AGUM ou Agum Kakrime ou
Ag-gu-um ou A-gu-um ŠI ou Agum Maḫrû
ou ša A-gu-um ra-bi-i ou Agum râbi, Nom de 3 Rois de Mari. AGUM I Roi
de Mari et Roi du Hana de la dynastie Kassite de 1726 à 1715 av.J.C, fils de
Gandash, son fils Kashtiliash I lui succéda. AGUM II Roi de Mari,
Roi d’Hana et Roi de Babylone de la dynastie Kassite de 1598 à 1578 ou 1592 à 1565 ou 1570 à 1521
ou 1535 à 1510 av.J.C. La date et les conditions exactes de sa prise de pouvoir nous sont
inconnues. Il faut noter que certains spécialistes avancent qu’il fut le 8e ou
9e Roi de cette dynastie. Il fut le fils d’Our-Zigurumash (ou Urzigurumash ou UR-ši-gu-ru-maš ou Urzigurumaš ou Tazzigurumash).
Il eut un enfant Burnaburiash I (ou Burna-Buriash ou Bournabouriash, 1521-1502) qui lui succéda. (Voir
Mésopotamie,
Kassites,
Agum II).
AGUM III Roi de Mari, d’Hana et de Babylone de la dynastie Kassite vers 1425 av.J.C,
fils de Kashtiliash III.
AHA ou Horus Aha ou Athothis
Pharaon de la Ière
dynastie de vers 2995 à 2974 av.J.C. (Voir
Égypte).
AHANKH Voir ANTEF.
AHAZ Voir ACHAZ.
AHAZIAH Voir ACHAZIA.
Ahhiyawa ou Ahhiya C’est un royaume qui apparaît uniquement dans les archives
Hittites, à partir de 1350 av.J.C. Sa localisation n’est pas encore établie
car le débat est centré sur le fait que l’on pourrait y voir une mention des
Achéens. Cette approche est axée sur la traduction, dans un texte Hittite du
mot Ahhiyawa, désignant un royaume situé vers l’Anatolie occidentale ou
la mer Égée. De nombreux spécialistes rapprochent ce mot de ceux d’Achaiwia
et d’Achaia, désignant les Achéens. L’hypothèse Ahhiyawa = Achéens
est cependant contestée par d’autres qui
situent le royaume en Thrace, à Rhodes ou à Chypre, arguant sur le fait que
rien ne montre aujourd’hui que la civilisation Mycénienne ait été en contact
avec celles des Hittites. Il n’en reste pas moins que si les Ahhiyawa ne sont
pas les Achéens, il faut imaginer l’existence dans une région identique de
deux peuples portant un nom sensiblement différent, l’un attesté uniquement
par l’archéologie et la tradition homérique et l’autre attesté uniquement par
les textes de l’époque. La première mention de ce royaume remonte au règne du
Roi hittite Tudhaliya I (v.1430-v.1420). Plus tard, ce fut Moursil II (1321-1295) qui
combattit contre un "Roi" d’Ahhiyawa qui s’allia à l’Arzawa contre
lui. La coalition fut défaite, mais le pays d’Ahhiyawa ne fut pas mentionné
dans les territoire soumis, contrairement à son allié. Le royaume d’Ahhiyawa
connut son apogée durant le règne d’Hattousili III (1264-1234). L’Empereur
Hittite Tudhaliya IV (1234-1215) réussira à mettre de son côté le royaume
d’Ahhiyawa. Après cette dernière relation entre l’Ahhiyawa et les Hittites,
plus rien dans les sources de ce pays ne mentionna ce peuple et son royaume, les
royaume hittite s’effondrant quelques années plus tard.
AHHOTEP
ou Ahotep
Voir
IÂh-Hotep.
AHIRAM
Roi de Byblos vers 1020 av.J.C.
Il eut un enfant Ithobaal qui lui succéda.
Il est surtout connu par son sarcophage.
C’est l’un des plus anciens et des plus célèbres sarcophages Phéniciens. La boîte
rectangulaire avec son couvercle en forme de dôme est soutenue par quatre lions rampants prêts à bondir.
Les parois latérales sont décorées de scènes différentes. Sur les deux côtés, des longs cortèges sont présentés, dont l’un
avec un sphinx ailé. Les faces avant et arrière portent des personnages féminins dans le deuil.
Le tout devait être richement peint car des traces de peinture originale de grande facture sont encore partiellement visibles.
Le site nous donne un aperçu des différentes influences que va connaître la cité. Le style
Phénicien de cette période se caractérise par la fusion des styles Égyptien et Syrien.
La forme du sarcophage est de modèle Égyptien.
Sur le sarcophage figure également un texte de 38 mots qui est la plus ancienne
inscription Phénicienne trouvée à ce jour.
