Quelques  grandes  villes :
Sebennytos   et  Xoïs
 

Nous avons besoin de vous

 

Sommaire
 

▪  Noms et localisation
▪  L’histoire de la cité
▪  Archéologie sur le site
▪  Bibliographie

Sebennytos
ou  Tjeb-Netjer
 
ou  Tjeb-Netjer    §b-nTr 

 

Noms  et  localisation

 
   Sebennytos (en Grec : Σεβέννυτος ou ἡ Σεβεννυτικὴ πόλις hê Sebennytikê Pólis, en Égyptien : §b-nTr  Tjeb-Netjer ou Tjebnoutjer, en Copte : Djebenoute  ou Djemnouti ou Dyebenute, en Latin : Sebennytus, en arabe : سمنود‎ Samannūd) fut une ville de Basse-Égypte, située sur une presqu’île entre le lac Burlos et le Nil, à 6km d’El-Mahalla el-Koubra (ou el-Khubra) à l’Est près de Saïs. Elle est aujourd’hui connue sous le nom de Samannūd (ou Semennoûd). Elle fut située sur la branche de Damiette (ou Sebennytique) du Nil, dans le Delta qui est désormais ensablée. Sebennytos fut la capitale du 12e nome de Basse-Égypte, le nome "du veau divin" (kA iw). Elle fut le berceau de Manéthon, Grand Prêtre d’Héliopolis, Historien et Chroniqueur du début de la période Ptolémaïque (305-30), connu pour son ouvrage sur l’histoire Égyptienne : Aegyptiaca. La divinité tutélaire de la cité fut Onouris-Shou (ou Anhour-Shou), fils d’Atoum-Rê. Un sanctuaire lui était dédié ainsi qu’à son épouse la Déesse Mehyt.
 

L’histoire…

 
   Sebennytos avait une position géographique favorable pour le commerce entre le Delta et la grande Memphis, ce qui favorisa son développement. Toutefois, elle ne rentra que très tard dans l’histoire politique du pays, ce ne fut en effet qu’à l’époque Libyenne (XXVe dynastie, 747-656), qu’elle commença à faire parler d’elle. D’abord en tant que succursale religieuse de Thinis (ou This). Puis en 730, ses Princes profitèrent de l’anarchie dans laquelle le pays tombait pour s’ériger en Principauté. À cette époque, pas moins de quatre dynasties prétendaient au pouvoir : La XXIIe dynastie (945-715) représentée par Osorkon IV (730-715) à Tanis, la XXIIIe dynastie (818-715) représentée par Ioupout II (754-715) à Léontopolis, la XXIVe dynastie (727-715) représentée par Tefnakht (727-716) et Bakenranef (716-715) à Saïs, enfin la XXVe dynastie (747-656) Kouchite représentée par Piânkhy (ou Piye, 747-716) et Chabaka (716-702).


 

Des porteurs offrent des cadeaux à Nectanebo II –
Temple Onouris-Shou, Sebennytos

 
   À cela il convient d’ajouter, pour avoir un tableau complet de l’explosion du pays à cette période, les "Roitelets" d’Héracléopolis, Lycopolis (ou Assiout) et Hermopolis Magma. Sebennytos va prêter allégeance à ce dernier et va compter parmi les cités importantes du Delta Septentrional. L’égyptologue Olivier Perdu dans son document, La Chefferie de Sebennytos de Piânkhy à Psammétique Ier (2004), apporte des informations nouvelles sur le sort de Sebennytos entre la fin de l’anarchie Libyenne (XXVe dynastie, 747-656) et la réunification du pays sous l’égide de Psammétique I (664-610, XXVIe dynastie). La confrontation des différents témoignages, permet maintenant de compléter, la lignée des chefs en charge de la ville, de mettre en évidence leur importance et de préciser leur attitude à l’égard des Éthiopiens, notamment lors du conflit avec l’Assyrie.
 

