir et il se réfugia dans un premier temps à Babylone, en laissant le pouvoir à son "oncle" Artatâma II et son fils Shuttarna III. Il regagna ensuite la cour de Souppilouliouma I, qui lui accorda l’asile et où il épousa une de ses filles, Mouwatti (ou Muwatti). Le souverain Hittite lui promit alors de le remettre sur le trône du Mitanni et il chargea son fils Piyassilis (ou Piyashshili ou Pijaššili ou Sarri-Kusuh) avec son armée d’aider le Mitannien. Shattiwaza fort de cette nouvelle alliance, avec l’aide du Prince Hittite, mena ses soldats jusqu’aux abords de son royaume. D’après des sources Hittites, Piyassilis et lui traversèrent l’Euphrate à Karkemish.
 
   Ils marchèrent ensuite contre Irridu, en plein centre du Khābūr (ou Habur, actuelle Haut-Djézireh), entre Qattara et Taidu (ou Taite dans les textes Assyriens), en territoire Hourrite, qu’ils prirent, ainsi que Harran, puis ils s’installèrent à Irridu. Le traité entre Souppilouliouma I et Shattiwaza est l’une des sources principales qui nous renseigne sur l’histoire de cette époque. Artatâma II décédé, Shuttarna III s’installa lui, dans la capitale Wassouganni.
 
   La période de troubles qui suivit l’assassinat de Tushratta et le rétablissement de Shattiwaza provoqua le réveil de l’Assyrie. Leur souverain, Assur-Uballit I (1366-1330), se libéra de la tutelle du Mitanni en se rendant indépendant. Il envahit le Royaume d’Alzi (ou Alshe, haute vallée de l’Euphrate) et vers 1345, il marcha sur la capitale Mitannienne, Wassouganni. Bien que Shuttarna III fut son vassal et sous sa protection, il lui refusa l’entrée de la ville. Assur-Uballit I encercla alors la cité et l’assiégea. Les habitants préférant dépendre des Hittites plutôt que des Assyriens, leurs anciens sujets, demandèrent de l’aide au Prince Piyassilis et Shattiwaza toujours à Irridu. Ils acceptèrent et tournèrent leur armée vers Wassouganni. Durant tout le trajet ils poursuivirent les Assyriens sans jamais qu’il n’y ait de réelles confrontations. Ils libérèrent la ville et Shattiwaza fut rétabli sur son trône. Il devint le seul souverain du Mitanni, mais son royaume ne se limitait plus qu’aux vallées du Khābūr et de plus, il était sous la tutelle de Souppilouliouma I. Pour son effort Piyassilis reçut de son père le territoire d’Ashtata (Ouest de l’Euphrate), avec comme cités principales Karkemish, Ekallāté et Terqa, villes qui appartenait au Mitanni. Peut après son père le nommera Roi de Karkemish :

“Et toutes les cités du pays de Karkemish, Mazuwati, Murmurik, Shipri, ………  Je les donne à mon fils”. (Extrait du traité entre Souppilouliouma et Shattiwaza)

En fait, l’intégralité du territoire Mitannien situé à l’Ouest de l’Euphrate passa sous contrôle Hittite et fut gouverné par Piyassilis.

Morceau de fresque
avec le Dieu Katuva

 
   Cette nouvelle puissance, qu’était les Hittites, bouleversa l’équilibre du Proche-Orient. Les Égyptiens qui exerçaient un contrôle sur le couloir commercial entre la Syrie et la Palestine, étaient maintenant directement menacés. Cependant le Pharaon Amenhotep III (1390-1353/52) ne réagit que timidement aux succès Hittites (Voir Égypte, XVIIIe dynastie). Au contraire même, selon certains spécialistes, l’Égypte aurait signé un traité avec eux. Souppilouliouma I finira par profiter de la situation. Il envahit l’Ouest de la vallée de l’Euphrate et conquit l’Amourrou (Liban aujourd’hui) du Roi Azirou (ou Aziru, v.1344-v.1315) qui intriguait avec le Roi de Kadesh, Etakkama (ou Aitakama, v.1355-1312), pour former une coalition de petits États, mais qui se rangera finalement de son côté, puis il prit Ougarit, Alalah et Kadesh.
 