AHMÈS – JaH ms –
"Le Dieu lune (Iâh) l’a engendré" Reine d’Égypte de la XVIIIe dynastie. Elle fut la fille
d’Amenhotep I (1525-1504), ce dernier n’eut pas de fils légitime, les droits dynastiques passèrent alors à sa fille,
Ahmès qui épousa Thoutmôsis I (1504-1492) et lui légua les prérogatives du
pouvoir. Elle eut deux filles dont la Reine Hatchepsout (1479-1457). (Voir
Égypte,
les Reines,
Ahmès).
AHMÈS I ou Ahmosé ou Ahmosis Nebpehtyrê Pharaon de la
XVIIIe dynastie. De 1549 à 1525 av.J.C. (Voir
Égypte).
AHMOSÉ-ÂNKH ou Ahmosé-Ânkh
– JaH ms anx – Prince
des débuts de la XVIIIe dynastie. Il fut le fils du Roi Ahmès I (ou Ahmôsis I, 1549-1525)
et probablement de la Reine Ahmès-Néfertari. On ignore tout de lui. Il n’est représenté que sur
un des blocs de Karnak, actuellement au musée de Louxor, en tant qu’aîné des
fils et Prince héritier, au côté de ses parents, sur la stèle de la donation. Il
mourut semble t-il jeune avant son père. Selon certains spécialistes, il ne
serait qu’un seul et même personnage avec Ahmès-Sipair (ou Ahmosé-Sipair ou Ahmosé Sapaïr),
probablement le fils du Roi Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554) et de la Reine Iâh-Hotep I
(ou Ahhotep I), dont une statue se trouve aujourd’hui conservée au Musée du Louvre.
AHMÈS-HÉNOUTEMIPET ou Ahmosé-Henutemipet ou Ahmes Henutempet
– JaH ms Hnw.tmipt –
Princesse de la fin du XVIIe dynastie. Elle fut une fille du Roi Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554) et de la Reine,
selon les spécialistes, soit : Iâh-Hotep I (ou Ahhotep I), soit Satdjéhouti (ou Sathedjhotep).
Elle fut la sœur (ou la demi-sœur) d’Ahmès I (ou Ahmosé ou Ahmosis, 1549-1525), premier Roi de la
XVIIIe dynastie. Elle portait les titres :
Fille du Roi (s3T-nswt) et
Sœur du Roi (snt-nswt). Sa momie a
été retrouvée dans la cachette de la tombe DB320 de Deir el-Bahari découverte en
1881 et est maintenant au Musée Égyptien au Caire. Elle a été examiné par
Grafton Elliot Smith en Juin 1909. Hénoutemipet est morte sûrement âgée car elle
avait les cheveux gris et les dents usées. Sa momie est très endommagée,
probablement du fait des pilleurs de tombe. Il est probable que la momie a été
déplacée à DB320 après l’an 11 du Pharaon Sheshonq I.
AHMÈS-HÉNOUTTAMEHOU ou Ahmès-Hénouttimehou ou Ahmosé-Henuttamehu –
JaH ms Hnw.t-tA-mHw –
"Le Dieu lune (Iâh) l’a engendré, Maîtresse [Souveraine] de la Basse-Égypte"
Princesse de la fin du XVIIe dynastie. Elle fut une fille du Roi Séqénenrê
(ou Taâ II, 1558-1554) et de la Reine Ahmès-Inhâpy (ou Ahmose-Inhapi). Sa momie
se trouvait dans la cachette de la tombe DB320 de Deir el-Bahari découverte en 1881
dans son propre cercueil. Elle est aujourd’hui au musée Égyptien au Caire. Elle fut examinée par Gaston
Maspero en Décembre 1882. Hénouttamehou était une femme âgée lorsqu’elle est morte, avec les dents usées.
Elle portait les titres :
Fille du Roi (s3T-nswt;
Sœur du Roi (snt-nswt) et
Épouse du Roi (hmt-nswt),
ce qui laisse penser certains spécialistes, dont Aidan Marc Dodson qu’elle fut une des épouses de son
demi-frère, Ahmès I (ou Ahmosé ou Ahmosis, 1549-1525), premier Roi de la XVIIIe dynastie. (Voir
Égypte,
les Reines,
Ahmès-Hénouttamehou).
AHMÈS-INHÂPY ou Ahmosé-Inhapi –
JaH ms JnHapj Reine de Thèbes sous la XVIIe dynastie. Elle fut la
fille de Sénakhtenrê (ou Taâ I, 1559-1558) et très probablement de la Reine Tétishery.
Elle fut donc la demi-sœur et l’épouse du Roi de Thèbes Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554).
Elle est mentionnée dans une copie du Livre des Morts possédée par sa fille et dans le tombeau
d’Amenemhat (TT53), Intendant du Temple d’Amon. Sa tombe (QV47) se trouve dans la vallée
des Reines, mais sa momie fut retrouvée dans la cachette de la cachette de la tombe
DB320 de Deir el-Bahari, découverte en 1881 et se trouve aujourd’hui exposée au
musée Égyptien du Caire.