Sphinx au nom de Nectanébo I –
Musée du Louvre

   Le cas de cette cité s’avère en fait très instructif sur la situation des chefferies Mâ Libyennes du Delta sous la XXVe dynastie. Lorsque Psammétique I se lança dans la reconquête et la libération du pays, Sebennytos fut une des premières cités à se ranger derrière le Roi et elle participa activement à l’expulsion des Assyriens.
 
   Les Assyriens partis et le pays réunifié, Psammétique I fit de Memphis sa capitale et réorganisa l’administration, ce qui permit à Sebennytos de reprendre son statut de grande cité commerciale entre le Delta et la capitale. Puis la ville subit, comme le reste du pays la domination des Perses Achéménides lorsque le Roi Psammétique III (526-525) après seulement six mois de règne fut vaincu par Cambyse II (529-522). Il capitula entraînant ainsi la soumission de tout le reste du pays. La position stratégique de la ville de Saïs dans le Delta permit à ses Princes de se révolter efficacement contre les Perses. Un de ceux-ci, Amyrthée (404-399), fut de toutes ces révoltes emmenant, avec l’appui de villes du Delta proches comme Sebennytos, des actions de guérilla dans le Delta occidental autour de sa ville de Saïs.
 
   En 404, il profita de la mort de Darius II (423-404) et des luttes de succession entre Artaxerxès II (404-401) et Cyrus le Jeune pour se proclamer Roi et commencer à expulser les Perses d’Égypte. Cependant la stabilité du pays ne revint pas puisqu’il fut renversé par Néphéritès I (399-393). Ce Prince de Mendès, une ville à l’Est du Delta, continua la libération et la réunification de l’Égypte, la débarrasse de la domination des Perses et fonda la XXIXe dynastie (399-380). Cette nouvelle dynastie connut le même sort qu’elle avait réservé à la précédente et fut balayer à peine vingt ans plus tard.


 

Nectanébo I – Musée du Louvre

 
   Sebennytos à cette période passa sur le devant de la scène et atteint son apogée. Un Général, Nectanébo I (380-362), fils de Djedhor, un dynaste important de la ville, en Novembre 380 profita des troubles et des révoltes qui secouaient le pays et prit le pouvoir. Il accéda à la royauté après avoir renversé (et probablement tué ?) Néphéritès II. Il fonda la XXXe dynastie (380-342) et fit de la ville sa capitale et résidence royale. Il reprit les campagnes militaires au Proche-Orient en attaquant la Syrie. Ces victoires assurèrent au pays vingt-cinq ans de paix. Seulement trois Pharaons écrivirent l’histoire de cette dynastie. Ils réussirent, malgré les crises de palais, à maintenir le pays prospère, bien que Nectanébo I augmenta fortement les impôts du peuple pour financer ses campagnes en Syrie.
 
   Ces Rois dotèrent aussi l’Égypte et leur capitale de splendides monuments et rendirent un temps assez indépendante face à l’énorme Empire Perse. Dans les temples, les souverains effectuèrent un immense programme d’enjolivement architectural, y compris clôtures, murs et pylônes, comme le premier pylône du temple de Karnak. Le temple d’Onouris-Shou (ou Anhour-Shou), à Sebennytos, fut à l’époque embelli largement par le Pharaon Nectanébo II (360-342). Il est d’ailleurs possible que les Rois de cette dynastie soient enterrés dans l’enceinte du temple, mais jusqu’à présent, aucune enquête archéologique sur ces sépultures n’a été entreprise.
 
   La XXXe dynastie fut la dernière dynastie indigène de l’épopée Pharaonique, après le Roi Nectanébo II le pays retomba sous la domination étrangère de la deuxième période Perse Achéménide. Le Roi Perse Artaxerxès III Okhos écrasa Nectanébo II en 342 et fit, non sans difficulté, de l’Égypte une satrapie. Plus tard, les Perses chassés, Sebennytos garda une certaine importance, et ce jusqu’au milieu de la période Ptolémaïque (305-30). Puis la négligence des Rois à entretenir les canaux provoqua l’élévation du sol alluvial et l’envasement de la branche du Nil qui baignait Sebennytos. Privée de ses activités commerciales, la cité déclina doucement et disparut pratiquement.