   En Égypte, le Pharaon Amenhotep IV (ou Akhénaton, 1353/52-1338) succéda à son père Amenhotep III. Comme lui il ne porta que peu d’intérêts à l’imparable avancée des Hittites. Selon de nombreux historiens, il aurait toléré la chute de la cité commerciale d’Ougarit et celle de Kadesh sans intervenir pour les défendre. La correspondance entre les Rois de Kadesh et de l’Amourrou avec l’Égypte est conservée dans les "Lettres d’Amarna". Elle permit de retracer la progression des Hittites. Les noms de Rois de Kadesh, qui y sont indiqués, servent dans nos sources contemporaines. En réalité, la conquête de Kadesh par les Hittites fut la conséquence non désirée d’un impondérable, il semble que Souppilouliouma I était désireux de respecter le traité de paix avec les Égyptiens et ne souhaitait pas attaquer la ville qui était leur possession.
 
   Cependant, le Roi de Kadesh, Etakkama, manœuvrant pour son propre compte et sans avoir consulté Amenhotep IV, interdit le passage de la vallée de l’Oronte aux troupes Hittites, obligeant Souppilouliouma I à l’attaquer et à s’emparer de sa cité. Etakkama fut fait prisonnier et emmené dans la capitale Hattousa. Toutefois Souppilouliouma I le relâcha rapidement pour ne pas donner un prétexte à Amenhotep IV de lui déclarer la guerre, ce que ce dernier n’aurait d’ailleurs peut-être même pas fait et il redonna Kadesh aux Égyptiens et tout redevint normal, mais pour peu de temps. Etakkama fut d’abord un allié fidèle de l’Égypte, puis il rejoignit une alliance du Roi d’Amourrou qui venait de trahir Amenhotep IV dans une affaire entre Byblos et Sidon que le Pharaon lui avait demandé de régler. Une fois de plus, l’Égypte décida de ne pas intervenir face à cette potentielle menace. Dans les "Lettres d’Amarna", le Pharaon nomme Etakkama comme : "Un traître et un partisan de l’ennemi de l’Égypte, avec lequel on ne s’assoit pas à une table". Souppilouliouma I décida alors d’attaquer le Nord de la Syrie, il prit Ougarit, où le Roi Niqmaddou II (ou Niqmadu, 1353-1318) se soumit.
 
     Lorsque les Rois, Itur-Addu (v.1350) d’Alalah (ou Alalakh ou Alakhtum ou Mukish ou Tell Açana, capitale du petit royaume de Mukish) et Addu-Nirari du Nuhashshe (ou Nukhashshe ou Nuhasse ou Nuhašša, petit royaume au Sud d’Alep) se soulevèrent contre les Hittites et cherchèrent à rallier les royaumes voisins à leur cause, Niqmaddou II choisit de rester dans le camps des Hittites. Plusieurs lettres nous montrent des propositions faites par l’Empereur à Niqmaddou II pour le convaincre de rester fidèle. Quand la coalition fut matée par Souppilouliouma I qui prit Alalah, Niqmaddou II rejoignit son suzerain dans la ville où il conclut un accord diplomatique. Puis Souppilouliouma I se tourna vers l’Amourrou. Avant d’arriver dans cette région il attaqua Qatna (Au Nord-est d’Émèse). Le Prince de la ville, Akizzi, demanda de l’aide au Pharaon Amenhotep IV. Il écrivit cinq lettres à ce dernier à Amarna. Cependant le Pharaon plus prit par sa réforme religieuse dans son pays, que par les évènements au Proche-Orient, délaissa ces territoires Syriens et le pauvre Prince. Amenhotep IV finira quand même par envoyer des troupes pour venir en aide à Akizzi, mais trop tard. La région sera prise par les Hittites dans la violence, comme en témoignent les traces de destructions retrouvées sur le site, et les habitants seront déportés à Hattousa.
 


 

Lettre d’Azirou au Pharaon

   Les faits de la trahison d’Azirou sont mentionnés dans la "lettre d’Amarna" (EA 162) d’Amenhotep IV, adressée à ce dernier, dans laquelle le Pharaon exigeait qu’Azirou vienne en Égypte pour expliquer ses actes. Le Roi une fois dans le pays fut arrêté pendant au moins un an avant d’être libéré pour faire face à l’avancée des Hittites, qui avaient déjà conquis la ville d’Amki, ce qui constituait une menace pour l’Amourrou (Lettre EA 170). Une fois dans son royaume Azirou prit contacts avec Souppilouliouma I. Il changea alors son allégeance et resta fidèle aux Hittites jusqu’à sa mort, dont on ignore la date exacte.
 