Beaucoup de scientifiques partagent l’hypothèse d’Herbert Eustis Winlock et lui
attribuent aussi la tombe DB320. Ahmès-Inhâpy portait les titres :
Fille du Roi (s3T-nswt) et
Épouse du Roi (hmt-nswt). (Voir
Égypte,
les Reines,
Ahmès-Inhâpy).
AHMÈS-MÉRITAMON ou Ahmosé-Meritamon –
JaH ms Mrjt Jmn – "Le Dieu lune (Iâh) l’a engendré,
bien-aimée d’Amon" Nom d’1 Reine et d’une Princesse d’Égypte.
AHMÈS-MÉRITAMON Elle fut une Reine d’Égypte de la XVIIIe
dynastie. Elle fut la fille de Ahmès I (ou Ahmosis,
1549-1525/24) et de la Reine Ahmès-Néfertari I. Elle fut l’une des épouses de son frère
Amenhotep I (ou Aménophis I, 1525/24-1504) dont
elle sera la Grande Épouse Royale. (Voir
Égypte,
les Reines,
Ahmès-Méritamon).
AHMÈS-MÉRITAMON Princesse de la fin du XVIIe dynastie.
Elle fut probablement une fille du Roi Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554)
mais on ne connait pas sa mère. Elle fut la demi-sœur (ou sœur) d’Ahmès I (ou Ahmosis I ou Ahmose I).
Ses titres furent: Fille du Roi (sAT-nswt) ;
Sœur du Roi (snt-nswt).
Elle ne doit pas être confondue avec sa nièce Ahmès-Méritamon, qui devint l’épouse d’Amenhotep I
(ou Aménophis I, 1525/24-1504). Sa momie se trouvait dans la cachette de la tombe DB320
de Deir el-Bahari découverte en 1881. La momie est très endommagée et il manque les bras.
Elle était âgée à l’heure de sa mort.
AHMÈS-NEBATTA ou Ahmosé-Nebetta ou Ahmes-Nebta
– JaH ms Nbta –
"Le Dieu lune (Iâh) l’a engendré, Dame de la Terre". Princesse de la fin du XVIIe dynastie.
Elle fut probablement une fille du Roi Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554) et de
la Reine Iâh-Hotep I (ou Ahhotep I). Elle fut la sœur d’Ahmès I
(ou Ahmosé ou Ahmosis, 1549-1525) premier Roi de la XVIIIe dynastie.
Joyce Anne Tyldesley pense qu’elle put être une épouse secondaire d’Ahmès I.
Elle est nommée sur une statue du Prince Ahmosé-Sipair aujourd’hui au Musée du Louvre (E 15682).
Les filles de Iâh-Hotep I (ou Ahhotep I) eurent toutes des noms commençant par Ahmès,
d’où une confusion pendant un certain temps. Quelques spécialistes, dont Michel Gitton, pensent qu’une
statue d’une Princesse au musée du Louvre (N 496) identifiée en tant que fille du Roi,
sœur du Roi et fille de la Reine Iâh-Hotep I peut semble t-il lui être attribuée.
Ahmès-Nebetta est représentée dans le tombeau à Deir el-Médineh d’Inherkhâou (TT359),
Contremaître du Seigneur des Deux Terres de la Place de Vérité, qui date de
la XXe dynastie. Elle est indiquée dans la rangée du haut derrière Ahmès-Toumerisi (ou Ahmosé-Tumerisy),
sa sœur et en face de son frère, Ahmès-Sipair (ou Ahmosé-Sipair ou Ahmosis Sapair). Elle porta les titres de :
Fille du Roi (sAT-nswt) ;
Sœur du Roi (snt-nswt).
AHMÈS-NÉFERTARI I ou Ahmosé-Nefertari –
JaHms Nfr trj –
“Le Dieu lune (Iâh) l’a engendré, La plus belle de toutes”
Reine d’Égypte de la XVIIIe dynastie. Elle fut la demi-sœur et l’épouse du
Roi Ahmès I (ou Ahmosis, 1549-1525/24) premier Roi de la XVIIIe dynastie, elle lui survécut
et passa aussi tout le règne de son fils Amenhotep I. Certains spécialistes pensent qu’elle exerça une sorte de
"corégence" tant son implication et association au pouvoir avec son
époux fut importante. Elle fut la première Reine à exercer la fonction sacerdotale
"d’Épouse du Dieu". Son tombeau se trouve au Nord de Deir
el-Bahari. Elle serait décédée à l’âge de cinquante ans, sa momie se
trouvait dans la cachette (Tombe DB320) de Deir el-Bahari découverte en 1881. (Voir
Égypte,
les Reines,
Ahmès-Néfertari I).