 

L’archéologie sur le site

 
   Il ne reste aujourd’hui pratiquement aucune trace de la cité, seuls, quelques blocs de granit dispersés sur le site, inscrits avec les noms, entre autres, de Nectanébo II (360-342). Une grande partie du site fut condamné par la ville moderne. Henri Édouard Naville le visita en 1887 et publia une série de dessins illustrant quelques-uns des reliefs trouvés sur des blocs. Il découvrit une statue en granit noir figurant Osiris assis, sans doute mutilée à l’époque Chrétienne, qui confirme par son existence que le site à son époque était encore intéressant. La statue prenait place parmi les tables d’offrandes, naos, sarcophages et autres statues, trouvés en ce lieu et répartis dans divers musées dans le monde, comme les deux naos fragmentaires et probablement inachevés du temple qui furent enlevés au XIXe siècle et qui se trouve au musée du Caire. En 1998, une étude épigraphique du site, réalisée par Neal A.Spencer du British Museum, pour la Egypt Exploration Society, permit d’enregistrer et publier de nombreux vestiges fragmentaires.


 

Tête de statue de Nectanébo II –
Museum of Fine Arts – Boston

 
   Le peu de blocs décorés restants, ainsi que d’autres fragments architecturaux sont depuis peu exposés dans un musée en plein air sur le site, mis en place par le Conseil Suprême des antiquités. Un temple consacré au Dieu Onouris-Shou (ou Anhour-Shou), la divinité tutélaire de la ville, fils d’Atoum-Rê et à son épouse était par le passé érigé dans la cité. On a des preuves que ce temple, fut largement embelli à l’époque du Pharaon Nectanébo II (360-342). Il existait encore au XVe siècle et il fût démantelé ensuite. Lors de la XXXe dynastie (380-342) le temple avait atteint une échelle comparable à ceux d’autres sites contemporains. Il est d’ailleurs possible que les Rois de la XXXe dynastie soient enterrés dans l’enceinte du temple, mais jusqu’à présent, aucune enquête archéologique sur ces sépultures n’a été entreprise. Il n’en reste aujourd’hui qu’un ensemble épars de blocs de granit, de calcaire et de basalte comme seuls vestiges visibles pour marquer sa présence. Il est situé du côté Ouest de la ville moderne.
 
   Il comportait aussi des inscriptions datant de la période Grecque portant les noms de Philippe III Arrhidée (323-317), Alexandre IV Aigos (317-305) et Ptolémée II Philadelphe (280-272). Onouris-Shou fut identifié au Dieu Arès pendant la Période Ptolémaïque (305-30). Le culte d’Onouris est attesté dès l’ Ancien Empire (2647-2150), d’abord dans le nome Thinite près d’Abydos. Certains spécialistes avancent que quelques objets trouvés sur le site viennent plutôt des villes voisines, y compris une fausse porte datant de l’Ancien Empire, d’un autel du Roi Amenemhat I (1991-1962, XIIe dynastie), d’une statue datée de Psammétique I (664-610, XXVIe dynastie), d’un fragment de tombeau appartenant à Néphéritès I (ou Néfaaroud, 399-393, XXIXe dynastie) et d’une sculpture datant au règne de Nectanébo I (380-362, XXXe dynastie). Des futures fouilles organisée par la SEE et la SCA, vont on l’espère amener plus d’informations sur la fin des années de la période Ptolémaïque et permettre de découvrir d’autres artefacts de la ville et du temple.