   Informé qu’Azirou avait à sa cour une mission diplomatique Hittite afin de trouver un accord de paix, et qu’en plus Kadesh, dont Etakkama venait de changer de camp et prêter allégeance à Souppilouliouma I pour garder son trône, se retrouvait dans leur camp, Amenhotep IV comprit qu’il fallait intervenir et envisager une solution militaire. Bien que l’on n’ait trouvé aucun document qui le confirme, on pense aujourd’hui que le Pharaon envoya une armée qui fut semble t-il battue. Bien plus encore, les Hittites attaquèrent les places fortes Égyptiennes de Byblos et Damas. Ils continuèrent leur progression, que les Égyptiens n’arrivèrent pas à freiner et ils grignotèrent petit à petit toutes les conquêtes Égyptiennes en Palestine.
 
   Souppilouliouma I renforça ses possessions par plusieurs actes importants. Il maria ses filles à différents Rois assujettis, il passa des alliances avec ses vassaux, enfin, il nomma un de ses fils, Télépinu (ou Telipinu) Roi d’Alep et un autre, Piyassilis, Roi de Karkemish. Les actes de son règne furent compilés après sa mort par son fils Moursil II. Ils sont une importante source pour connaître les faits qui se déroulèrent à cette période. Une des lettres de Souppilouliouma I, adressée au Pharaon Amenhotep IV (ou Akhénaton) (EA 41), a été conservé dans les "lettres d’Amarna". Elle exprime l’espoir que les bonnes relations qui existaient entre l’Égypte et le Hatti sous le règne du père de ce dernier, Amenhotep III, continueront dans le nouveau règne d’Amenhotep IV. Souppilouliouma I mourut de la peste (On trouve quelque fois de la variole ?), rapportée par les prisonniers Égyptiens après la campagne en pays de Canaan (Sud de la Palestine). Son successeur fut son fils ainé Arnouwanda II qui ne régna qu’un an, lui aussi victime de la peste. Son plus jeune fils Moursil II (ou Mursil ou Mursili) arriva alors au pouvoir.

 

Sa famille

 
   Souppilouliouma I eut trois Tawananna (épouse du Roi) attestées en fonction des spécialistes comme Boaz Stavi :
• Tadukhepa (ou Taduhepa ou Tadoughepa ou Daduhepa), qui selon certain spécialistes fut la veuve de son "père" et qu’il épousa au début de son règne.
• Hinti (ou Henti ou Hintiš).
• Malnigal (ou Mal-Nikal), qui fut une Princesse Babylonienne. Son beau-fils Moursil II l’accusa de sorcellerie, il est dit qu’elle interféra dans les affaires du gouvernement et introduisit des coutumes étrangères, telles que la prostitution, dans le palais, et d’avoir tué son épouse Gassulawija en l’empoisonnant. Il consulta l’oracle qui confirma l’allégation et lui dit que les Dieux seraient d’accord s’il la faisait tuer en représailles. Malnigal fut jugée et reconnue coupable, démise de ses titres et bannie, mais laissée en vie.
  
   Plusieurs enfants lui sont également attestés mais on ignore qui en furent les mères :
Arnouwanda II (ou Arnuwanda), qui succéda à son père.
Zida qui commanda des troupes dans les campagnes en Palestine de son père.
Télépinu (ou Telipinu), qui fut Roi d’Alep.
Piyassilis (ou Piyashshili ou Pijaššili ou Sarri-Kusuh), qui fut Roi de Karkemish.
Zananza (ou Zannanza). Il est surtout connu pour être presque devenu Pharaon, et parce que sa mort provoqua un incident diplomatique entre les Hittites et les Égyptiens.
Moursil II (ou Mursil ou Mursili), qui succéda à son frère Arnouwanda II.
Mouwatti (ou Muwatti), qui épousa l’Empereur du Mitanni, Shattiwaza (ou Shattiwazza, v.1350-v.1320).

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur le souverain voir les ouvrages de :
   
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