AHMÈS PENNEKHBET ou Ahmosé Pen-Nekhbet
Ce fut un haut fonctionnaire Égyptien qui débuta sa
carrière sous le Roi Ahmès I (ou Ahmosis, 1549-1525/24)
et servi tous les Rois jusqu’à Thoutmôsis III (1479-1425).
Ses inscriptions autobiographique sont très importantes pour la compréhension de
l’histoire du début du Nouvel Empire, bien que moins détaillées que celles de
son contemporain Ahmosé, fils de Ebana. Il a combattu dans le Nord de Canaan
avec le Roi Ahmès I (ou Ahmôsis, 1549-1525/24), il suivit Amenhotep I (ou
Aménophis, 1525/24-1504) en Nubie, accompagna Thoutmôsis I (1504-1492) à
Naharin et fit campagne avec Thoutmôsis II (1492-1479)
dans le Sinaï. Il occupa de nombreux postes tels
que le porteur du sceau royal, trésorier. Son autobiographie se termine par
l’affirmation selon laquelle il aurait été le tuteur de Néferourê, fla fille de
la Reine Hatchepsout (1479-1457).
AHMÈS-SAT-AMON Voir SITAMON.
AHMÈS-SATKAMOSÉ ou Sitkamose ou Satkamès
ou Ahmose-Satkamose – JaH
ms sAt kA ms – “Le Dieu Lune (Iâh) l’a engendré, Fille de Kamose” Reine d’Égypte
de la XVIIIe dynastie. Il y a toujours controverses entre les historiens sur
cette Reine. Il est généralement admis aujourd’hui qu’elle fut une des épouses du Roi Ahmès I
(ou Ahmosis, 1549-1525/24), premier Roi de la XVIIIe dynastie, qui serait son oncle, ou son cousin,
car comme le précise Michel Gitton, sur la base de ses titres,
elle est susceptible d’avoir été la fille du Roi Kamosé (ou Kamosis, 1553-1549).
Cet position est partagée par de nombreux spécialistes, comme Aidan Marc Dodson et Dyan Hilton.
Il n’y a pas d’enfant connu de cette union. (Voir
Égypte,
Les Reines,
Ahmès-Satkamosé).
AHMÈS-SIPAIR ou Ahmosé-Sipair ou Ahmose-Sapair
– JaHms SApAr – Nom de deux (ou un) Prince d’Égypte.
AHMÈS-SIPAIR Prince de la XVIIe dynastie. Il fut
probablement le fils du Roi Séqénenrê (ou Taâ II, 1558-1554) et de la Reine Iâh-Hotep I
(ou Ahhotep I). Une statue de ce Prince est conservée
au Musée du Louvre. Les inscriptions qui y figurent forment une demande de la
part de sa famille, pour une aide dans l’au-delà. Ce type de coutume privée (les lettres aux morts)
est rare dans la statuaire royale et atteste d’un culte
populaire du Prince Ahmès, bientôt surnommé Sipaïr, dans la région Thébaine. Il
mourut avant son père, auquel succéda le Roi Kamosé. La localisation de sa tombe
est inconnue, mais elle était toujours connue durant l’inspection des tombes,
sous la XXe dynastie mentionnée sur le papyrus Abbott. Son corps fut
ultérieurement déplacé dans la cachette de la tombe DB320 de Deir el-Bahari.
Selon certains spécialistes, il ne serait qu’un seul et même personnage avec un
autre Prince, Ahmosé-Ânkh, ayant vécu à la génération suivante et représenté
enfant sur un bloc de Karnak, en tant que Prince héritier, au côté de sa mère
Ahmès-Néfertari, qui y reçoit la fonction d’Épouse du Dieu.
Ahmosé-Sipair est représenté dans le tombeau à Deir el-Médineh d’Inherkhâou (TT359),
“Contremaître du Seigneur des Deux Terres de la Place de Vérité”, qui date de la XXe dynastie.
Il est indiquée dans la rangée du haut en face de ses sœurs Ahmès-Nebetta (ou Ahmosé-Nebetta)
et Ahmès-Toumerisi (ou Ahmosé-Tumerisi). AHMÈS-SIPAIR Prince de
la XVIIe dynastie. Il fut probablement le fils du Roi Ahmès I (1549-1525/24) et
peut-être de la Reine Ahmès-Néfertari I. Cependant il y a peut-être confusion avec le Ahmès ci dessus.
Ce prince est aussi souvent confondu avec un autre enfant d’Ahmès I, Ahmès-Ânkh.
AHMÈS-SITAMON Voir SITAMON.
AHMÈS-TOUMERISI ou Ahmosé-Tumerisy
– JaHms Twmrisj –
Princesse de la fin du XVIIe dynastie. Elle fut probablement une fille du Roi Séqénenrê
(ou Taâ II, 1558-1554) et de la Reine Iâh-Hotep I (ou Ahhotep I).