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur la cité et ses monuments voir les ouvrages de :
 
Kamal Ahmed Bey :
Notes sur quelques localités de la Basse-Égypte, E. Bouillon, Paris, 1905.
Sébennytos et son temple, E.Bouillon, Paris, 1906.
Robert Steven Bianchi :
Sebennytos, Lexikon der Ägyptologie 37, Otto Harrassowitz, Wiesbaden, 1984.
Giuseppe Botti :
La deuxième trouvaille de Samanoud, Société royal d’archéologie, Alexandrie, 1898.
Ramadan El-Sayed :
Un Grand Prêtre de Sebennytos sous le règne de Psammétique I (statue Caire CG 657), pp : 53-59, BIFAO 81, Le Caire, Janvier 1981.
Olivier Perdu :
La Chefferie de Sebennytos de Piânkhy à Psammétique Ier, pp : 95-111, Revue d’Égyptologie 55, 2004 – Collège de France, Chaire de civilisation pharaonique, Paris, 2004.
Neal A.Spencer :
The temple of Onuris-Shu at Samanud, pp : 7-9, Egyptian Archeology 14, 1999.
The epigraphic survey of Samanud, pp : 55-83, JEA 85, London, 1999.
Samanud : The urban context, pp : 23-31, JEA 87, London, 2001.
Georg Steindorff, Emma J.Edelstein et Dorothy Kent Hill :
Reliefs from the temples of Sebennytos and Iseion in American collections, The Journal of the Walters Art Gallery 7, Baltimore, 1944.

 

 

Xoïs  ou  Khasout

 

   Xoïs (En Grec : Ξόις, en Égyptien : Khasout ou Khasouou ou Chasut ou Chaset, en Copte : Xeos, en arabe : Sakha) fut une ville de Basse-Égypte dans le Delta septentrional. Elle appartenait au 12e nome de Basse-Égypte, le nome "Du veau divin" (kA iw) ou nome Sebennytique. Elle fut plus tard la capitale de son propre nome (le nome Xoite), le 6e nome de Basse-Égypte, le nome "Du Taureau montagnard" ou "Taureau du désert" (kA Dw). Elle est identifiée aujourd’hui à la ville de Sakha (ou Sakkra). Ce fut Jean-François Champollion qui le premier identifia les vestiges de Xoïs à cet endroit, quatre kilomètres au Sud de Kafr el-Cheikh. La ville était construite sur une île formée par les branches Sebennytique et Phatnitique (ou Phatmétique de l’Égyptien patmeti "celui du milieu") du Nil.
 
   Elle fut décrite par de nombreux auteurs anciens dont Strabon (Géographe Grec, v.63 av.J.C-v.23 ap.J.C), qui nous dit : "À l’intérieur des terres, en amont des bouches Sebennytique et Phatnitique, se trouve Xoïs, île et ville à la fois". La route commerciale de Tamiathis (ou Damiette) à Memphis traversait Xoïs. La divinité tutélaire de la ville fut le Dieu qui devint au Moyen Empire (1549-1080), Amon-Rê. À la Période Ptolémaïque (305-30) on y vénérait aussi une triade composée d’Amon-Rê, de Khonsou et de Mout. La Déesse Hathor fut également célébrée à Xoïs, mais dans une moindre importance.

 

L’histoire…

 
   Khasout (ou Xoïs) fut mentionnée pour la première fois sous le règne du Roi Snéfrou (2575-2551), premier souverain de la IVe dynastie (2575/3 à 2465), comme une ville appartenant au 12e nome de Basse-Égypte, sur une liste d’un haut fonctionnaire du nom de Metjen (ou Metje). Jusqu’au Moyen Empire (2022-1650) la cité semble avoir été de faible importance. Ce fut, selon Manéthon, durant la XIVe dynastie (1785?-1649 ?) que Khasout monta en puissance, devenant la résidence d’un royaume indépendant.
 

   Pour la majorité des spécialistes, la XIIIe dynastie (v.1783-v.1625) et la XIVe dynastie (v.1785 et v.1705-1650/1649 ?) prennent leur source pendant le règne d’Amenemhat IV (1797-1787, XIIe dynastie). Le fait que le successeur immédiat de ce dernier ne fut pas un de ses deux fils, mais son épouse, la Reine Sobeknéferourê (1787-1783), une fille d’Amenemhat III (1843-1797) provoqua des troubles à la fin de la dynastie. Les fils d’Amenemhat IV vont finir par succéder à leur belle-mère Sobeknéferourê en fondant la XIIIe dynastie. Ils ne statuèrent uniquement que sur la vallée du Nil qui s’étend de Memphis à Éléphantine, car dans le même temps, un potentat local dans le Delta du Nil, peut-être d’origine étrangère, devint de plus en plus puissant et fonda la XIVe dynastie en usurpant le trône. Il régna depuis la ville d’Avaris (Hout-Ouaret = Le château du terrain en pente), au Nord-est du Delta, qui fut un port fluvial contrôlant la voie de passage vers l’Asie et en particulier vers Byblos et les cotes de Phénicie.