Elle fut la sœur d’Ahmès I (ou Ahmosis I ou Ahmose I). Elle porta les titres de :
Fille du Roi (s3T-nswt) ;
Sœur du Roi (snt-nswt). Son nom est connu de son
cercueil, qui est maintenant dans le musée de l’Ermitage. Sa momie a été retrouvée dans la fosse
MMA 1019 à Sheikh Abd el-Gourna (ou Cheikh Abd el-Gurna). Ahmès-Toumerisi est représentée dans le
tombeau à Deir el-Médineh d’Inherkhâou (TT359), "Contremaître du Seigneur des Deux Terres de
la Place de Vérité", sous les règnes de Ramsès III (1184-1153) et
Ramsès IV (1153-1147). Elle est indiquée dans la rangée du haut devant
Ahmès-Nebetta (ou Ahmosé-Nebetta), sa sœur et en face de son frère, Ahmès-Sipair
(ou Ahmosé-Sipair ou Ahmosis Sapair).
AHMOSÉ-ÂNKH Voir AHMES-ÂNKH.
AHMOSÉ PEN-NEKHBET Voir AHMÈS PENNEKHBET.
AHMOSÉ-SIPAIR Voir AHMÈS-SIPAIR.
AHMOSÉ-SITAMON Voir SITAMON.
AÏGAÏ
Une des deux capitales de Macédoine. (Voir
Grèce,
Aïgaï).
AÏ KHANOUM Ancienne vile de Bactriane qui
est située au Nord de l’Afghanistan, au confluent
des rivières Kokcha et de l’Amou-Daria. Elle a été édifiée entre la fin du IVe
siècle et le milieu du IIe siècle. Le site a été fouillé, entre 1965 et 1978,
par une mission Française menée par Paul Bernard. Les fouilles ont permis de
mettre à jour : Un ensemble palatial monumental de 250 m x 350 m. (Voir
Perse,
Bactriane,
Aï Khanoum).
AITAKAMA Voir ETAKKAMA.
AISKHINÊS voir ESCHINE.
AKA Voir AGGA.
A-KALAM-DUG ou Akalamdug Roi d’Ur
de vers 2590 à vers 2570 ou vers 2600 à vers 2580 av.J.C.
Son nom, en Sumérien, signifie “Le Père du bon Pays”. Quelques spécialistes le
donnent comme le fils de Mesh-Kalam-Dug, son successeur. Il ne figure pas sur la
Liste Royale Sumérienne, mais il porte le titre de Lougal, comme son père. Il
épousa Ashusikidingira (ou Ašusikildigira) comme nous le précise un sceau retrouvé
dans sa tombe. Comme nous le précisent Jean-Robert Kupper et Edmond Sollberger,
son tombeaux (1054), celui de son épouse et de Mesh-Kalam-Dug, son successeur,
ainsi que de sa cour qui l’avait accompagné dans sa mort, ont été retrouvés dans
la nécropole royal entouré d’un trésor. Il contenait de nombreux objets façonnés en or.
AKAMANISH ou Hakhamanich
Nom du clan Perse d’où est issue la famille des Achéménides.
AKAY Roi de Byblos de vers 1670 à
vers 1650 av.J.C. Son nom n’est connu que par une stèle dans la cité.
AKERY Roi de Byblos de vers 1690 à vers 1670 av.J.C.
Il est est appelé sur une stèle, fils de Abishemou II.
AKHÉNATON Voir
AMENHOTEP IV.
AKHÉTATON Voir AMARNA.
AKHET ou Akhit Dans
l’Égypte antique, ce fut le nom qui désignait la première saison du
calendrier nilotique (Basé sur la crue du Nil). Cette saison correspondait à
la période des crues (l’Automne). Elle était composée des mois : Thot,
Phaôphi, Athyr et Khoiak.
AKHMÎM (en arabe اخميم)
C’est une ville de Haute-Égypte, située sur la rive droite du
Nil en face de Sohag, à 130 kilomètres au Sud d’Assiout. L’antique
cité d’Akhmîm, connue sous le nom d’Ipou ou Khent-Menou sur les
listes géographiques Égyptiennes, était le chef-lieu du IXe nome
de Haute-Égypte, le nome de Min (ou le foudre de Min –
mnw).
À l’époque Gréco-romaine, son nom était Panopolis, la cité de
Pan, car on y vénérait le Dieu Min sous sa forme ithyphallique,
que les Grecs assimilaient à leur Dieu Pan. Avec Coptos, Akhmîm
était l’un des points de départ des expéditions minières vers le
désert oriental. Outre le Dieu de la fertilité Min, patron des
caravaniers, une Déesse locale, Aprit-Isis ou Triphis, y était
adorée en tant que souveraine de Panopolis et mère d’Horus
l’enfant. Ce fut la ville de naissance du Pharaon Aÿ II (1327-1323).
Les archéologues ont découvert récemment à la périphérie d’Akhmîm une statue
colossale de 11 m. représentant Méritamon (Appelée aussi la
Reine blanche), fille et Grande Épouse Royale de Ramsès II
(1379-1213) après la mort de Néfertari. Il se peut qu’elle fut
Prêtresse au sanctuaire rupestre de Min construit par Thoutmôsis III (1479-1425)
et remanié par Aÿ II.
AKINEAM Voir ACHINOAM.
AKIYA ou Akkia ou Akaia
3e Roi d’Assur de la IIIe dynastie de 2041 à 2021 ou vers 1985 à vers 1970 ou 1977 à 1957 av.J.C.
Il fut sûrement le fils de Kikkiya.
AKKAD ou Agade
Empire sémitique vers 2330 à 2150, qui borde le Sumer en
Mésopotamie centrale, entre le Tigre et l’Euphrate. Sargon le Grand d’Akkad
conquit la Mésopotamie, les Sumers, une grande
partie de la Syrie, et l’Élam. Il fonda une nouvelle ville, Agade, qui devint
la capitale. Les habitants d’Akkad parlaient une langue sémitique appelée
aujourd’hui Akkadien, les signes cunéiformes Sumériens furent adaptés à l’Akkadien.
L’empire fut soumit à des tensions internes et vers 2150, il passa aux mains
des Goutis. (Voir
Mésopotamie,
Akkad).
AKKAD ou Agade Cité-état de Basse
Mésopotamie. Elle fut fondé par Sargon l’Ancien (2334-2279),
mais la ville existait déjà avant que Sargon n’en fasse la capitale de
l’Empire d’Akkad. Son site n’a toujours pas été retrouvée et sa localisation
exacte reste inconnue. Certains spécialistes la situe près de Kish. Sargon y
construisit un port fluvial, un palais royal et de nombreux temples. Le
principal, accompagné d’un ziggourat, fut consacré à la Déesse protectrice
de la dynastie, Ishtar. La ville restera la capitale jusqu’à son effondrement
au début du XIIe siècle où elle fut prise et pillée par les Goutis. Elle
trouvera une certaine renaissance sous la IIIe dynastie d’Ur, un gouverneur y
résidant. Elle fut ensuite incorporée au royaume de Babylone ou un des Rois
Kurigalzu II (1345-1324) entreprit de grand travaux. Au XIIe siècle, elle fut pillée
par les Élamites. Plus tard elle fut de nouveau embellit par l’Empereur d’Assyrie
Assarhaddon (681-669). (voir
Mésopotamie,
Akkad).
AKKO ou Akka Voir ACRE.
AKSOUM Ville d’Éthiopie sur le Tigré qui prit son indépendance entre 54
et 68 ap.J.C, les légions Romaines furent envoyées contre le royaume d’Aksoum
(Éthiopie). Elle devint un royaume fleurissant de fin du Ier et au IIe siècle
ap.J.C. Au IVe siècle, sous le Roi Ezana (329-330), les Aksoumites
détruisirent le royaume de Méroé (Kouch) et se convertirent au Christianisme.
AKURGAL ou Aja-kurgal ou Ajakurgal Roi de Lagash de vers 2490 ou vers 2465 à
vers 2455 ou vers 2450 av.J.C. Il fut le fils d’Our-Nanshe, ses
fils E-Anna-Tum et En-Anna-Tum I lui succédèrent.
ALABANDA ou Antioche des Chrysaoriens ou
hê Alabanda ou ta Alabanda ou Alabandeus
ou Alabandensis ou Alabandenus (En Grec :
‘Aλάβανδα) Cité Grecque de Carie dont le site est
situé à environ 8 km à l’Ouest de la ville actuelle de Çine, dans la province de Aydın, à
proximité de l’actuelle Doğanyurt (ou Araphisar), en Turquie. La ville, au Nord-ouest de
Milet près du méandre, fut de par sa position, riche et commerçante. Elle fut construite
sur un épaulement rocheux entre deux collines. La zone était connue pour son marbre noir
et ses pierres ressemblant au grenat. (Voir
Asie Mineure,
La Carie,
Alabanda).
ALAINS Peuple de barbares d’origine Iranienne, établit entre la mer
d’Azov et le Caucase. Poussés par les Huns ils pénétrèrent dans l’empire
Romain, puis envahirent la Gaule en 406 ap.J.C, où un groupe s’installa dans
la région de la Loire, un autre groupe entré en Espagne fut anéanti par les
Wisigoths.
ALALAH ou Alalakh ou Alakhtum ou Mukish ou
Tell Açana Ancienne ville Amorrite près de Tell Atchana Antakya, dans le Sandjak
d’Alexandrette (L’antique Antioche, Turquie aujourd’hui). Elle
fut la capitale du petit royaume de Mukish (ou Mukesh). Elle était située dans la plaine de la rivière
Amuq, au Nord du coude formé par l’Oronte. Elle n’est aujourd’hui plus qu’un vaste monticule.