 

   Il fut suivi par une longue liste de Rois, qui règneront parallèlement à ceux de la XIIIe dynastie et dont le pouvoir ne semble jamais avoir dépassé la Basse-Égypte. Plus de soixante-dix noms de Roi sont recensés, dont certains sont fictifs. Les cinq premiers noms (surtout le premier) de la dynastie sont très disputés par les spécialistes et il est difficile d’en sortir une majorité. Puis, probablement sous le règne de Sobekhotep IV (1712-1701) de la XIIIe dynastie, une scission se produisit dans la XIVe dynastie suite à des révoltes dans le Delta. Se côtoyèrent alors deux monarchies qui régnèrent en partie parallèlement aux derniers Rois de la XIIIe dynastie. Cette deuxième branche dynastique prit pour capitale Xoïs et contrôla la partie Ouest du Delta. On ne sait pratiquement rien de ses souverains qui, selon quelques spécialistes, furent peut-être d’origine Cananéenne. Les Rois de cette branche nous sont pour certains inconnus.

 
   Ils précédèrent la période des Hyksôs (v.1663-1530, XVe dynastie), mais il est pour certains égyptologues fort probable que de part sa position forte dans les marais, fermée par les branches d’intersection de la rivière, Khasout se soit maintenue et est résistée un temps au cours de l’occupation du Delta par ceux-ci. Il est aussi avancé que, de ce fait, les derniers Rois de la XIVe dynastie auraient passé un compromis avec les envahisseurs, peut-être en leur payant également un tribut. Pendant qu’ils régnaient sur le Delta, une autre famille ( XVIIe dynastie, 1625-1549) régnait sur la Haute-Égypte avec Thèbes pour capitale, elle allait reconquérir le pays. Au Nouvel Empire (1549-1080) Khasout perdit son statut de capitale.
 
   Les mythes Égyptiens, qui en firent "La place des royaumes de " se référaient peut-être à son passé. La ville connut une nouvelle forte expansion à l’époque Gréco-romaine où elle prit le nom, donné par les Grecs, de Xoïs et devint la capitale du 6e nome de Basse-Égypte. Il ne reste aujourd’hui des établissements Ptolémaïques et Romains de cette période pratiquement plus aucuns vestiges, sauf un Sphinx, un chapiteau Gréco-romain et quelques colonnes dans la cour d’une église. Le Sphinx se trouve aujourd’hui sur une place située près de l’emplacement où fut construite l’église de la Vierge.

 

Bibliographie

 
   Pour d’autres détails sur la cité et ses monuments voir les ouvrages de :
 
Aristide Calderini :
Xois, Dizionario dei nomi geografici e topografici dell’Egitto Greco-Romano, Le Caire, Madrid, Milano, 1935 et 1987.
Jean-François Champollion :
L’Égypte sous les Pharaons : Ou, Recherches sur la géographie, la religion, la langue, les écritures et l’histoire de l’Égypte avant l’invasion de Cambyse, J.H. Peyronard, Grenoble, 1811 – Bure frères, Paris, 1814.
Pascal Vernus :
Le nom Xoïs, pp : 27-40, BIFAO 73, Le Caire, Janvier 1973.

 

 

Pour voir correctement les translittérations des noms en Égyptien,
vous pouvez télécharger et installer la police de caractère jointe.
Copyright © Antikforever.com
Pour voir correctement les traductions des noms en Grec ancien,
vous pouvez télécharger et installer la police de caractère jointe.