À partir du Roi Ilim-Ilimma I (v.1530-v.1490 av.J.C), fut vassale de la ville d’Alep. (Voir
Syrie-Palestine,
Alalah).
ALARA Roi de Napata de 775 à 760 av.J.C. Il épousa Kasaqa. Sa
fille Tabiri épousa son cousin le Roi Piânkhy (ou Piye, 747-716). (Voir
Égypte).
ALARIC Roi des Suèves jusqu’à 409 ap.J.C. Fils de Hunimond
à qui il succéda.
ALARIC Nom de 2 Rois des Wisigoths. ALARIC I
Roi des Wisigoths de 396 à 410 ap.J.C. Fils d’Athanaric,
il ravagea la Thrace, la Grèce, l’Italie et pilla Rome en 410. Il épousa la
fille d’Athaulf qui lui succéda et eut un enfant, Wallia (Roi 415-418).
ALARIC II Roi des Wisigoths de 484 à 507 ap.J.C, il succéda à son père Euric,
il fut tué à la bataille de Vouillé contre le Roi des Francs Clovis I. Il
épousa Theudigothe, fille du Roi des Ostrogoths Théodoric et eut trois
enfants : Geisalic et Amalric qui lui succédèrent et Eustère qui fut Reine d’Austrasie.
ALASIA ou Alasiya ou Alashiya Autre nom de Chypre.
ALBIA Domnica Impératrice
Romaine. Elle épousa l’Empereur Valens Flavius (364-378). Fille de Petronius.
Elle eut un enfant, Flavius Galatus mort en 372.
ALCAMÈNE ou Alcmene ou Alkamenes
(En Grec : ‘Aλκαμένης) Co-Roi de Sparte de la branche
des Agiades de 747 à v.700 ou de v.740 à v.700 av.J.C. Il fut le fils de Télècle (ou Téléclos) à
qui il succéda. Sous son règne, Pausanias (Géographe Grec, v.115-v.180) rapporte qu’un émissaire Spartiate
fut envoyé en Crète pour apaiser leurs querelles et leur conseilla de se concentrer sur la bande côtière.
Il semble qu’Alcamène fut un Roi particulièrement guerrier. Toujours selon Pausanias, il dirigea une
expédition contre la ville d’Amphéia (ou Ampheia) qui se rendit sans grande résistance et il détruisit la ville d’Hélos,
située près à l’embouchure de l’Eurotas, pendant la Première Guerre de Messénie (fin
du VIIIe siècle)
qui débutait et il serait mort au bout de la 4e année de son règne ?. La prise d’Hélos était importante
car c’était la dernière ville indépendante en Laconie peuplée d’Achéens. Ce serait de cette prise et de
l’asservissement de sa population que viendrait le terme hilote, idée largement contestée.
Jérôme de Stridon (ou Saint Jérôme ou Eusebius Sophronius Hieronymus Stridonensis, moine, traducteur
de la Bible, docteur de l’Église, v.347-420) lui donne un règne de 37 ans et les Excerpta Latina Barbari
(ou Extraits Latins d’un barbare, chronique universelle en Latin), 27 ans. Beaucoup de spécialistes penchent
aujourd’hui pour une durée totale de 46 années. Son fils Polydore lui succéda.
ALCANDRE
Roi des Molosses (Peuple d’Épire) au Ve siècle av.J.C. Fils de Mounichos.
ALCÉE (En Grec :
‘Aλκαῖος Alkaïos, en Latin : Alcaeus)
Ce fut un poète lyrique (v. 640 ou 630-v.580) qui naquit à Mytilène. Il fut inclus dans la liste
du Canon Alexandrin comme un des neuf poètes lyriques par les savants Hellénistiques d’Alexandrie.
Il appartint à une famille noble, les Archéanactides. Il fut contemporain de la poétesse Sappho,
pour laquelle il éprouvait un grand amour. (Voir
Asie Mineure,
Lesbos,
Alcée).
ALCÉTAS (En Grec : ‘Aλκέτας)
Nom de 2 Rois d’Épire. ALCÉTAS I
Roi d’Épire de 390 à 370 ou 385 à 370 av.J.C. Il naquit vers 410 et fut le fils et successeur de
Tharyps. Le début de son règne fut éclipsé par des guerres civiles dévastatrices pour les tribus
d’Épire dont certaines ne reconnaissaient pas sa légitimité. Selon Diodore de Sicile (Historien
Grec, v.90-v.30), pour une raison que l’on ignore, il fut expulsé de son royaume par ses sujets.
Il trouva alors refuge auprès du Tyran de Syracuse, Denys I l’Ancien (ou Dionysos, 405-367).
Il eut deux enfants, Néoptolème I et Amyntas I qui lui succédèrent. (Voir
Grèce,
Épire,
Alcétas I).
ALCÉTAS II Roi d’Épire de 313 à 307 av.J.C. Fils d’Arymbas (En qui avait été exilé par
leur père Arymbas et qui s’était toujours montré hostile à Cassandre de Macédoine. Lyciscos,
nommé par Cassandre au commandement militaire de l’Acarnanie, entra avec son armée en
Épire, afin de détrôner Alcétas II dont l’autorité n’était pas encore bien
affermie. Le Roi, de son côté, envoya ses deux fils, Alexandre (ou Alexandros)
et Teucros, dans tout le royaume afin de lever une grande armée. Quant à lui, il
partit à la tête de son armée et arrivé à peu de distance de l’ennemi, il
attendit le retour de ses fils. Mais, il fut attaqué par Lyciscos qui avait des
forces bien supérieures. (Voir
Grèce,
Épire,
Alcétas II).
ALCÉTAS
(En Grec : ‘Aλκέτας) Nom de 2 Rois de Macédoine.
ALCÉTAS I Roi de Macédoine de 576 à 567 ou 576 à 547 ou 570 à 540
ou 568 à 540 av.J.C. Il fut le fils d’Aéropos I à qui il succéda.
Selon Eusèbe de Césarée (ou Eusèbe Pamphile de Césarée, Prélat Grec, écrivain, théologien et
apologète Chrétien, v.265-v.340) il n’aurait régné que 18 ans à l’époque où Cyrus II (559-529)
était Roi des Perses. Selon les anciennes listes des Rois il eut un règne de 22 ans. Le peu
d’écrit que nous avons sur Alcétas I nous le décrit comme un dirigeant calme et stable, qui
chercha à préserver son royaume par des moyens pacifiques. Contrairement à ses prédécesseurs,
il ne s’engagea apparemment pas dans une guerre inutile en vue d’étendre les frontières de son
royaume. Son épouse est inconnue et son fils lui succéda. ALCÉTAS II Roi
de Macédoine en 413 av.J.C. Fils d’Alexandre I, il ne succéda que très peu de
temps a son frère Perdiccas II. Le fils de ce dernier Archélaos I monta sur le trône
en le faisant assassiner.
ALCIBIADE ou Alcibiades Nom de 2 Hommes d’État Athéniens.
ALCIBIADE l’Ancien
Oncle de Périclès et grand-père d’Alcibiade, il fut partisan de la paix
avec les Perses. ALCIBIADE ou Alkibiadês Kleiniou Scambônides
(En Grec : ‘Aλκιβιάδης
Κλεινίου
Σκαμβωνίδης, 450-404) Homme
d’État Athénien, chef du parti démocrate vers 420 av.J.C. Ses ambitions
politiques le conduisirent à trahir successivement Athènes et Sparte durant la
guerre du Péloponnèse. Il poussa à la reprise des hostilités alors
qu’Athènes et Sparte venaient de signer la paix de Nicias. Il commanda avec
Nicias l’expédition de Sicile en 415. Mis en cause dans le scandale des Hermès
mutilés, Athènes dépêcha un vaisseau pour le ramener dans la cité.
Alcibiade s’enfuit alors à Sparte où il convainc les Spartiates de la
nécessité d’envoyer des secours à Syracuse contre les Athéniens. Puis il se
réfugia auprès du Satrape Perse de Lydie Tissapherne. Il mourut en exil,
assassiné sur l’ordre du satrape Perse de Bithynie Pharnabaze. (Voir
Grèce,
Athènes,
Alcibiade).
ALCMÉON Nom de 2 Archontes d’Athènes. ALCMÉON Archonte perpétuel d’Athènes de
754 à 753 av.J.C. ALCMÉON Archonte annuel d’Athènes en 507 av.J.C.
ALCMÉONIDE Famille noble d’origine Messénienne établie à Athènes descendante de
Mégaclès I et de son fils Alcméon. Clisthène, Périclès, Alcibiade, furent les plus illustres
Alcméonides. Elle joua un rôle très important dans l’histoire d’Athènes à la fin du VIIe
siècle et au VIe. Le premier des Alcméonides connu fut Mégaclès I,
Archonte au moment où Cylon tenta de s’emparer de l’Acropole grâce à l’aide
du Tyran de Mégare. Mégaclès I appela alors le peuple à prendre les armes et fit échouer
la tentative. Cylon, se réfugia dans un temple, lieu considéré comme sacré par les Grecs, mais il
fut mis à mort par les soldats de Mégaclès I,
ce qui entraînera l’exil de la famille des Alcméonides pour sacrilège.
Alcméon revient à Athènes et se battit à la tête de l’armée Athénienne au
cours de la Première Guerre Sacrée. Le fils d’Alcméon, nommé lui aussi Mégaclès
fut l’adversaire de Pisistrate.
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